Ouroux-en-Morvan
| Ouroux-en-Morvan | |||||
| La rue principale du village. | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | France | ||||
| Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
| Département | Nièvre | ||||
| Arrondissement | Château-Chinon (Ville) | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes Morvan Sommets et Grands Lacs | ||||
| Maire Mandat |
Florence Berlo 2020-2026 |
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| Code postal | 58230 | ||||
| Code commune | 58205 | ||||
| Démographie | |||||
| Population municipale |
596 hab. (2022 ) | ||||
| Densité | 9,8 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 47° 11′ 11″ nord, 3° 56′ 47″ est | ||||
| Altitude | Min. 324 m Max. 667 m |
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| Superficie | 60,56 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Château-Chinon | ||||
| Législatives | Deuxième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Ouroux-en-Morvan (Orrou en bourguignon-morvandiau) est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
La commune se situe à l'est du département de la Nièvre, dans le massif du Morvan, et fait partie de son parc naturel régional. L'altitude minimale est de 324 m au niveau de l'embouchure du ruisseau de l'Oussière dans le lac de Pannecière. L'altitude maximale est de 667 m dans les bois de Villiers. Le village d'Ouroux est situé à 560 m d'altitude sur le bord occidental du plateau du Morvan central.
La superficie de la commune est de 6.000 Hectares.
Ouroux est situé sur la "dorsale boisée" du Morvan, au même titre que Arleuf, Planchez (dans le Haut Morvan boisé), Montsauche-les-Settons (dans le Haut Morvan des étangs), Saint-Brisson (dans le Haut plateau boisé) ou une partie de Brassy (dans la Marche boisée).
La dorsale boisée du Morvan correspond à des secteurs constitués de sommets, dont l'altitude varie de 500 à 900 m, et de cuvettes.
Cette entité est constituée essentiellement de vastes forêts, avec de petites clairières, et de plans d'eau.
Le GR de Pays du Tour du Morvan ainsi que le GR 13 traversent la commune.
Hydrographie
L'étang communal, se déversant dans le Pargon, le Chalaux, l'Oussière, le ruisseau de Mignage, le ruisseau de Coulard, le ruisseau d'Ensein, le ruisseau de Vanériou, l'Anguison.
Hameaux, lieux-dits et écarts
Outre le bourg, Ouroux regroupe environ 26 hameaux, autrefois appelés "Villages", dont:
Coeuson (anciennement Coeuzon), Savelot, Savault, Chamerelle, Montpensy, Le Boulard, Boulois, La Maison, Fonteny, Chassaygne, Vizaine, Mont, Mignage, Poirot dessous, Poirot dessus.
Géologie
La massif du Morvan central Nord est constitué de granite, une roche magmatique plutonique.
Communes limitrophes
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 258 mm, avec 14,5 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dun_sapc », sur la commune de Dun-les-Places à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 181,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,3 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
Typologie
Au , Ouroux-en-Morvan est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,9 %), forêts (44,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %), zones urbanisées (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le premier nom connu du village est « Oratorium ».
Le village tirerait ainsi son nom de l'époque "Horroez" du Latin "horréum" signifiant magasin de vivres et de fourrages, que les Romains y auraient constitué.
On reconnaît également au nom une origine latine: "Oratorium in Morvento" qui vient de oratoire (lieu de culte).
Histoire
Antiquité
Second âge du fer
Le village remonte à une lointaine Antiquité.
Époque des Éduens - peuple Celte
Ouroux a été habité très tôt par les Éduens, peuple celte (gaulois). Ils y auraient exploité les minerais d’étain, l’or et l’argent[13], dans une mine antique à ciel ouvert sur le site la Loutière[14] (entre le hameau de Montpensy et de Poirot Dessous).
Époque gallo-romaine
La présence humaine est attestée par la découverte, hors de l’enceinte du village, de fondements de murs, de débris de tuile à rebords et de poteries antiques.
Son nom dériverait du latin horréum, magasin à vivres que les Romains y auraient constitué.
Des couches de charbon ensevelies à un mètre sous le sol, le récit de quelques écrivains, laissent supposer que la communauté, comme d’autres localités, eut à souffrir de l’irruption de barbares qui dévastèrent les Gaules.
Site des tranchées de la Loutière
Le site consiste en deux fosses étalées sur 210 mètres de long pour 12 mètres de profondeur, allongées et deux petites fosses circulaires, alignées est-ouest. Les fosses sont cernées par des monticules de déblais, témoins de l’activité d’extraction.
Interprété diversement au fil du temps, ce site énigmatique pour certains a été interprété tour à tour comme un site défensif gaulois, un aménagement anthropique non expliqué, ou encore, comme une tranchée creusée pour piéger les loups lors de battues. Pour les archéologues miniers ayant travaillé à Bibracte, cet ensemble s'apparente par sa topographie caractéristique à une mine travaillée à ciel ouvert et sans doute prolongée en profondeur par des chantiers souterrains. Les monticules qui bordent les fosses correspondent manifestement aux haldes générées par l'activité minière[15],[16].
L’ancienneté du site est attestée par son intégration parfaite dans le couvert forestier.
La Loutière, une mine en roche typique (Sn, Au-Ag).
Voie romaine
La commune est située sur la voie romaine entre Autun « Augustodunum », à 30 km, ville romaine fondée par l'empereur Auguste et la ville d’Orléans « Cenabum », via Entrains-les-Bains « Intaranum ». L’ancienne voie romaine croise à Arleuf (théâtre gallo-romain des Bardiaux[17]) une des routes de l'axe Alésia - Bibracte. Les vestiges sur la commune d’Ouroux sont partiellement classés Monuments Historiques, section d'Ouroux à l'Huis-Picard par arrêté du .
Les vestiges classés MH sont observables à l’ouest de la commune d’Ouroux, en bifurquant depuis la route départementale D17 et en suivant le D232, jusqu’à l'Huis-Picard.
Moyen Âge
Au Moyen Âge, Ouroux fut le chef-lieu d'une châtellenie du comté de Château-Chinon.
XIXe siècle
Le , Savault, un gros hameau, fut incendié. Ce gros village (sacra Vallis) doit son nom à la vallée où il est bâti. Sur un mamelon isolé qui le domine est une chapelle, rebâtie à travers les siècles, mais dont l'origine remonte à la plus haute Antiquité[18].
En 1870, une grande partie du village d'Ouroux et l'église entière furent incendiés. Les toits, alors recouverts en chaume, facilitèrent les ravages du feu. La nouvelle église fut alors construite entre 1875 et 1878 dans le style roman, à trois nefs.
Histoire moderne (XXe siècle)
Le Tacot du Morvan
Au début du XXe siècle, la commune était desservie par le chemin de fer de Corbigny à Saulieu, surnommé le Tacot du Morvan.
La ligne longeait l'étang communal et disposait d'une gare dans le bourg (située à l'emplacement de l'actuelle salle de fêtes). La commune disposait également de deux haltes aux hameaux de Chamerelle, et de Cœuzon-Savelot.
Le trafic de voyageurs s'est arrêté le [19].
Seconde Guerre mondiale (1939-1945)
En mars 1943, durant la Seconde Guerre mondiale, sous l’occupation Allemande, le capitaine Louis Aubin, alias Bernard, ancien gendarme à la retraite, fonda le maquis Bernard[20]. D’abord très modeste, le maquis Bernard pu se développer progressivement avec l’aide de la population locale. Ce maquis se situe dans les bois de Coeuzon, près de l'étang « de la Passée », à environ sept kilomètres à l’est du village d'Ouroux. Le maquis est reconnu en par le commandement militaire, il est rattaché aux Forces Françaises de l’Intérieur[21].
Depuis le printemps 1944, le maquis Bernard voit ses effectifs affluer : le , il compte 25 hommes, 65 hommes le et pas moins de 125 hommes le [22].
Les forces anglaises du SAS réalisent des parachutages en 1944. En plus d’armes habituellement parachutées (pistolet-mitrailleur Sten MKII, fusil Lee Enfield no 4), ce groupe de maquisards du maquis Bernard est doté, chose exceptionnelle, d'une arme antichar anglaise du type PIAT, Projector Infantry Anti Tank.[22]
À partir de , le maquis Bernard pris beaucoup d’importance, avec à la fois la présence d’une quarantaine de parachutistes Anglais Special Air Service[23], les fameux SAS, et de l’état major départemental de la résistance Nivernais[24].
L'unité de commandement des FFI se réalise, après le débarquement, sous la responsabilité d'un Etat-Major départemental installé au Maquis Bernard, dont le chef militaire était le Colonel Gaston Roche[25].
Comptant jusqu'à 1 200 hommes en 1944, le maquis Bernard fut l'un des plus importants maquis du Morvan.
À la Libération, à partir de , Ouroux fut durant quelques semaines la préfecture clandestine de la Nièvre. Monsieur Robert Jacquin, haut fonctionnaire, fut nommé Préfet de la Nièvre par le Général de Gaulle[26].
Le sont signés « les accords d’Ouroux-en-Morvan » qui unifient l’ensemble de la Résistance nivernaise : Forces Françaises de l’Intérieur et Francs Tireurs et Partisans Français[27].
XXIe siècle
En 2008, avec l'entrée de Chypre et de Malte, la commune était située au centre géographique de la zone euro. Depuis le , avec l'arrivée de la Slovaquie, il s'est déplacé vers la commune de Liernais.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2022, la commune comptait 596 habitants[Note 2], en évolution de −5,7 % par rapport à 2016 (Nièvre : −3,28 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Lieux et monuments
- Civils
- Buste de chevalier, XVe siècle, semble avoir appartenu à une statue équestre : saint Martin ou saint Georges[35]; en bois[36], Classé MH (1962)[37] ;
- Manoir de la résistance du XVIIe siècle, situé dans le bourg du village, abrita un Hôpital de campagne clandestin du « Maquis Bernard » , et le groupe Franco Britannique du nom de guerre « Team Harry » chargé des liaisons radio entre la France Libre du Général De Gaulle à Londres et la résistance en Morvan.
- Les amateurs de pêche se retrouveront à l'étang municipal situé à l'entrée du village. Les spécialistes de la truite iront pêcher dans la rivière classée en 1re catégorie : le Chalaux ;
- Panorama de la Croix des Morts avec vue sur les monts du Morvan ;
- Vieux village de Savault et sa chapelle, dont est originaire le sculpteur Jean Gautherin ;
- Site de la Roche du Bois de Thare ;
- Sites préhistoriques des tranchées de la Loutière ;
- Vestiges de la voie romaine entre Autun « Augustodunum », et la ville d’Orléans « Cenabum », via Entrains-les-bains "Intaranum". Les vestiges sur la commune d’Ouroux sont partiellement Classé Monument Historique, section d'Ouroux à l'Huis-Picard : arrêté du 25 mars 1938 [38];
- Cimetière franco-anglais du maquis Bernard. Ce lieu de mémoire et de recueillement est situé près de l'étang de la Passée, dans les collines boisées qui domine le hameau de Savelot. Il comporte 27 tombes de résistants et de parachutistes du Special Air Service (SAS) anglais. Il est accessible en voiture par une route étroite et sinueuse;
- La commune possède de nombreux chemins de randonnée, et elle est traversée par le GR de Pays Tour du Morvan.
- Religieux
- Église Saint-Germain, de style néo-roman. À l'intérieur :
- Vierge à l'Enfant, fin du XVe siècle, bois, revers plat, traces de polychromie[39], Classé MH (1939)[40] ;
- un bas-relief du XIVe siècle.
L'église est ouverte tous les jours[41].
-
Le cimetière franco-anglais du maquis Bernard.
-
La chapelle de Savault sous la voûte étoilée.
Personnalités liées à la commune
- Etienne Gudin (1734-1819), Général de division dans l'infanterie, Chevalier de la Légion d’honneur, né à Ouroux-en-Morvan.
- Jean Gautherin (1840-1890), sculpteur et peintre, né à Ouroux-en-Morvan dans le hameau de Savault. Sculpteur de talent, il réalisa de nombreuses statues, que l'on retrouve encore à Paris, Nevers, Copenhague.
- Michel Baroin (1930-1987), est né à Paris (6e). Il passe une partie de son enfance dans le Morvan. Son père Barthélémy Claude BAROIN est né au village de Savault, commune d’Ouroux-en-Morvan en 1901, et y est décédé en 1984[42]. La famille Baroin a des origines dans le Morvan, on peut retracer la présence d’une famille Baroin à Ouroux-en-Morvan depuis 1620[43]. Michel Baroin était haut fonctionnaire, homme d'affaires P.-D.G. de la Garantie Mutuelle des Fonctionnaires (G.M.F) a partir de 1974, et Franc-Maçon. Initié en en 1960 à la loge « Les Amis de l'Humanité » du Grand Orient de France (GODF) à Paris[44], il devient grand maître en 1977. L’avenue Michel Baroin a été inaugurée le jeudi 10 mars 1988 en présence du Président de la République François Mitterrand.
Jumelages
Notes
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Ouroux-en-Morvan et Dun-les-Places », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Dun_sapc », sur la commune de Dun-les-Places - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Dun_sapc », sur la commune de Dun-les-Places - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Insee, « Métadonnées de la commune ».
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ Benjamin Marquebielle, « Les mines anciennes des Éduens », sur TRACES : UMR 5608 (consulté le )
- ↑ « Le site de La Loutière dans le Morvan - Laurent Voyage », sur www.laurentvoyage.com (consulté le )
- ↑ « Le site de La Loutière dans le Morvan - Laurent Voyage », sur www.laurentvoyage.com (consulté le )
- ↑ Călin Gabriel Tămaş Tămaş, Béatrice Cauuet et Jean-Paul Guillaumet, « Recherches sur les exploitations minières anciennes du Morvan », Bibracte. Centre Européen d’archéologie. 2004. Rapport annuel d’activité 2004., , p. 340-357
- ↑ « Théâtre des Bardiaux », sur www.arleuf.fr (consulté le )
- ↑ « Ouroux-en-Morvan »
- ↑ Les Chemins d'Ouroux, « Coup de projecteur sur l’histoire du Tacot » (consulté le )
- ↑ Site officiel de la commune
- ↑ « Grand tour du Morvan »
- « Fondation Résistance »
- ↑ « Le Journal du Centre »
- ↑ « Mairie d’Ouroux en Morvan »
- ↑ « Maquis de la Nièvre »
- ↑ « Maquis Nièvre »
- ↑ « Histoire d’Ouroux »
- ↑ À la suite de son élection en tant que président du conseil général de la Nièvre en 2011, Patrice Joly démissionne de son poste de maire et devient 1er adjoint.
- Bulletin municipal n°35 - été 2011 (p.2-3) éditée par la commune d'Ouroux-en-Morvan
- ↑ À la suite de la démission de Patrice Joly, André Guyollot, jusque-là 1er adjoint, est élu maire de la commune
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ « Buste », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- ↑ Manquent les bras, il est coiffé d'une cotte de mailles
- ↑ Fabrice Cario, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 55, p. 77, 160.p.
- ↑ « Voie romaine d'Autun à Orléans (ancienne) », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- ↑ Richesse d'Art en Morvan, p. 120-121, notice no 82.
- ↑ Fabrice Cario, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 15, p. 31, 160.p.
- ↑ Dépliant touristique du diocèse de Nevers, Visitez les églises de la Nièvre, Pastorale Tourisme et Loisirs, 2013.
- ↑ « Généalogie de Barthélémy Claude BAROIN », sur Geneanet (consulté le )
- ↑ « Généalogie de Emiland BAROIN », sur Geneanet (consulté le )
- ↑ « Discours François Mitterrand inauguration Avenue Michel Baroin », sur www.vie-publique.fr, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Lucien Charrault et Paul Devoucoux, La chapelle de Savault, commune d’Ouroux-en-Morvan, vers 1933.
Liens externes
- Site de la commune
- Fiche Station verte d'Ouroux-en-Morvan
- Ouroux-en-Morvan sur le site de l'Institut géographique national
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