Rue Jean-Pierre-Blanchard
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Rue Jean-Pierre-Blanchard
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| La rue Jean-Pierre-Blanchard vue de la rue du Gorp. | |
| Situation | |
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| Coordonnées | 43° 35′ 17″ nord, 1° 26′ 54″ est |
| Pays | France |
| Région | Occitanie |
| Département | Haute-Garonne |
| Métropole | Toulouse Métropole |
| Ville | Toulouse |
| Quartier(s) | Saint-Michel |
| Début | no 12 rue Notre-Dame |
| Fin | no 7 rue du Gorp |
| Morphologie | |
| Longueur | 218 m |
| Largeur | 10 m |
| Odonymie | |
| Anciens noms | Impasse Notre-Dame (XIXe siècle-1936) Rue Maniban (1867) |
| Nom actuel | 1936 |
| Histoire et patrimoine | |
| Création | 1re partie : XIXe siècle 2e partie : 1963-1965 |
| Notice | |
| Archives | 315550924845 |
La rue Jean-Pierre-Blanchard est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.
Situation et accès
Description
La rue Jean-Pierre-Blanchard est une voie publique. Elle se trouve dans le quartier Saint-Michel.
La chaussée compte une seule voie de circulation automobile en sens unique. Elle appartient à une zone 30 et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il n'existe pas de piste, ni de bande cyclable, quoiqu'elle soit à double-sens cyclable.
Voies rencontrées
La rue Jean-Pierre-Blanchard rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
- Rue Notre-Dame
- Impasse Jean-Pierre-Blanchard (g)
- Rue du Gorp
Odonymie
La rue est nommée en hommage à Jean-Pierre Blanchard (1753-1809), aéronaute qui effectua entre 1784 et 1808 66 ascensions en ballon en France, en Grande-Bretagne, dans les Provinces-Unies, dans le Saint-Empire et aux États-Unis. Il effectua la première traversée de la Manche en ballon, le 7 janvier 1785. Il fut par ailleurs l'époux de Sophie Blanchard (1778-1819), première femme aérostière[1].
Au XIXe siècle, la rue Jean-Pierre-Blanchard n'était qu'une impasse qui, ouvrant sur la rue Notre-Dame, en portait naturellement le nom[2]. Il lui venait d'une statue de la Vierge Marie qui se trouvait dans une niche à l'angle d'une maison de la rue Notre-Dame et de la grande-rue Saint-Michel[2]. En 1867, la rue fut également désignée comme la rue Mariban ou Maniban, mais ce nom ne fut pas conservé[3].
Histoire
Patrimoine et lieux d'intérêt
Notes et références
Notes
Références
- ↑ Salies 1989, vol. 1, p. 156.
- Salies 1989, vol. 2, p. 215.
- ↑ Salies 1989, vol. 2, p. 143.
- ↑ Notice no IA31109297, sur le site de l'inventaire général du patrimoine, région Occitanie/ville de Toulouse.
- ↑ Salies 1989, vol. 2, p. 592.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse (2 volumes), Toulouse, éd. Milan, (ISBN 978-2-86726-354-5).
Articles connexes
Liens externes
- « Notice no 315550924845 », Au nom de la voie, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 20 septembre 2021 (consulté le ).
- Inventaire préliminaire de la ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse (consulté le ).
- Inventaire général du patrimoine culturel d'Occitanie, sur le site Ressources patrimoines - La médiathèque culturelle de la Région Occitanie (consulté le ).
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