Richard Bergh
| Directeur de musée |
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| Naissance | |
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| Décès |
(à 60 ans) Nacka församling (d) |
| Sépulture |
Tyresö old cemetery (d) (depuis le ) |
| Nom dans la langue maternelle |
Johan Edvard Bergh |
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activités |
Professeur d'art, peintre |
| Père |
Johan Edvard Bergh (en) |
| Mère |
Amanda Helander (d) |
| Conjoint |
Gerda Ingeborg Winkrans (d) |
| Enfants |
| A travaillé pour | |
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| Membre de |
Union des artistes suédois (en) Opponenterna (en) Varbergsskolan (d) Colonie de Grez |
| Mouvement | |
| Maîtres |
Edvard Perséus (en), Jean-Paul Laurens |
| Genres artistiques | |
| Distinction |
| Artiste |
Richard Bergh |
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| Date | |
| Type | |
| Mouvement | |
| Localisation |
Richard Bergh (né à Stockholm le , mort le ) est un peintre suédois.
Biographie
Richard Bergh est le fils d'un artiste de renom professeur à l'Académie des Beaux-Arts, Edvard Bergh[1]. Après ses études à l'Académie, il partage son temps entre son pays et la France, fidèle de la côte normande et du village de Grez-sur-Loing.
Élève de Edvard Perséus (sv) et de l’École des beauxarts de Stockholm, il part pour la France en 1881 où sa peinture rencontre le succès, ce qui lui assure aussi la renommée dans son pays[1]. En 1885 et 1886 il est un des meneurs du groupe d'artistes suédois installés à Paris à l'origine de la Konstnärsförbundet (sv) (« Fédération des artistes »), une organisation créée en 1886 en opposition à l'académie des Beaux-Arts de Stockholm[2]. Son compatriote Hugo Birger le représente assis parmi les artistes au centre de son tableau Un Déjeuner chez Ledoyen, le jour du vernissage[1].
En 1889, il est le commissaire de la section artistique suédoise non-officielle à l'exposition universelle de Paris, il y reçoit un grand prix et la légion d'honneur[réf. souhaitée].
Parmi ses succès, on compte le portrait de sa femme qu'il expose au Salon de Paris[1] puis à Stockholm en 1886, il se trouve aujourd'hui au musée des Beaux-Arts de Göteborg (Suède).
il devient en 1915 surintendant et chef du Musée des Beaux-Arts de Göteborg[3].
Il prend part en avril- à l'Exposition de l'art suédois organisée au Musée du Jeu de Paume à Paris[4].
Quelques œuvres
- Soir d'été nordique, Musée des Beaux-Arts de Göteborg
- Convalescence
- Séance d'hypnose.
- Le joueur de violon
- La femme de l'artiste, Musée des Beaux-Arts de Göteborg
- Portrait de Mlle E. B., Nationalmuseum
- Portrait du professeur W., Musée des Beaux-Arts de Göteborg
- Portrait du poète Gustave Fröding, collection Rydbeck
Notes et références
- Frank Claustrat, La peinture nordique et ses maîtres modernes, Sceaux, Le Faune éditeur, (ISBN 978-2-492366-00-0), p. 8-9, 28-29
- ↑ (sv) Georg Nordensvan, Svensk Konst och Svenska Konstnärer i nittonde århundradet. 2. Från Karl XV till sekelslutet, Stockholm, Bonnier, 1928, p. 244-263.
- ↑ Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 115
- ↑ Ibid.
Bibliographie
- Svenskt Biografiskt Lexikon : Karl Wåhlin, Richard Bergh
- Nordensvan, Svensk Konst och Svenska Konstnärer i nittonde århundradet. 2. Från Karl XV till sekelslutet, Stockholm, Bonnier, 1928, p. 218-221.
- Vibeke Röstorp, Le Mythe du retour. Les Artistes scandinaves en France de 1889 à 1908, Stockholm, Stockholms universitet, 2013.
Liens externes
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