Tom Poisson

Tom Poisson
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Jean-Michel Couegnas
Nationalité
Activité
Autres informations
Membre de
Les Fouteurs de joie
Instrument
Guitare
Label
Genres artistiques
Site web

Tom Poisson de son vrai nom Jean-Michel Couegnas[1],[2], né en 1974, est un auteur-compositeur-interprète et guitariste français. Il a sorti plusieurs albums, et il est aussi membre du groupe Les Fouteurs de joie.

Biographie

Tom Poisson, pseudonyme de Jean-Michel Couegnas[3],[4], a étudié en sport-étude, et est diplômé d’un DUT de marketing[3]. Il est auteur-compositeur-interprète et instrumentiste, et pratique la guitare, le banjo, le ukulélé, et les percussions[5]. Il est « grand admirateur d'Alain Souchon[6] ».

Entre autres activités, il a commencé par faire du théâtre itinérant avec la Troupe du Phénix[6]. Il fait partie du groupe Les Fouteurs de joie[7],[8] avec qui il fait de multiples tournées. Le groupe a enregistré trois albums, entre 2005 et 2017.

Il mène en parallèle une carrière solo, et il a enregistré sous son seul pseudonyme Tom Poisson sept albums[9],[10] en 20 ans[11], de 2004 à 2024. Ses derniers albums sont accompagnés de spectacles multiformes[12],[13],[11].

Il est père[10] : il a plusieurs fils[14] et une fille[15].

Carrière collégiale

Jeunesse

Il fait ses armes au sein de son premier groupe, Arnoulph[2],[16], fondé au millieu des années 1990. Leur premier album sort en 2000, mélange de groove, funk et R&B français[16].

Il est comédien et chanteur au sein de la Troupe du Phénix[6] lorsqu'on le découvre peu après, notamment avec le spectacle Autour de Georges Brassens[3], avec le collectif « Le Petit monde de Georges Brassens »[17]. C'est avec cette compagnie itinérante qu'il sillonne les routes de France à chevaux et charrettes, entre 1997 et 2002.

En 2002, il est engagé par la compagnie Des-équilibres (François Berdeaux), pour une création pluri-artistique coproduite par le centre national de danse d'Angers, In the bocal-Arrêt provisoire. Douze interprètes incarnent alors l'incommunicabilité en milieu urbain : chant, chant lyrique, danse hip-hop, danse contemporaine, arts du cirque, etc.

Les Fouteurs de joie

Au début des années 2000, il rencontre ses futurs acolytes du groupe les Fouteurs de Joie[N 1], quintet poétique et burlesque, dans lequel il chante et joue de la guitare, du banjo, et des percussions. Le groupe est composé de trois auteurs compositeurs interprètes aux trajectoires personnelles variées (Nicolas Ducron, Laurent Madiot et Tom Poisson) et deux musiciens (Christophe Dorémus et Alexandre Léauthaud)[7]. « Tous mènent plusieurs carrières de front et jamais un groupe n’aura aussi bien porté son nom[8] ». Ils sont multi-instrumentistes[8], « usant de cuivres et de cordes, de l’ukulélé à la contrebasse en passant par la guitare et le banjo, plus le souffle de l’accordéon et les percussions, grosse caisse et cymbales[18] ».

Ils jouent de nombreux spectacles, « Leur bonne humeur, leur empathie et aussi leur souci d’humanité et d’émotion ont rencontré un succès mérité, et nos cinq compères ont bien tourné cette prestation qui pouvait satisfaire aussi bien les festivités populaires que les festivals et les auditeurs plus exigeants[7] » selon Nos enchanteurs, et leur premier disque, Le Bal des souffleurs, sort en 2005[7].

En 2012, Tom Poisson enregistre un nouvel album avec les Fouteurs de Joie, La Belle vie[7], qui s'accompagne d'une tournée spectacle. « Leurs chansons jouent sur les effets comiques des mots ou sur la drôlerie des situations parfois grinçantes. Parfois, au-delà du sourire, pointe l’émotion et l’empathie[7] ». « Déguisés en nymphes ou en fées dans une mise en scène digne du Songe d’une nuit d’été, ou avec une tête de cochon ou de lapin, en fanfare ou en solo, en chapeaux pointus ou en orchestre bavarois, en karaoké dans un restaurant chinois, le rythme est toujours survitaminé. Ils peuvent même faire rire (ou rêver, car l’émotion n’est pas absente) avec les sujets les plus sinistres : le cancer, les sans-abri [...] ou la vieillesse et la mort[18] ». « Si le jeu de scène est clownesque (masques de vieux ou de lapin, accessoires délirants, lunettes qui clignotent, guitares cassées), les textes laissent entrevoir l’engagement clair de ces artistes pour l’écologie, les problèmes de société, autour du travail, de l’exclusion, de la vieillesse[8] ».

En 2017 sort leur troisième album Des étoiles et des idiots.

Autres collaborations

Parallèlement, il rend hommage à Nino Ferrer avec Benoît Simon et Laurent Madiot, avec leur groupe The Nino's, et l'album The Nino's chantent Nino Ferrer en 2009[19]. Ils font de nombreux concerts jusqu'en 2012.

Il participe au livre-disque Les petites cocottes-minutes d’Isabelle Morin et de Daniel Collado en 2014, sur lequel il prête sa voix[20], autour d'une histoire qui « reprend un peu les ingrédients de contes célèbres, d' Alice au pays des Merveilles au Petit Poucet, à Cendrillon[20] ».

Carrière solo en parallèle

Tom Poisson sort en parallèle de ses activités collégiales, des albums sous son seul nom.

Tom Poisson fait des chansons (2003)

En 2004, après avoir « donné une flopée de concerts qui ont éveillé l'intérêt des majors sans qu'aucune ne se décide[21] », puis « après avoir créé une association lui permettant d'être producteur, le chanteur a passé un contrat de licence avec un distributeur indépendant, Tripsichord[21] » selon Le Monde, et il réunit des chansons acoustiques dans l'album Tom Poisson fait des chansons[21], album avec lequel RTL conclu un partenariat[21]. Pour L'Humanité, « le ton était donné et révéla rapidement un chanteur au répertoire tendre et teinté d’humour, regardant le monde avec un détachement poétique des plus attachants[4] ».

Tom Poisson fait des chansons, tom 2 (2005)

Il enregistre un second album deux ans plus tard, Tom Poisson fait des chansons - tom 2, chansons « sur la vie, l’envie de fuir les villes et de respirer le bon air de la campagne[22] », et selon Les Inrocks, ses chansons « racontent ces moments sans grandeur, où on ne sait pas quoi faire, où aller, quoi devenir. Ces moments où le corps pèse des tonnes[23] ».

Selon Radio France internationale, « Digne descendant des chansonniers chanteurs à la Georges Brassens, Tom Poisson dans ses textes s’adresse aux enfants et à leurs parents, proposant plusieurs niveaux de lectures. [...] Tom Poisson est un routier, l’expérience de la tournée transpire dans ses orchestrations. Accordéon, guitares acoustiques et banjos, kalimbas, térémine, claviers et même toy-piano (joué par Fred Pallem) donnent à l’ensemble du disque des allures d’album live[22] ».

Riche à millions (2008)

En 2008, sort son troisième album, à la guitare et à l'ukulélé[5], Riche à Millions[3], sous le label Naïve[4], dont deux titres sont en duo[3],[4] : l’un avec Sanseverino, l'autre, le titre Je m'ennuie avec Clarika, une chanson sur « l'ennui [...] sous l’angle amoureux[24] ».

RFI souligne à l'époque qu'il est « musicien autodidacte, également auteur, compositeur et producteur de ses albums, clips vidéos, pochettes d’albums[3] ». Pour France Culture, « les chansons de Tom sont plus incongrues que proprement comiques, plutôt le sourire que se taper sur les cuisses, mais d'un incongru discret, le mot qu'on a envie de dire c'est tendre. Autour de lui on devine tout un réseau d'amitiés, de musiciens, de chanteurs, une petite bohême du troisiéme millénaire, pas si loin du Molière de l'illustre théâtre[5] ». Pour France Inter, « Comme un manifeste de la maturité, après deux vols d’essai adulescents ; essais réussis, planants vagabondages autour d’amours de récré, de voiliers, de vieilles dames et d’orangers en Chine. Bulles à la Boogaerts, ton à la Souchon. Cœur lourd, musique légère[25] ».

Trapéziste (2010)

En , Fred Pallem[26] travaille à la « cocomposition de plusieurs titres et à la réalisation de l'album entier[27] » de Trapéziste, « un album aux ambiances folk[4] », « sur les cordes de ses guitares folks et électriques[26] ».

Pour Télérama : « Tom Poisson prouve qu'il sait écrire des chansons et, mieux, qu'il ne craint pas de s'aventurer sur des terrains a priori éloignés de sa patrie d'origine - une chanson de facture classique, entre Souchon et Leforestier. Le voici donc, sur ce troisième opus, qui s'avance sans rougir sur des pistes plus pop, néocountry, néoyéyé, et même presque rockabilly[27] ». Pour Radio France internationale, « Avec Trapéziste, son quatrième opus, Tom Poisson livre un bouquet de chansons poétiques et sensibles, gorgées d’optimisme. [...] Au fil de ses chansons, de ses histoires, il invente l’émotion juste, le détail qui livre sa couleur, son odeur, sa chair, son âme, sa force et sa fragilité[26] ».

L’homme qui rêvait d’être une girafe (2012)

En 2012, il crée une « fable musicale contemporaine (pour petits et moins petits) qu’est L’homme qui rêvait d’être une girafe qui traite de la différence, du goût des autres, de l’autisme, du mutisme, de la force de l’art, de la volonté de se construire par soi-même au travers des choses que l’on fait... Et tord le cou à pas mal d’idées reçues[12] ». Ce spectacle, dans lequel « Tom Poisson aménageait une passerelle entre récit, chanson et image et mise en scène[12] », est assorti d'un livre-disque.

Heureux comme les cerfs-volants (2015)

En 2015 sort l'album Heureux comme les cerfs-volants, « un livre-disque de vingt-trois très courts chapitres et, sur la galette, douze titres[12] », assorti d’une nouvelle[28],[29] de 35 pages[30].

« Les morceaux se croisent et s’entrecroisent au rythme des chapitres. C'est un album positif et lumineux[31] ». Selon Radio France, « Depuis une dizaine d’années, le chanteur nage avec aisance dans le paysage musical français. Pour son nouveau disque, il a eu envie de se surpasser : douze chansons, une nouvelle et un spectacle musical et cinématographique. L’ensemble raconte l’histoire d’amour et d’amitié de plusieurs personnages[28] ». Pour le spectacle, Tom Poisson est accompagné de « Jérôme Lifszyc aux guitares, Isabelle Morin au clavier [...] de Grégory Taglione [...] et un batteur virtuel, Emiliano Turi[13] ». Le projet prend une forme multiple (musique, chansons, récit, vidéo)[12],[30] : les performances « mêlent textes en français, en langue à la fois actuelle et poétique, musique pop rock acoustique mêlée d’électro, vidéos cinématographiques retravaillées en direct par le vidéaste présent sur scène, qui constitue une véritable création représentative de notre époque. Cet ovni inclassable, sorte d’opéra e.com[13] » selon Nos enchanteurs. Pour Radio France internationale, « Une forme pluri-artistique ingénieuse dominée toutefois par la musique[30] ».

Concert « 2 hommes + 1 micro »

Entre ses deux albums, en 2018, Tom Poisson crée le concert «  2 hommes + 1 micro », au Festival Off d'Avignon, avec des chansons de ses anciens albums, et des prochaines[32],[33]. Deux voix guitare et percussions, avec Paul Roman[32] : entre eux une « longue complicité[34] » ; un « duo complice [...] avec ses chansons intimistes[32] ».

Puis Paul Roman est remplacé par Jérome Lifszyc, qui accompagnait déjà Tom Poisson en 2016 « comme guitariste-comédien-choriste-danseur, dans sa comédie musicale multiforme Heureux comme les cerfs-volants[33] ». « Si les mélodies sont douces et réconfortantes, prêtes à nous rendre Heureux comme les cerfs volants, les sujets ne sont ni simplistes ni béats, ils suivent avec sagacité les aléas de la vie, cherchent les objectifs essentiels de l’existence, reflètent des actualités inquiétantes. [...] Même en concert, sans le soutien d’une mise en scène, les chansons de Tom racontent des histoires. A travers quelques titres d’anciens albums, mêlés aux nouveaux, nous reprenons sa vie là où nous l’avions laissée, entre rencontres, séparations, dépendance affective[33] » selon Nos enchanteurs.

Le spectacle part en tournée et tourne jusqu'en 2022[N 2].

Caché ! (2021)

Il crée également en 2018 le spectacle jeune public « Caché ! », une « fable musicale sur l’enfermement composée par Fred Pallem, avec Marlène Bouniort & Cédric Laronche[34] ».

L'album Caché ! sort en 2021. « Il est tout en finesse d’écriture, de musique, de climat, sur une thématique qui n’est pas facile à traiter : l’enfermement. [...] Cela peut évoquer la détention, l’enfermement psychiatrique, l’hospitalisation, l’enfermement en soi-même, dans son propre univers, voire dans ses retranchements et ses préjugés[35] ».

Le spectacle de 2018 part en tournée et tourne jusqu'en 2024[N 3].

Se passer des visages (2019)

En 2019 il sort son album Se passer des visages. « C’est un disque, dix titres, empreint de doutes. De présence et d’absence. Et de peur[17] ». L'un des titres, Trois bleus de plus, évoque les violences conjugales[36],[17]. L'album est « un recueil de chansons qu'il distille à visage découvert. [...] Ces titres éclairent la personnalité de l’artiste d'un halo assez nouveau[37] », avec des « chansons, qu'il déploie sur des airs parfois légers, sautillants, où la mélodie semble alléger la profondeur des textes[37] », pour Radio France. « Une voix ferme, qui secrète sa douceur, parfois ses douleurs, épouse la poésie, portée par des rythmes soutenus par guitares, clavier et percussions. [...] Deux duos, l’un avec Laurence Jaillet qui par ailleurs fait les chœurs en d’autres titres ; l’autre avec Clio[17] ».

Une version Deluxe de l'album sort ensuite, avec « deux remix électro de Jérôme Lifszyc, une nouvelle version de Se passer des visages avec les cordes du Well Quartet, et quatre nouvelles chansons[38] ». L'un des remix réalisés par Jérôme Lifszyc est La chanson en duo avec Clio[39].

L'album est Coup de cœur chanson 2020 de l'Académie Charles-Cros, remis dans le cadre du festival Printival Boby Lapointe[N 4].

Tom Poisson est nommé aux Chroniques lycéennes 2020-2021 de l'Académie Charles-Cros[N 5].

Jean-Michel (2024)

Son spectacle-concert en trio, avec Denis Piednoir et Alice Chiaverini, présente plusieurs chansons de son futur album, à partir du printemps 2023[40] et en 2024[15]. L'album sort en 2024, Jean-Michel, son prénom d’état civil[10],[11].

« Un album réalisé par Denis Piednoir[9] et Tom Poisson, avec des musiciens collaborant aux programmations et arrangements, la participation de Fabio Milone aux violons[41] ». L'album contient 14 titres[10].

Il indique : « Parfois je pose un regard d’enfant, j’aime cette forme de pureté, de geste sobre dans l’écriture. Et musicalement, j’avais envie d’explorer un univers moins folk[10] ». Pour Radio France, « un recueil de chansons françaises pop avec quelques pointes d'électro[11] », « Fidèle du son acoustique, il « bricole » ici des musiques électro-organiques[10] » selon L'Humanité.

La chanson Les Nouveaux Dinosaures s'adresse à sa fille, « chanson très inquiète, annonçant à sa fille la fin d’un monde « un peu trop tard pour voir venir »[15] », « face aux défis écologie[10] ». La chanson Locomotive, « apologie du voyage[9] », est « une des plus émouvantes de son répertoire, où il évoque sa mère récemment disparue[15] », « en « grand garçon » qui vient de perdre sa maman[10] ».

Un « album solo très intimiste[11] » selon Radio France, un « album intime où il nous invite à respirer face à l’intranquillité du monde[10] » selon L'Humanité. Pour Radio France, « Album après album, Tom déploie ses ailes de poisson-volant, nous offrant au passage un théâtre en relief empreint d’humanité et parvient ainsi à irriguer son Trop grand imaginaire. Ses failles sont les nôtres, ses envolées nous soulagent. L’artiste avance calmement dans un monde qui se doit d’aller vite, l’intuition en bandoulière et la sincérité comme boussole[11] ». Pour le site Nos enchanteurs en 2024, « une philosophie sensible, poétique, et une musique riche flirtant avec la folk, la pop, l’électro, le classique, des sonorités orientales dans une belle cohérence[41] », et pour un autre avis critique du site, en 2025 : un album « peut-être le plus personnel, à la fois intime et ancré dans son époque, mélancolique et plein d’espoir[42] ».

Il coréalise le clip de la chanson Tanguer, au bord de l'océan, dans le Finistère[43], chanson dans laquelle « il se dévoile en citoyen inquiet face à l’état du monde[10] ».

Cette fois encore, une version Deluxe de l'album sort l'année suivante, avec trois titres en bonus[42], dont une reprise, 20 ans plus tard[15], de sa chanson Élisabeth Martin, présente sur son premier album Tom Poisson fait des chansons de 2003. Le titre devient Élisabeth Martin_2024[42] : « une chanson qui tourne sur fond d’accordéon, restée à son répertoire, plébiscitée par son public, et qu’une écoute rapide pourrait prendre seulement pour une évocation nostalgique d’amours enfantines. Comme l’avait fait Trenet avec son Y a d'la joie, c’est une chanson tout à fait tragique, qu’il reprend dans une version plus lente, où il nous fait confidence[42] ».

Discographie

Groupes

  • 2000 Arnoulph, par Arnouph
  • 2005 : Le bal des souffleurs par Les Fouteurs de joie (Atoll Music)
  • 2009 : The Nino's chantent Ferrer par The Nino's (Naïve)
  • 2012 : La belle vie par Les Fouteurs de joie (L'autre distribution)
  • 2017 : Des étoiles et des idiots par Les Fouteurs de joie (L'autre distribution)

Albums solo

  • 2004 : Tom Poisson fait des chansons (Tripsichord)
  • 2006 : Tom Poisson fait des chansons - Tom 2 (Besides)
  • 2007 : Riche à millions - Tom 3 (Naïve)
  • 2010 : Trapéziste (L'autre distribution)
  • 2013 : L'homme qui rêvait d'être une girafe (Livre-disque Le Chant du Monde)
  • 2015 : Heureux comme les cerfs-volants (L'autre distribution)
  • 2019 : Se passer des visages (Super-Chahut !)
  • 2021 : CaCHé !, Kuroneko/Super-Chahut - jeune public
  • 2024 : Jean-Michel (Super-Chahut !)

Participation

  • Les petites cocottes-minutes d’Isabelle Morin et de Daniel Collado, Actes Sud Junior, 2014 (ISBN 978-2-330-03467-2) - livre-disque. Chant[20]

Notes et références

Références

  1. Michel Gallas et Flavie Girbal, « Tom Poisson, l'âme partageuse », revue "Hexagone le Mag" n°9, automne 2018,‎ , p. 36 (lire en ligne [PDF])
  2. (de) Le Pop Musik, « Tom Poisson », sur Le Pop Musik (consulté le )
  3. Eric Mandel, « Après deux albums prometteurs, Tom Poisson confirme ses bonnes intentions avec Riche à millions. », sur Radio France internationale, (consulté en )
  4. « Le folk magic circus du drolatique Tom Poisson », sur L'Humanité, (consulté en )
  5. Hélène Hazera, « Émission Chanson boum ! : Tom Poisson (1/2) », sur France Culture, (consulté en )
  6. Eric Mandel 2008.
  7. Bellart François, « Les Fouteurs… de Joie ? », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  8. Vincent Capraro, « Aubercail 2017 [2/4]. Y’a d’la joie en ces Fouteurs-là », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  9. Marjorie Bertin 2024.
  10. Ingrid Pohu, « Tom Poisson, les bonnes inspirations », sur L'Humanité,
  11. Eric Bastien, « La nouvelle scène musicale : Jean-Michel de Tom Poisson, un album solo très intimiste », sur Radio France,
  12. Michel Kemper, « Heureux comme un [Tom] Poisson dans l’eau », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  13. Catherine Laugier, « Avignon Off 2016. Les Fouteurs de Joie, Tom Poisson, le génie français [2/2] », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  14. Tom Poisson 2024.
  15. Catherine Laugier, « Tom Poisson en Trio, autour de Jean-Michel », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  16. Ludovic Perrin, « Arnoulph », sur Libération, (consulté en )
  17. Michel Kemper, « Tom Poisson, bonne pêche ! », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  18. Catherine Laugier, « Avignon Off 2016. Les Fouteurs de Joie, Tom Poisson, le génie français [1/2] », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  19. Michel Kemper, « Nino Ferrer, de 6 à 106 ans », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  20. Michel Kemper, « Des livres-disques à ne (surtout) pas laisser passer… », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  21. « Tom Poisson pilote ses chansons », sur Le Monde, (consulté en )
  22. David Glaser, « Avis critique : Tom Poisson fait des chansons - 2 », sur Radio France internationale, (consulté en )
  23. Caroline Halazy, « Critique : Tom Poisson Fait des chansons… Tom 2 », sur Les Inrocks, (consulté en )
  24. Ludovic Basque, « Clarika, chanteuse grave et superficielle », sur Radio France internationale, (consulté en )
  25. « Sous les étoiles exactement : Jeanne Garraud et Tom Poisson, Jane Birkin. », sur France Inter, (consulté en )
  26. Anne-Laure Lemancel, « Avis critique : Tom Poisson, Trapéziste », sur Radio France internationale, (consulté en )
  27. « Avis critique : Trapéziste », sur Télérama, (consulté en )
  28. Elodie Suigo, « La nouvelle scène musicale : Tom Poisson. », sur Radio France,
  29. Hélène Hazera, « Émission Chanson boum ! : Tom Poisson (2/2) », sur France Culture, (consulté en )
  30. « Tom Poisson, entre chanson, théâtre et littérature », sur Radio France internationale, (consulté en )
  31. « Le Coup de Coeur de Renaud Dély : le nouvel album de Tom Poisson », sur France Inter,
  32. Anne Lefebvre, « Off Avignon 2018. Tom Poisson : 2 hommes et 1 cœur si fin », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  33. Catherine Laugier, « Tom Poisson avec Jérome Lifszyc, des oiseaux, des chevaux et des bateaux », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  34. Catherine Laugier, « Tom Poisson « Les gifles » », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  35. « Comme un Tom Poisson dans un bocal », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  36. Michel Kemper, « Tom Poisson « Trois bleus de plus » », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  37. Robin Grimaldi, « La nouvelle scène musicale : Tom Poisson, il vient de sortir un nouvel album intitulé Se passer des visages. », sur Radio France,
  38. Catherine Laugier, « Tom Poisson « Je cours » », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  39. Catherine Laugier, « Tom Poisson, Clio « La chanson » », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  40. Catherine Laugier, « Tom Poisson en trio, l’inquiétude, la tendresse et l’espoir », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  41. [Encart critique de l'album, sur la page] Franck Loriou, « Avis critique Jean-Michel de Tom Poisson », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  42. Catherine Laugier, « Tom Poisson « Élisabeth Martin_2024 » », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )
  43. Catherine Laugier, « Tom Poisson « Tanguer » », sur nosenchanteurs.eu, (consulté en )

Sources primaires

Voir aussi

Articles

Liens externes

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