Sabena Engineering

Sabena Engineering
Création 1923 : Sabena
Dates clés 2001 : faillite de la Sabena
2005 : rachat de la filiale Sabena Technics par TAT
2014 : Indépendance de la branche belge de Sabena Technics
Personnages clés Stéphane Burton, administrateur délégué et actionnaire principal[1],[2]
Forme juridique Société anonyme (d)[3]
Slogan Keep on flying, we take care
Siège social Woluwe-Saint-Lambert
 Belgique
Actionnaires Betrix S.A. (99,91 %)
Effectif 400 ()[4]
BCE 0465150137
Site web www.sabena-engineering.com
Chiffre d'affaires 95,7 M€ ()[5]
Résultat net 1,4 M€ ()[5]

Sabena Engineering (anciennement Sabena Aerospace) est une entreprise belge créée en à la suite de sa séparation de Sabena Technics[6] alors détenue par le groupe TAT. Sabena Engineering est une entreprise de maintenance aéronautique qui gère à ce titre la révision, l’entretien et la réparation d'avions.

Historique

1923 : Sabena Technics

Créée avec la Sabena en tant que département technique, Sabena Technics devient une filiale au fil du temps[Quand ?].

En 2005, soit trois ans après la faillite de la Sabena, le groupe TAT rachète Sabena Technics.

2014 : Sabena Aerospace

Au , la branche bruxelloise de Sabena Technics prend son indépendance vis-à-vis du groupe TAT et change de nom au pour devenir Sabena Aerospace[7].

2022 : Sabena Engineering

L'entreprise rachète deux filiales de Lufthansa Technik (en), la branche de maintenance de Lufthansa, et fusionne avec le site de Gosselies de la SABCA. Elle change alors encore de nom pour devenir Sabena Engineering[8].

Notes et références

  1. ↑ [1]
  2. ↑ [2]
  3. ↑ Banque-Carrefour des Entreprises (base de données), [lire en ligne], consulté le .
  4. ↑ article de presse (format littéraire).
  5. Banque nationale de Belgique (banque centrale).
  6. ↑ « Ne dites plus Sabena technics, mais bien Sabena Aerospace », RTBF Info,‎ (lire en ligne)
  7. ↑ « Sabena technics redevient belge », L'Écho,‎ (lire en ligne)
  8. ↑ Olivier Gosset, « Sabena Engineering s'est métamorphosée après 100 ans d'existence », L'Écho,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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