Paul Guépratte
| Paul Guépratte | |
| Surnom | Bouchery puis Reboul (Lors de la Résistance) | 
|---|---|
| Naissance | Is-sur-Tille | 
| Décès | (à 61 ans) Saint-Laurent-du-Var | 
| Allégeance | France France Libre (1940-1944) | 
| Arme | Infanterie État-Major (France Libre) | 
| Grade | F.F.I Commandant | 
| Années de service | 1914 – 1946 | 
| Commandement | FFI Département de la Haute-Saône (7500 Hommes) | 
| Conflits | Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale | 
| Distinctions | Chevalier de la Légion d’honneur Médaille de la Résistance Croix de Guerre 1939-1945 Croix du Combattant Croix de Guerre 1914-1918 Médaille Interalliée 1914-1918 Médaille Commémorative de la Guerre 1914-1918 | 
| Autres fonctions | Chef d’État-Major de la Subdivision de Haute-Saône (1945) Chef de la Défense de la France pour la Haute-Saône (1943) | 
Paul Amédée Jules Guépratte, né le à Is-sur-Tille (Côte-d'Or)[1] et décédé le à Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes)[1] était un chef de bataillon d'infanterie[2] de l’Armée française et le commandant des Forces françaises de l'intérieur (FFI) de la Haute-Saône[3],[4].
Biographie
Paul Guépratte est le fils de Alfred Guépratte (1866-1925), aiguilleur à la Compagnie des chemins de fer de l'Est et de Marie Henriroux (1867-1941)[5].
Il épouse Germaine Briout (1894-1928)[6] le à Vesoul (Haute-Saône) puis Marie-Thérèse Devouge (1908-2001)[6] le à Longuyon (Meurthe-et-Moselle) avec qui il a 2 fils dont Bernard Guépratte (1932-2008)[7] qui, lui aussi, a suivi une carrière militaire et est devenu également chef de bataillon d’infanterie[8] décoré chevalier de la Légion d’honneur et chevalier de l’Ordre national du Mérite[9].
Décorations
Guerre 1914-1918
- Médaille commémorative de la guerre -
- Croix de guerre -, étoile d'argent[10]
- Médaille interalliée de la Victoire
- Croix du combattant
Guerre 1939-1945
-  Croix de guerre - avec Étoile de VermeilCitation à l’Ordre du Corps d'Armée no 276 du du Général KORN : 
«Membre de la Résistance «FER», Fonctionnaire d’un patriotisme ardent depuis juillet 1940, a fourni de très précieux renseignements sur l’activité ennemie. Poursuivi par la Gestapo, a continué inlassablement la lutte à laquelle il s’était dévoué»
Blessures de guerre
- Éclats d’obus à la tête à Bouchavesnes en 1916
Références
- Paul GUÉPRATTE, « Fiche Matricule », sur Archives départementales de la Haute-Saône, (consulté le )
- ↑ Paul GUÉPRATTE, « Fiche individuelle de renseignements », sur Archives départementales de la Haute-Saône,
- ↑ GUÉPRATTE Paul, « Certificat d'appartenance aux FFI », sur Archives départementales de la Haute-Saône,
- ↑ [1][2][3][4][5][6][7]
- ↑ Paul GUÉPRATTE, « Fiche Matricule », sur Archives départementales de la Haute-Saône, .
- Acte de Naissance et de Mariage
- ↑ Acte de Naissance.
- ↑ Dossier Légion d'honneur de Bernard Guépratte.
- ↑ Dossier Ordre National du Mérite de Bernard Guépratte.
- ↑ Paul GUÉPRATTE, « Fiche Matricule », sur Archives départementales de la Haute-Saône,
Liens externes
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