Tarek Fetiti
| Tarek Fetiti | |
| Portrait de Tarek Fetiti. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Deuxième vice-président de l'Assemblée des représentants du peuple | |
| – (2 ans et 1 mois) | |
| Élection | |
| Président | Rached Ghannouchi | 
| Législature | IIe | 
| Prédécesseur | Faouzia Ben Fodha | 
| Successeur | Anouar Marzouki (indirectement) | 
| Député de la circonscription de Kairouan | |
| – (7 ans et 11 jours) | |
| Élection | 26 octobre 2014 | 
| Réélection | 6 octobre 2019 | 
| Législature | Ire IIe | 
| Groupe politique | Union patriotique libre (2014-2018) Coalition nationale (2018) Nidaa Tounes (2018-2019) La Réforme (2019- ) | 
| Biographie | |
| Lieu de naissance | Oueslatia, Tunisie | 
| Nationalité | tunisienne | 
| Parti politique | Union patriotique libre, Nidaa Tounes puis indépendant | 
| Diplômé de | Université de Sousse | 
Tarek Fetiti (arabe : طارق الفتيتي), né à Oueslatia[1], est un homme politique tunisien.
Biographie
Après avoir obtenu son baccalauréat en 1990 au lycée secondaire de Haffouz, il décroche en 1996 une maîtrise en sciences économiques à la faculté de droit et des sciences économiques et politiques de Sousse[1].
En 1999, il entre au ministère de la Formation professionnelle et de l'Emploi comme gestionnaire puis assume les fonctions de sous-directeur et de directeur régional à Sidi Bouzid et Monastir[1].
En 2014, il est élu député à l'Assemblée des représentants du peuple dans la circonscription de Kairouan[1] et se voit réélu en 2019 dans la même circonscription, devenant dans la foulée le deuxième vice-président de l'assemblée[2].
Le , 120 députés, sous la présidence du deuxième vice-président Tarek Fetiti[3], se réunissent lors d'une session virtuelle pour voter la fin des mesures d'exception en vigueur depuis le . Le jour même, Kaïs Saïed dissout le Parlement, ce qu'interdit pourtant la Constitution durant la période où l'état d'exception est appliqué, et menace les députés de poursuites judiciaires[4].
Notes et références
- « Tarek Fetiti », sur majles.marsad.tn (consulté le ).
- ↑ « Tarek Fetiti », sur majles.marsad.tn (consulté le ).
- ↑ « Ftiti : leur but était de pousser le chef de l'État à organiser un dialogue national ou à dissoudre le Parlement », sur tunisienumerique.com, (consulté le ).
- ↑ « Tunisie : la crise institutionnelle s'aggrave », sur lesechos.fr, (consulté le ).
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