Rue de l'Arquebuse (Reims)
| rue de l'Arquebuse | |
| La rue vers le parc de la Patte d'Oie. | |
| Situation | |
|---|---|
| Coordonnées | 49° 15′ 16″ nord, 4° 01′ 32″ est |
| Pays | France |
| Région | Grand-Est |
| Ville | Reims |
| Quartier(s) | centre-ville de Reims |
| Début | rue Buirette rue des Poissonniers |
| Fin | boulevard du Général-Leclerc |
| Morphologie | |
| Longueur | 140 m |
La rue de l'Arquebuse est une voie de la commune française de Reims, située au sein du département de la Marne, en région Grand Est.
Situation et accès
C'est une rue à sens unique qui relie la rue Buirette au boulevard Leclerc.
Origine du nom
La rue porte le nom de l'hôtel éponyme ou siégeait et s'entrainait la compagnie de l'arquebuse.
-
Pièce de la compagnie, 1707, musée Saint-Remi de Reims,
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fin XVIIIe siècle l'ancienne rue Large avec une salle de jeu de paume, les terrains des compagnies de tir et d'arquebuse,
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jardins de l'arquebuse au XIXe siècle.
Historique
La compagnie de l'arquebuse a été reconnue en 1537 par François Ier[1], le bâtiment de 1568 formait angle avec un jardin de forme triangulaire adossé au rempart. Cette compagnie s’entraînait régulièrement et recevait les autres compagnies de la Champagne et de la Brie ; en 1715 elle avait cinq cents membres appelés aussi chevaliers. La plus ancienne réunion des compagnies pour un concours qui eut lieu à Reims était en juin 1607 en recevant celles des provinces de Brie, d'Isle de France et de Champagne et reprenait en cela les us des compagnies d'arbalétriers.
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Juin 1687, alors rue Large, la compagnie des arquabusiers,
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Statue de Louis XIV et de Mars,
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qui se trouvaient dans le jardin l'Hôtel,
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Louis Desjardins de Courcelles, capitaine des arquebusiers en 1767.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
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Maison du 17.
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Maison du 8 par André Ragot.
- Au n° 17 : immeuble Remarquable avec une composition décorée symétrique aux 1er et 2ème étages, repris comme éléments de patrimoine d’intérêt local local[2].
- Au n° 22 : immeuble Remarquable avec une composition d’inspiration classique avec un angle de rue à 3 travées valorisé par un balcon circulaire, couvert en saillie au rez-de-chaussée, porté par 2 colonnes, repris comme éléments de patrimoine d’intérêt local local[3].
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Yves Sureau, Les rues de Reims, mémoire de la ville, Reims, 2002, p24.
- Michel Thibault, Mémoire en images Reims, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2000.
- Prosper Tarbé, Reims, essais historiques sur ses rues et ses monuments, Paris, Res Comédit, 1994, p11'.
Articles connexes
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