Sierra Leone

République de Sierra Leone

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Drapeau de Sierra Leone

Armoiries de Sierra Leone
Devise en anglais : Unity, Freedom, Justice (« UnitĂ©, LibertĂ©, Justice Â»)
Hymne en anglais : High We Exalt Thee, Realm of the Free (« Nous t'exaltons en haut, Royaume de la libertĂ© Â»)
FĂŞte nationale
· Événement commémoré
Indépendance vis-à-vis du Royaume-Uni ()
Administration
Forme de l'État République
Président de la République Julius Maada Bio
Vice-président de la République Mohamed Juldeh Jalloh
Ministre en chef David Moinina Sengeh
Parlement Parlement
Langues officielles Anglais et krio
Capitale Freetown

8° 31′ N, 13° 15′ O

Géographie
Plus grande ville Freetown
Superficie totale 71 740 km2
(classé 117e)
Superficie en eau 0,2 %
Fuseau horaire UTC +0
Histoire
Indépendance Royaume-Uni
date
Démographie
Gentilé Sierraléonais, Sierraléonaise(s)
Population totale (2023) 8 460 512[1] hab.
(classé 108e)
DensitĂ© 118 hab./km2
Économie
PIB nominal (2023) 6,41 milliards de $[1]
PIB (PPA) par hab. (2023) 757,9 $[1]
Taux de chĂ´mage (2023) 3,2% de la pop. active[1]
Monnaie Leone (SLL)
Développement
IDH (2022) 0,458[2] (faible ; 184e/193)
IDHI (2022) 0,277[2]
Coefficient de Gini (2018) 35,7 %[3]
Indice d'inégalité de genre (2022) 0,613[2] (157e/166)
Indice de performance environnementale (2022) 32,7[4] (140e)
Divers
Code ISO 3166-1 SLE, SL
Domaine Internet .sl
Indicatif téléphonique +232
Organisations internationales ONU
UA
Commonwealth
BAD
CEDEAO
CEN-SAD
ZPCAS
INBAR
CIR
UFM
ZMOA

La Sierra Leone, en forme longue la rĂ©publique de Sierra Leone (en anglais : Republic of Sierra Leone[5] et en langue krio : Salone[6]), est un État d'Afrique de l'Ouest, d'une superficie de 71 740 km2, peuplĂ© d'environ 8,46 millions d'habitants en 2023[7],[8]. Il est situĂ© entre la GuinĂ©e (du nord-ouest jusqu'Ă  l'est), le Liberia (au sud-est) et l'ocĂ©an Atlantique (de l'ouest jusqu'au sud-ouest).

En 1808, le Royaume-Uni commence à coloniser le territoire. Le pays accède à l'indépendance en tant que royaume du Commonwealth en 1961 comme le dominion de Sierra Leone. En 1971, le premier ministre Siaka Stevens devient président en transformant le pays en république présidentielle avant de déclarer le Congrès de tout le peuple (APC) parti unique en 1978. En 1985, Joseph Saidu Momoh lui succède et introduit le multipartisme en 1991. Une guerre civile brutale éclate cette année-là, entre le gouvernement et les rebelles du Front révolutionnaire uni (RUF). Au cours de la guerre (1991-2002), le pays a connu trois coups d'État et deux périodes de régime militaire. La guerre se termine en 2002 après une intervention militaire britannique menant à la défaite définitive du RUF. Depuis, le pays demeure relativement stable, gouverné par un régime civil depuis 1998. Les deux partis politiques principaux sont l'APC et le Parti du peuple de Sierra Leone (SLPP).

La Sierra Leone fait partie de la CEDEAO. Ce pays est l'un des plus pauvres de la planète. Avec un indice de développement humain (IDH) de 0,458 en 2022, il est le 184e pays sur 193 au niveau mondial.

L'anglais est la langue officielle et le krio, un crĂ©ole basĂ© sur l'anglais, sert comme langue vĂ©hiculaire entre les diffĂ©rents groupes ethniques du pays. Les deux principales religions pratiquĂ©es sont l'islam (78 %) et le christianisme (21 %).

Histoire

Freetown, sanctuaire des Noirs affranchis d'Amérique

Plusieurs dizaines de milliers d'esclaves noirs ont été affranchis par les Anglais en Caroline du Sud, mais aussi en Géorgie ou encore dans le Maryland, pendant la guerre d'indépendance américaine, en échange de leur affranchissement collectif, notamment dans le sillage de la Dunmore's Proclamation (1775) et la Philipsburg Proclamation (1779), au tout début de ce conflit, à l'issue duquel ces loyalistes noirs seront évacués au Canada, resté une des possessions anglaises importantes puis participeront à la création de la Sierra Leone.

Les Britanniques qui fondent Freetown en 1787 y installent des esclaves affranchis.

L'indépendance en 1961

Le , le pays obtient son indépendance comme le dominion de Sierra Leone, un royaume du Commonwealth. Initialement, l'indépendance était prévue pour , mais à cause de luttes entre ethnies, le pays connaît une grande instabilité politique. En 1964, Albert Margai remplace son frère Milton Margaï comme Premier ministre.

En , Siaka Stevens, chef du parti Congrès de tout le peuple (APC), remporte les élections, mais son accession au pouvoir en tant que Premier ministre est retardée jusqu'en par une série de coups d'État militaires.

Le , Siaka Stevens instaure un régime présidentiel puis déclare l'APC parti unique en 1978. Il commence alors à tenter d'assainir la vie politique, en luttant contre la corruption par exemple. Mais il abandonne vite cette voie pour exploiter les mines de diamants au nord du pays.

Le , avec quatorze autres pays, la Sierra Leone fonde la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest.

Siaka Stevens laisse sa place au commandant en chef des armées, Joseph Saidu Momoh, en , et il est officiellement élu président en .

En novembre 1987, Joseph Saidu Momoh dĂ©crète « l'Ă©tat d'urgence Ă©conomique Â». Des mesures draconiennes d'austĂ©ritĂ© sont prises. Mais l'exploitation des mines de diamants continue toujours de rapporter beaucoup d'argent aux principaux chefs du rĂ©gime.

En dĂ©pit de la transition dĂ©mocratique engagĂ©e en 1991 par Saidu Momoh, il est renversĂ© par un coup d'État du jeune capitaine Valentine Strasser. Celui-ci doit faire face Ă  une rĂ©bellion ; il est dĂ©posĂ© Ă  son tour par le brigadier Julius Maada Bio.

La guerre civile

La guerre civile de Sierra Leone se déroula de au . Cette guerre avait pour principal but le contrôle des zones diamantifères.

Elle causa la mort de 100 000 Ă  200 000 personnes, et le dĂ©placement de plus de deux millions (ce qui reprĂ©sente le tiers de la population de l'Ă©poque). En outre, de nombreuses mutilations eurent lieu, ainsi que l'emploi massif d'enfants soldats.

Le conglomérat sud-africain De Beers y eut un rôle très controversé, puisqu'il fut le premier acheteur de ces diamants, vendus clandestinement au Liberia voisin. L'Afrique du Sud garde aussi une autre influence, celle du déploiement de ses forces armées privées sur le territoire sierraléonais, afin de sécuriser les régions diamantifères.

Le , 20 hommes du commando de Montfort (commandos marine français) sont envoyés sur place pour évacuer près d'un millier de personnes de 21 nationalités différentes. Ces personnes seront rapatriées sur l’aviso Jean Moulin et la FS Germinal, et débarquées à Conakry, en Guinée.

L'après guerre civile

Le , le prĂ©sident sortant Ahmad Tejan Kabbah est réélu avec 70,6 % des voix.

Depuis 2002, le pays est en paix. Les diffĂ©rentes mesures prises par l'ONU sont progressivement rĂ©duites, voire supprimĂ©es, comme la levĂ©e de l'embargo sur l'exportation des diamants de conflits. Une diminution des effectifs des forces des casques bleus (Mission des Nations unies en Sierra Leone) est Ă©galement engagĂ©e. Après un pic de 17 500 hommes en , les effectifs sont descendus Ă  13 000 en et Ă  5 000 en . La mission s'est achevĂ©e en 2005. Au total, selon un dossier de la Documentation française, près de 48 000 combattants de diffĂ©rentes factions ont Ă©tĂ© dĂ©mobilisĂ©s[9].

Cependant, pour des raisons Ă©conomiques, de nombreux enfants travaillent toujours dans les mines de diamants, qui sont très dangereuses. La propagation du sida est très importante ; 16 000 enfants de moins de 15 ans sont sĂ©ropositifs[Quand ?].

En 2007, selon l'indice de développement humain (IDH) qui était 0,365, la Sierra Leone figurait parmi les 3 pays les moins développés au monde, avec le plus faible PIB/habitant (330 dollars par an et par habitant). En 2011, son IDH est encore plus faible (il s'établit désormais à 0,336), mais le nombre de pays recensés par le Programme des Nations unies pour le développement ayant augmenté, le pays se classe désormais 180e sur 187, cette remontée dans le classement ne traduisant pas une amélioration de la situation sanitaire et sociale dans le pays, car si l'on tient compte des inégalités, la Sierra Leone continue à occuper en 2011 la troisième place parmi les pays dont l'IDH (ajusté aux inégalités) est le plus faible au monde.

La Sierra Leone abolit la peine de mort en 2021 (le parlement vote la mesure en juillet[10] et le président signe le texte en octobre[11]).

Politique

La Sierra Leone est une république multipartite à régime présidentiel, où le président est à la fois chef de l’État et chef du gouvernement. Le pouvoir exécutif est aux mains du gouvernement tandis que le pouvoir législatif est partagé entre le gouvernement et la Chambre des représentants. Le pouvoir judiciaire est indépendant de l’exécutif et du législatif. Le président actuel est Julius Maada Bio qui succéda à Ernest Koroma en avec 51,81% des voix, contre 48,19% pour Samura Kamara, candidat du parti du Président sortant (Congrès de tout le peuple)[12]. Ernest Koroma s'est mis à l'écart de la course à la présidentielle conformément à la constitution de la Sierra Leone après avoir passé 10 ans au pouvoir. Élu en , il a été réélu en 2012[13].

Provinces

La Sierra Leone est divisĂ©e en cinq provinces :

Géographie

Une grande partie de la cĂ´te sont des marĂ©cages de palĂ©tuviers, Ă  l'exception de la pĂ©ninsule oĂą se trouve la capitale Freetown. Le reste du pays est principalement un plateau couvert de forĂŞts, se trouvant Ă  environ 300 mètres au-dessus du niveau de la mer. Des montagnes se situent Ă  l'est, Loma Mansa, la plus Ă©levĂ©e, culminant Ă  1 948 mètres.

Le climat est de type tropical, la saison des pluies s'étant de mai à décembre puis s'ensuit la saison sèche de décembre à avril.

Les principales villes sont Freetown, Koidu (Sefadu), Bo, Kenema et Makeni.

Population et société

Démographie

Langues

La langue officielle est l'anglais mais il n'est parlĂ© que par 15 % de la population. Le krio, un crĂ©ole de base anglaise, parlĂ© par 90 % de la population (mais seulement 11 % en tant que langue maternelle), sert de langue vĂ©hiculaire entre les diffĂ©rentes ethnies du pays. L'inter-comprĂ©hension est assez difficile entre un locuteur du Krio et de l'Anglais, et cette situation ressemble par exemple Ă  l'inter-comprĂ©hension entre un locuteur du crĂ©ole haĂŻtien et du français, dont la situation est similaire.

En décembre 2002, en hommage à la contribution de la force bangladaise de maintien de la paix à la mission des Nations unies en Sierra Leone, pendant la guerre civile, le gouvernement d'Ahmad Tejan Kabbah a déclaré le bengali langue officielle, à titre honorifique[14],[15],[16],[17],[18].

Religions

Les principales religions en Sierra Leone sont l'islam (78 %) et le christianisme (21 %). Autrefois très important, l'animisme, qui concernait encore 30 % de la population en 1980, est en diminution.[rĂ©f. nĂ©cessaire]

Éducation

L'enseignement en Sierra Leone est légalement requis pour tous les enfants, durant six ans au niveau primaire (classes P1-P6) et trois ans dans l'enseignement secondaire inférieur, mais la pénurie d'écoles et d'enseignants a rendu l'application de cette règle impossible. Les deux tiers de la population adulte du pays sont analphabètes.

La guerre civile de Sierra Leone a entraĂ®nĂ© la destruction de 1 270 Ă©coles primaires et, en 2001, 67 % de tous les enfants d'âge scolaire n'Ă©taient plus scolarisĂ©s. La situation s'est considĂ©rablement amĂ©liorĂ©e depuis, avec le doublement des inscriptions dans les Ă©coles primaires entre 2001 et 2005, et la reconstruction de nombreuses Ă©coles depuis la fin de la guerre. Les Ă©lèves des Ă©coles primaires ont gĂ©nĂ©ralement entre 6 et 12 ans, et dans les Ă©coles secondaires de 13 et 18 ans.

Le pays compte trois universitĂ©s : le Fourah Bay College, fondĂ© en 1827 (la plus ancienne universitĂ© d'Afrique de l'Ouest), l'universitĂ© de Makeni (ou UNIMAK, Ă©tablie initialement en septembre 2005 sous le nom de Fatima Institute), et l'universitĂ© de Njala, principalement situĂ© dans le district de Bo. L'universitĂ© de Njala a Ă©tĂ© Ă©tablie en 1910 comme Station expĂ©rimentale agricole de Njala, elle est devenue une universitĂ© en 2005. Les Ă©coles de formation des enseignants et les sĂ©minaires religieux se trouvent dans de nombreuses rĂ©gions du pays. IsraĂ«l accorde des bourses d'Ă©tudes aux Ă©tudiants de Sierra Leone, dans le cadre de son programme de coopĂ©ration internationale au dĂ©veloppement.

Santé

L'espĂ©rance de vie globale est la plus basse au monde en 2015, celle des femmes Ă©tant estimĂ©e en 2015 Ă  48 ans, et celle des hommes Ă  47 ans[19] selon l'OMS. L'espĂ©rance de vie en bonne santĂ© fĂ©minine Ă©tait de 30 ans en 2003, et celle masculine de 27 ans[20]. Les dĂ©penses publiques pour la santĂ© Ă©taient de 41 000 000 $ en 2006[20].

Économie

L'Ă©conomie du pays est principalement basĂ©e sur les exploitations minières de diamant et d'or[21]. Le pays est un des plus pauvres du monde[22] au regard du PIB par habitant, estimĂ© en 2020 Ă  1 738 dollars par an (en paritĂ© de pouvoir d'achat) selon la Banque mondiale[23]. En 2008, le pays est le dernier Ă  l'indice de dĂ©veloppement humain, et le 11e plus faible en 2021[24].

Dans les années 1990, l'activité économique déclinait et les infrastructures économiques s'étaient gravement détériorées. Au cours de la décennie suivante, une grande partie de l'économie formelle fut détruite par la guerre civile qui sévissait dans le pays. Depuis la fin des hostilités en janvier 2002, d'importantes aides extérieures ont permis à la Sierra Leone de commencer à se redresser. Une grande partie de cette reprise dépendra du succès des efforts du gouvernement pour limiter la corruption des fonctionnaires, considérée par beaucoup comme la principale cause de la guerre civile. Un indicateur clé de réussite sera l'efficacité de la gestion gouvernementale du secteur du diamant.

Le taux de chĂ´mage est Ă©levĂ©, en particulier parmi les jeunes et les anciens combattants. Les autoritĂ©s tardent Ă  mettre en Ĺ“uvre les rĂ©formes de la fonction publique, et le programme de privatisation ralentit Ă©galement, ce qui a conduit les bailleurs de fonds Ă  en recommander l’accĂ©lĂ©ration. Selon l'enquĂŞte la plus rĂ©cente de 2019, 59,2 % de la population continue d'ĂŞtre affectĂ©e par la pauvretĂ© multidimensionnelle et 21,3 % de la population y sont vulnĂ©rables.

La monnaie est le Leone. La banque centrale est la Banque de Sierra Leone. Le pays applique un système de taux de change flottant, et les devises étrangères peuvent être échangées dans les banques commerciales, les bureaux de change agréés et la plupart des hôtels. L'utilisation des cartes de crédit est limitée en Sierra Leone, bien qu'elles puissent être acceptées dans certains hôtels et restaurants. Il existe quelques distributeurs automatiques de billets reliés à l’international qui acceptent les cartes Visa à Freetown, exploités par ProCredit Bank.

Culture

La Sierra Leone possède un patrimoine culturel varié et diversifié. En 1963, la Troupe nationale de danse a été créée par John Akar pour mettre en valeur le patrimoine culturel national de la Sierra Leone[25].

Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
Fête de l'indépendance Independance Day

Codes

La Sierra Leone a pour codes :

Voir aussi

Bibliographie

Essais
  • Patrick Puy-Denis, La Sierra Leone (essai), Paris, Karthala, , 190 p. (ISBN 2-86537-723-7)
Romans
  • Laurent Bonnet, Salone, Vents d'ailleurs, (ISBN 978-2-36413-017-3 et 2-36413-017-4)
  • Anne-Carole Salces y Nedeo, Ces annĂ©es assassinĂ©es : L'enfer des combats d'un enfant de Sierra LĂ©one, Paris, L'Harmattan, coll. Â« Ă‰crire l'Afrique Â», , 135 p. (ISBN 978-2-296-08240-3, EAN 9782296082403, lire en ligne)
  • (en) Tim Adams, « The Memory of Love by Aminatta Forna : A painful tale set in postwar Sierra Leone Â» [« Après-guerre en sierra leone. CĹ“urs et corps brisĂ©s Â»], The Observer, Guardians News and Media Limited,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Graham Greene (trad. Marcelle Sibon), Le Fond du problème [« The Heart of the Matter Â»] [« Le CĹ“ur du problème Â»] (roman), Robert Laffont, coll. Â« Pavillons poche Â», (1re Ă©d. 1948), 400 p. (ISBN 978-2-221-10709-6 et 2-221-10709-8)
  • Ahmadou Kourouma, Allah n'est pas obligĂ© (roman), Paris, Seuil, , 240 p. (ISBN 2-02-042787-7, EAN 9782020427876)
  • (en) Ishmael Beah, A Long Way Gone : Memoirs of a Child Soldier, Sarah Crichton Books, , 229 p. (ISBN 978-0-374-53126-3)
  • James Patterson (trad. Philippe Hupp), La Piste du tigre [« Cross Country Â»] (roman), Lattes, coll. Â« Thrillers Â», (1re Ă©d. 2008), 330 p. (ISBN 978-2-7096-3635-3 et 2-7096-3635-2, EAN 978-2709636353)

Filmographie

Liens externes

Notes et références

  1. « World Bank Open Data Â», sur World Bank Open Data (consultĂ© le ).
  2. (en) United Nations, « Specific country data - Human Development Reports Â», sur undp.org, Human Development Reports (consultĂ© le ).
  3. ↑ (en) « Gini index Â», sur Banque mondiale (consultĂ© le ).
  4. ↑ (en) Martin J. Wolf, John W. Emerson, Daniel C. Esty, Alex de Sherbinin, Zachary A. Wendling et al., 2022 Environmental Performance Index, New Haven, Connecticut, États-Unis, Yale Center for Environmental Law & Policy, , 192 p. (lire en ligne [PDF]).
  5. ↑ Commission nationale de toponymie, conseil national de l'information gĂ©ographique, Pays, territoires et villes du monde juillet 2021, , 34 p. (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 30
  6. ↑ (en) Fiche langue [kri] dans la base de donnĂ©es linguistique Ethnologue.
  7. ↑ (en) « Sierra Leone Â», dans The World Factbook, Central Intelligence Agency, (lire en ligne)
  8. ↑ (en) « Sierra Leone | Culture, History, & People | Britannica Â», sur britannica.com (consultĂ© le )
  9. ↑ La Documentation française, Les forces en prĂ©sence dans la guerre civile en Sierra Leone, dossier « Sierra Leone 2002 : un espoir de paix pour l'Afrique Â». http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/d000126-sierra-leone-2002-un-espoir-de-paix-en-afrique-de-l-ouest/les-forces-en-presence-dans-la-guerre-civile-en-sierra-leone.
  10. ↑ « En Sierra Leone, les organisations des droits de l'homme saluent l'abolition de la peine de mort Â», sur rfi.fr, (consultĂ© le ).
  11. ↑ AFP, « La Sierra Leone abolit la peine de mort Â», sur letemps.ch, (consultĂ© le ).
  12. ↑ « Sierra Leone : l'Ă©lection de Maada Bio, un tournant et une situation inĂ©dite - RFI Â», RFI Afrique,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  13. ↑ (en) The CIA World Factbook 2015, Skyhorse Publishing, (lire en ligne), p. 4272.
  14. ↑ (en) « How Bengali became an official language in Sierra Leone Â» [« Comment le bengali est devenu langue officielle en Sierra Leone Â»], The Indian Express,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  15. ↑ (en) « Why Bangla is an official language in Sierra Leone Â» [« Pourquoi le bengali est langue officielle en Sierra Leone Â»], Dhaka Tribune,‎ (lire en ligne).
  16. ↑ (en) Nazir Ahmed, « Recounting the sacrifices that made Bangla the State Language Â» [« Rappeler les sacrifices qui ont fait du bengali la langue de l’État Â»](Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur thedailynew action.com, .
  17. ↑ (en) « Sierra Leone makes Bengali official language Â» [« La Sierra Leone fait le bengali langue officielle Â»], Daily Times, Pakistan,‎ (lire en ligne [archive du ]).
  18. ↑ (en) « What Languages Are Spoken in Sierra Leone? Â» [« Quelles sont les langues parlĂ©es en Sierra Leone ? Â»], sur worldatlas.com, .
  19. ↑ (en) « Africa :: Sierra Leone — The World Factbook - Central Intelligence Agency Â», sur cia.gov (consultĂ© le ).
  20. (en) « Sierra Leone Â», sur World Health Organization, World Health Organization (consultĂ© le ).
  21. ↑ « PrĂ©sentation de la Sierra Leone Â», sur diplomatie.gouv.fr (consultĂ© le ).
  22. ↑ « 23e : Sierra Leone, 868,2 dollars de PIB par habitant - Pays pauvres - Journal du Net Economie Â», sur Journal du Net, (consultĂ© le ).
  23. ↑ « PIB par habitant, ($ PPA internationaux courants) - Sierra Leone | Data Â», sur donnees.banquemondiale.org (consultĂ© le ).
  24. ↑ Rapport sur le dĂ©veloppement humain 2021/2022 : Temps incertains, vies bouleversĂ©es : façonner notre avenir dans un monde en mutation, New York, Programme des Nations unies pour le dĂ©veloppement, , 337 p. (ISBN 978-92-1-126452-4, lire en ligne)..
  25. ↑ Luigi Vittorio Muci, « From Dakar to Pyongyang: Imagining Pan-Africanism and the Global South through Sierra Leone’s National Dance Troupe (1966–1988) Â», Journal of African Cultural Studies, vol. 0, no 0,‎ , p. 1–16 (ISSN 1369-6815, DOI 10.1080/13696815.2025.2476056, lire en ligne, consultĂ© le )
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