Sites mégalithiques d'Indre-et-Loire

Répartition géographique des sites : ne figurent sur la carte de
répartition que les sites existants et géolocalisés de manière
certaine au XXIe siècle.

 : dolmen -  : menhir -  : autre site mégalithique

Les sites mégalithiques d'Indre-et-Loire sont assez peu nombreux. C'est un mégalithisme peu spectaculaire avec des dolmens à l'architecture peu élaborée et des menhirs peu spectaculaires. Le phénomène mégalithique dans le département semble ainsi quelque peu en retrait par rapport à celui visible dans les régions immédiatement limitrophes de l'Anjou, du Poitou et même du Berry.

Généralités

Répartition géographique

Les dolmens peuvent se classer en trois groupes géographiques. La plus grande concentration existante, le « groupe chinonais », se situe dans la vallée et aux abords de la vallée de la Vienne et se poursuit, de manière plus diffuse, vers le sud-est du département. Un second groupe, autour de Reignac, se développe sur les plateaux de la Champeigne tourangelle et de la Gâtine de Loches. Au nord de la Loire, les dolmens sont beaucoup plus dispersés[1]. En dehors de ces trois groupes, les monuments isolés sont rares[2]. Les menhirs sont beaucoup plus diffus. On n'observe pas de correspondance entre la répartition des dolmens et celle des menhirs[2]. La vallée de la Loire semble avoir constituée plus une barrière naturelle qu'un axe de diffusion[3].

Matériaux et architecture

Les blocs de pierre utilisés sont essentiellement des grès, appelés localement « perrons », et des poudingues, les calcaires locaux, souvent trop fragiles, sont peu utilisés. Les deux-tiers des dolmens sont constitués de dalles en grès alors que la moitié des menhirs sont constitués avec des monolithes en poudingue. Le choix des matériaux est directement dicté par le substrat rocheux local : le lieu d'extraction des blocs et le site d'implantation des mégalithes sont voisins[4] et dans la plupart des cas les matéraiaux ont été prélevés sur place[5].

Les dolmens du département sont de deux types : des dolmens rectangulaires et des dolmens à chambre circulaire ou sub-circulaire. Le dolmen de type angevin est curieusement absent dans le Chinonais alors qu'il abonde dans le Saumurois pourtant immédiatement voisin et qu'il existe quelques spécimens en amont dans le val de Loire (Pierre Levée du Vendômois)[6]. Dans une dizaine de cas, l'état actuel des monuments ne permet pas de les classifier[7]. Pratiquement aucun dolmen n'a conservé de traces d'un éventuel tumulus. Le caractère sommaire des constructions n'a pas facilité leur conservation : dans l'ensemble, les dolmens n'ont pas bénéficié de solides fondations, les supports sont peu enfoncés dans le sol, voire simplement posés sur le sol d'origine sans fosse de calage. Plusieurs réutilisations d'anciens polissoirs en dalles de construction peuvent s'expliquer par la surreprésentation des grès qui constituent un matériau de choix pour le polissage. Les menhirs sont de taille modeste (trois seulement dépassent 3 m de hauteur). Le plus original d'entre eux est celui de Draché en raison de ses perforations naturelles[8].

Matériel archéologique et datation

Tous les dolmens connus ont été pillés de longue date mais quelques fouilles ont permis de recueillir un petit matériel archéologique. Le mobilier lithique recueilli comprend de grands poignards en silex, des armatures de flèches tranchantes et des pointes de flèches à pédoncule, quelques haches (taillées ou polies) et divers éclats de silex non caractéristiques. Les objets de parure retrouvés sont rares : hachette en fibrolithe, perles (en nacre, quartz, calcaire), os poli et canines d'animaux percées réutilisés en pendeloques, coquillages extraits des sites à faluns. Le mobilier céramique comprend des vases type « pot de fleur », des débris de vase à fond rond, des tessons à décor pointillé ou comportant des cordons imprimés[9].

Les mégalithes d'Indre et-Loire semblent dater de la fin de la grande période d'érection de ces monuments, entre 2500 et [10].

Inventaire

Les premiers inventaires des mégalithes de Touraine apparaissent au début du XIXe siècle (N. Champoiseau en 1840, abbé Bourassé en 1842 et 1846). Au milieu du siècle, les principaux monuments, essentiellement des dolmens, ont déjà été décrits et divers érudits locaux complètent progressivement ce recensement en signalant des monuments mégalithiques moins connus de leur secteur. Dans la seconde moitié du siècle, en exploitant les informations topologiques du Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine de Carré de Busserolle, et en les complétant par enquêtes sur le terrain, Louis Bousrez découvre six dolmens et onze menhirs supplémentaires. Dans son ouvrage Les Monuments mégalithiques de la Touraine paru en 1894, Bousrez recense ainsi 55 mégalithes (33 dolmens, 20 menhirs, 2 cromlechs) auxquels il ajoute en 1895 1 reste d'alignement, 8 pierres à légendes, 2 polissoirs et 17 tumulus[11]. Dans son inventaire de 1963, Gérard Cordier retient pour le département 27 dolmens encore visibles, 15 menhirs, 1 alignement et 1 pseudo-cromlech[12].

Site Commune Remarque État Coordonnées Illustration
Dolmen du Bois des Plantes[13] Artannes-sur-Indre détruit vers 1820[13]
Dolmen de Pierrefitte Auzouer-en-Touraine  Classé MH (1889)[14] 47° 31′ 53″ N, 0° 54′ 50″ E
Cromlech de la Croix Bonnin Beaulieu-lès-Loches monument douteux, pseudo-cromlech  Classé MH (1889)[15] 47° 07′ 40″ N, 1° 02′ 00″ E
Dolmen de la Grosse Pierre Beaumont-en-Véron 47° 10′ 43″ N, 0° 10′ 10″ E
Menhir de Montifray Beaumont-la-Ronce  Classé MH (1943)[16] 47° 33′ 49″ N, 0° 38′ 01″ E
Pierre Levée Beaumont-la-Ronce autre nom dolmen de la Haute-Barde  Classé MH (1889)[17] 47° 34′ 04″ N, 0° 37′ 22″ E
Palet de Gargantua Brizay autre nom dolmen des Brélandières Inventaire général[18] 46° 06′ 08″ N, 0° 23′ 08″ E
Pierre Levée[19] Bueil-en-Touraine dolmen détruit vers 1914[19]
Pierre de David[20] Cangey autre nom menhir du Moulin de Lée 47° 28′ 26″ N, 1° 04′ 42″ E
Le Gros Chillou[20] Céré-la-Ronde menhir détruit[20]
La Grosse Pierre[20] Cerelles menhir incertain[20]
Haute Borne[21] Chanceaux-près-Loches autres noms Grande-Borne, menhir de Trompe-souris 47° 07′ 48″ N, 0° 56′ 21″ E
Polissoir du Bois de Baudry[22] Chanceaux-sur-Choisille 47° 29′ 33″ N, 0° 43′ 15″ E
Palets de Gargantua Charnizay  Classé MH (1951)[23] 46° 55′ 29″ N, 1° 00′ 38″ E
Menhir de Vaujours Château-la-Vallière autre nom La Pierre 47° 32′ 15″ N, 0° 20′ 12″ E
Menhir de la Prade[24] Chaumussay 46° 52′ 57″ N, 0° 49′ 42″ E
Pierre Bachelière Chédigny menhir[24] 47° 14′ 50″ N, 0° 58′ 51″ E
Menhir du Chillou[24] Chezelles
Pierre Levée Civray-sur-Esves vestige mégalithique indéterminé[25],[26] 47° 02′ 47″ N, 0° 44′ 28″ E
Dolmen de Continvoir Continvoir dolmen incertain[27] 47° 23′ 21″ N, 0° 12′ 55″ E
Menhir de la Besselière Continvoir menhir incertain[28] 47° 25′ 26″ N, 0° 12′ 52″ E
Gros-Chillou Cravant-les-Côteaux autre nom dolmen de Briançon[28] 47° 08′ 52″ N, 0° 18′ 47″ E
Gros Perron Crotelles menhir[29] 47° 32′ 47″ N, 0° 50′ 16″ E
Chillou du Feuillet Descartes  Classé MH (1911)[30] 47° 01′ 07″ N, 0° 40′ 28″ E
Pierre Percée Draché autres noms Pierre des Érables, Pierre des Arabes ou Bogue de Gargantua  Classé MH (1911)[31] 47° 04′ 22″ N, 0° 36′ 26″ E
Menhir des Cormiers Épeigné-sur-Dême 47° 42′ 31″ N, 0° 37′ 41″ E
Dolmen du Moulin de Sauquet[32] Esvres 47° 16′ 08″ nord, 0° 47′ 39″ est
Dolmen des Chilloux[32] Faye-la-Vineuse disparu[32]
Polissoir de Ferrière-Larçon Ferrière-Larçon  Classé MH (1889)[33] conservé au Musée de la Préhistoire du Grand-Pressigny
46° 59′ 34″ N, 0° 52′ 56″ E
Dolmen de Maumont[32] Fondettes disparu[32]
Dolmen de la Roche Meon Gizeux dolmen douteux[34] 47° 23′ 37″ N, 0° 10′ 24″ E
Pavé de Saint-Lazare L'Île-Bouchard dolmen[35] 47° 07′ 27″ N, 0° 26′ 01″ E
Dolmen du Bois de Neuilly[34] Lémeré 47° 04′ 48″ N, 0° 19′ 35″ E
Pierre Levée Le Liège autre nom dolmen d''Hys[36] 47° 13′ 21″ N, 1° 05′ 01″ E
Le Carroir Bon Air Ligré  Classé MH (1889)[37] 47° 06′ 52″ N, 0° 16′ 22″ E
Menhir de la Grange[38],[39] Luzillé 47° 16′ 21″ N, 1° 02′ 52″ E
Pierre Saint-Martin Luzillé  Classé MH (1952)[40] 47° 15′ 17″ N, 1° 02′ 58″ E
Pierre Levée Maillé dolmen[41] ruiné[41] 47° 02′ 11″ N, 0° 34′ 22″ E
Dolmen de la Roche[42] Manthelan 47° 08′ 56″ nord, 0° 48′ 24″ est
Dolmen de la Fennétrie[43] Marçay détruit[43]
Pierre Levée Marcilly-sur-Maulne dolmen[43] 47° 32′ 42″ N, 0° 13′ 21″ E
Pierre qui Tourne Mettray menhir[44] disparu[44]
Dolmen de Marcilly[44] Neuillé-Pont-Pierre 47° 34′ 33″ N, 0° 31′ 12″ E
Polissoir du Camp de Brenne Neuilly-Le-Brignon conservé au Musée du Grand-Pressigny
46° 55′ 18″ N, 0° 48′ 10″ E
Dolmen du Brouillard Neuvy-le-Roi disparu[44]
Polissoirs du Bois du Gué Neuvy-le-Roi 2 polissoirs[45] 47° 35′ 07″ N, 0° 35′ 56″ E
Pierre Fitte Nouâtre menhir incertain[46] 47° 01′ 21″ N, 0° 34′ 17″ E
Pierre à Vinaigre Nouzilly menhir[46] 47° 32′ 05″ N, 0° 43′ 33″ E
Dolmen de la Hacherie[47] Noyant-de-Touraine disparu[47]
Dolmen des Piraudières[46] Noyant-de-Touraine disparu[46]
Dolmen de la Brèche[47] Parçay-sur-Vienne dolmen disparu[48] 47° 06′ 06″ N, 0° 27′ 40″ E
Dolmen de la Pierre Chaude Paulmy  Classé MH (1911)[49] 46° 58′ 44″ N, 0° 48′ 12″ E
Polissoir de la Chauvelière[50] Paulmy déplacé[50]
Pierre Levée[51] Perrusson dolmen disparu[51]
Polissoir Fixe des Bordes[51],[52] Le Petit-Pressigny autres noms Pierre Birette ou Pierre du Diable ou Cœur de Rirette  Classé MH (1912)[53] conservé au Musée du Grand-Pressigny
46° 55′ 19″ N, 0° 48′ 12″ E
Pierre Levée Pouzay dolmen[54] 47° 04′ 13″ N, 0° 32′ 53″ E
Menhir de Doulx[55] Pussigny disparu entre 1894 et 1923[55]
Pierre Levée[55] Pussigny autre nom dolmen de Doux  Classé MH (1945)[56] 46° 58′ 44″ N, 0° 31′ 17″ E
Dolmen de Reignac[57] Reignac-sur-Indre remanié[57] 47° 14′ 05″ nord, 0° 54′ 09″ est
Pierre Saint-Urbain Rillé menhir[58] 47° 28′ 23″ N, 0° 11′ 40″ E
Les Trois Chiens Rillé alignement mégalithique[59] 47° 26′ 06″ N, 0° 12′ 12″ E
Dolmen de la Grotte aux Fées Saint-Antoine-du-Rocher  Classé MH (1914)[60] 47° 27′ 47″ N, 0° 39′ 01″ E
Polissoir de Bois-Livière Saint-Cyr-sur-Loire conservé au Musée du Grand-Pressigny
Pierre Philippe Saint-Germain-sur-Vienne dolmen
autres noms Pierre Fritte, Pierrefitte[61]
disparu[61]
Dolmen de Boumiers Sainte-Maure-de-Touraine  Classé MH (1945)[62] 47° 05′ 03″ N, 0° 35′ 56″ E
Pierre Levée Saint-Paterne-Racan menhir[63] 47° 34′ 25″ N, 0° 30′ 37″ E
Polissoir d'Hodebert[64] Saint-Paterne-Racan
Pierre Levée[63] Saint-Quentin-sur-Indrois autre nom dolmen de Mallée[65] 47° 12′ 38″ N, 1° 03′ 29″ E
Dolmen de Villaine Sublaines 47° 16′ 36″ N, 0° 59′ 37″ E
Pierre aux Œufs[66] Sublaines dolmen[66] disparu[66]
Pierre de la Croix de la Main Sublaines menhir[67] disparu[67]
Dolmens de Malicorne Tauxigny-Saint-Bauld 2 dolmens[67] disparus[67]
Pierre Levée Thilouze menhir probable[67] 47° 14′ 40″ N, 0° 36′ 05″ E
Pierre Couverte Thizay dolmen[68] 47° 09′ 59″ N, 0° 08′ 17″ E
Le Chillou Veigné menhir[69] détruit[69]
Pierre aux Joncs Villandry 47° 19′ 34″ N, 0° 29′ 43″ E
Haute Pierre Villiers-au-Bouin dolmen[70] 47° 35′ 16″ N, 0° 19′ 33″ E
Pierre Levée de Confluent Yzeures-sur-Creuse 46° 46′ 39″ N, 0° 50′ 20″ E

Folklore associé

L'association des monuments à l'épopée gargantuesque semble assez récente. Elle n'est pas confirmée par la toponymie (seuls deux monuments se nomment explicitement Palets de Gargantua) et Bousrez, qui s'intéressait pourtant de près aux tradtions populaires, cite relativement peu souvent Gargantua dans ses travaux, alors même que l'on se situe dans le pays natal de Rabelais. D'une manière plus générale, les noms donnés aux dolmens sont peu originaux, oubliés ou absents cetle monument est désigné le plus souvent par la toponymie moderne du site d'implantation. La croissance supposée des menhirs et leur giration à certains moments de la journée ou de l'année sont les deux seules croyances populaires fréquentes, mais elles ne sont pas propres à la Touraine[71].

Références

  1. Marquet 2016.
  2. Cordier 1963, p. 92.
  3. Cordier 1963, p. 114.
  4. Cordier 1963, p. 95-96.
  5. Bousrez 1895, p. 74.
  6. Cordier 1963, p. 113.
  7. Cordier 1963, p. 96-98.
  8. Cordier 1963, p. 96-100.
  9. Cordier 1963, p. 100-102.
  10. Pierre Audin, « Les temps préhistoriques », dans Claude Croubois (dir.), L'Indre-et-Loire : la Touraine, des origines à nos jours, Saint-Jean-d'Angély, Bordessoules, coll. « L'Histoire par les documents », , 470 p. (ISBN 2-90350-040-1), p. 35.
  11. Bousrez 1895.
  12. Cordier 1963, p. 91.
  13. Cordier 1963, p. 19.
  14. « Menhir du Château de Pierrefitte », notice no PA00097541, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  15. « Cromlech de la Croix Bonnin », notice no PA00097560, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  16. « Menhir de Montifray ou Pierre du Pont-Champion », notice no PA00097581, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  17. « Dolmen dit La Pierre Levée », notice no PA00097579, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  18. Notice no IA37000280, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. Cordier 1963, p. 27.
  20. Cordier 1963, p. 29.
  21. Cordier 1963, p. 30.
  22. Marquet 2016, p. 290.
  23. « Dolmen dit Les Palets-de-Gargantua », notice no PA00097641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. Cordier 1963, p. 32.
  25. Cordier 1963, p. 33.
  26. J.M. Rougé, « Un mégalithe en danger », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. 3, no 8,‎ , p. 343-346 (DOI 10.3406/bspf.1906.11490, lire en ligne [PDF])
  27. Cordier 1963, p. 35.
  28. Cordier 1963, p. 36.
  29. Cordier 1963, p. 38.
  30. « Dolmen dit Chillon du Feuillet », notice no PA00097735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. « Menhir dit Pierre Percée ou des Arabes », notice no PA00097742, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Cordier 1963, p. 42.
  33. « Polissoir », notice no PA00097757, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. Cordier 1963, p. 45.
  35. Cordier 1963, p. 39.
  36. Cordier 1963, p. 47.
  37. « Dolmen dit Le Carroir Bon Air », notice no PA00097808, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. Cordier 1963, p. 50.
  39. Louis Dubreuil-Chambardel, « Le menhir de Luzillé (Indre-et-Loire) », Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris, vol. V, no 3,‎ , p. 253 (DOI 10.3406/bmsap.1914.8671, lire en ligne)
  40. « Polissoir fixe dit La Pierre Saint-Martin », notice no PA00097854, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. Cordier 1963, p. 51.
  42. Cordier 1963, p. 54.
  43. Cordier 1963, p. 55.
  44. Cordier 1963, p. 56.
  45. Marquet 2016, p. 289-290.
  46. Cordier 1963, p. 59.
  47. Cordier 1963, p. 60.
  48. Notice no IA37000423, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Dolmen dit Pierre Chaude », notice no PA00097909, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  50. Marquet 2016, p. 289.
  51. Cordier 1963, p. 63.
  52. Louis Dubreuil-Chambardel, « Le Polissoir fixe du Petit-Pressigny », Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris, vI, vol. I,‎ , p. 647-649 (DOI https://doi.org/10.3406/bmsap.1910.7182, lire en ligne [PDF])
  53. « Polissoir dit Pierre Rirette ou Pierre du Diable », notice no PA00097914, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  54. Cordier 1963, p. 65.
  55. Cordier 1963, p. 66.
  56. « Dolmen de Doux », notice no PA00097930, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  57. Cordier 1963, p. 68.
  58. Cordier 1963, p. 70.
  59. Cordier 1963, p. 69.
  60. « Dolmen dit de Mettray ou de la Grotte aux Fées », notice no PA00098055, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  61. Cordier 1963, p. 76.
  62. « Dolmen de Bommiers », notice no PA37000034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  63. Cordier 1963, p. 78.
  64. Marquet 2016, p. 288-289.
  65. Gérard Cordier, « Contribution à l'étude préhistorique de la vallée de l'Indre. Station et dolmen de Mallée, commune de Saint-Quentin (Indre-et-Loire). », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. 56, nos 3-4,‎ , p. 242-254 (DOI 10.3406/bspf.1959.3572, lire en ligne [PDF])
  66. Cordier 1963, p. 80.
  67. Cordier 1963, p. 81.
  68. Cordier 1963, p. 83.
  69. Cordier 1963, p. 84.
  70. Cordier 1963, p. 86.
  71. Cordier 1963, p. 103-105.

Annexes

Bibliographie

Liens externes

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