Rue Jean-Baptiste-Dumas
17e arrt Rue Jean-Baptiste-Dumas 
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| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 17e | ||
| Quartier | Ternes | ||
| Début | 44, rue Bayen | ||
| Fin | 57-63, rue Laugier | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 161 m | ||
| Largeur | 12 m | ||
| Historique | |||
| Création | 1892 | ||
| Dénomination | 1894 | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 4764 | ||
| DGI | 4851 | ||
|   Géolocalisation sur la carte : Paris 
Géolocalisation sur la carte : 17e arrondissement de Paris 
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La rue Jean-Baptiste-Dumas est une voie du 17e arrondissement de Paris, en France.
À ne pas confondre avec la rue Jean-Baptiste-Dumay, située dans le 20e arrondissement.
Situation et accès
La rue Jean-Baptiste-Dumas est une voie publique située dans le 17e arrondissement de Paris. Elle débute au 44, rue Bayen et se termine au 57-63, rue Laugier.
Elle est située dans le quartier où ont été groupés des noms de savants.
Origine du nom
Elle porte le nom du chimiste et homme d'État français, Jean-Baptiste Dumas (1800-1884), président du Conseil municipal de Paris de 1857 à 1870.
Historique
La voie est ouverte en 1892 et prend sa dénomination actuelle par arrêté du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
L'atelier de peinture d'Angèle Delasalle (1867-1939) se situait au no 3 de cette rue[1].
En 1962, l'espionne soviétique Lydia Tows résidait au no 3[2].
Références
- ↑ Robert Burnand et al., Qui êtes-vous? Annuaire des contemporains: notices biographiques. 1908-1908/10, 1924, Paris, C. Delagrave, (lire en ligne), p. 226
 - ↑ Jacques Follorou, « Infiltrée, mais jamais démasquée : l’histoire inédite d’une espionne du KGB en France », sur lemonde.fr, (consulté le ).
 
Annexes
Article connexe
Lien externe
- Rue Jean-Baptiste-Dumas (mairie de Paris)
 
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