Olivia Rosenthal

Olivia Rosenthal
Olivia Rosenthal en 2014.
Biographie
Naissance
Nationalité
Activité
Autres informations
Directrice de thèse
Gisèle Mathieu-Castellani (d)
Genre artistique
roman, théâtre, scénario, art contemporain
Distinction
Prix Wepler, 2007
Prix Pierre-Simon « Éthique et société », 2007
Prix franco-allemand Candide, 2009
Prix Alexandre-Vialatte, 2011
Œuvres principales
  • On n’est pas là pour disparaître (2007)
  • Que font les rennes après Noël ? (2011)
  • Mécanismes de survie en milieu hostile (2016)
  • Éloge des bâtards (2019)
  • Un singe à ma fenêtre (2022)

Olivia Rosenthal, née en 1965 à Paris, est une romancière, dramaturge et performeuse française.

Biographie

Enfance et formation

Olivia Rosenthal est née à Paris en 1965[1].

Élève de l'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud[2], elle soutient une thèse sur la poésie amoureuse de la fin du XVIe siècle[3].

Enseignement

Elle enseigne la littérature à l'université de Rennes, dans les années 1990, puis, à partir de 1998, à l'université Paris-VIII-Vincennes-Saint-Denis[3].

Écriture

Ellel commence à publier des récits, à partir de 1999, et des pièces de théâtre, à partir de 2004[1],[4].

En 2008, elle achève une pièce sonore intitulée Viande froide pour le CentQuatre, lieu culturel où elle est accueillie en résidence en 2006-2007[5].

Depuis 2008, elle s'est engagée aussi dans un projet sur « L'architecture en paroles » dont le premier volet a été réalisé lors d’une résidence au Centquatre-Paris, sous la forme d’une pièce sonore et d’un texte, Viande froide (2008)[5]. Le deuxième volet de ce projet, diffusé sous la forme d’une pièce sonore dans l’exposition organisée par le musée Carnavalet sur L'Impossible Photographie : les prisons parisiennes 1851-2010, est publié sous le titre Maison d’arrêt Paris-La Santé, 42, rue de la Santé 75014 Paris dans le catalogue de cette exposition[6],[7]. Pour le troisième volet, Olivia Rosenthal a travaillé avec Philippe Bretelle (graphiste) sur la ville de Bobigny[8]. Elle a conçu avec lui des affiches collées sur certains bâtiments de la ville et ils ont réalisés ensemble (avec l'aide du musicien Pierre Avia) une performance musicale intitulée C'est très loin d'ici. Toujours avec Philippe Bretelle, elle a composé une œuvre visuelle pour l'inauguration du tramway de Brest (commande de Brest métropole océane)[9].

En 2018, elle entre en résidence à la Villa Kujoyama, établissement artistique de l'Institut français[10] et publie à la suite ses recherches sur les attentats aux gaz sarins à Tokyo un livre sur son expérience au Japon (Un singe à ma fenêtre, 2022)[11]. Fin 2018, elle crée Macadam animal, un spectacle conçu et joué en compagnie d'Eryck Abecassis, compositeur et vidéaste[12], repris ensuite à l'espace André-Malraux de Chambéry. Ce spectacle, qui porte sur la présence des animaux sauvages dans les villes, est présenté de nombreuses fois sous la forme de chapitres séparés (les rats, les corbeaux, les chiens, les termites, les crabes) dans divers lieux et festivals (Maison de la Poésie à Paris et à Nantes, La Criée à Marseille, etc.). Elle publie un nouveau roman, Éloge des bâtards, en 2019[13]. Ce roman donne lieu à deux formes performatives : l’une avec Bastien Lallemant (pour la Maison de la Poésie)[14], l’autre avec Eryck Abecassis sous la forme d’un « concert parlé » intitulé L’Archipel des bâtards[15].

En 2022, elle publie dans la collection Diaporama de l’IMEC, Futur antérieur, un texte où elle analyse son travail au regard d’images de son choix[16]. Adepte du cinéma, elle choisit de commenter les photogrammes des films qui l’ont inspirée.

En 2025 paraît Une femme sur le fil[17],[18].

Sa première pièce, Les félins m'aiment bien, est créée en 2005 à Saint-Denis, dans une mise en scène d'Alain Ollivier[19] avec Valérie Crunchant (Cérès) et Florence Payros (Marianne). En 2008, elle écrit Les Lois de l’hospitalité, mis en scène par Marie Vialle aux Subsistances à Lyon (reprise en 2011)[20],[21].

À partir de 2005[1], elle réalise des performances, en collaboration avec des cinéastes (Olivier Ducastel, Laurent Larivière), des écrivains (Denis Lachaud, Michaël Batalla, Patrick Chatelier) et des chorégraphes (Chloé Moglia, Julia Cima)[22].

Prix littéraires

  • 2007 : Prix Wepler Fondation La Poste 2007[23] et prix Pierre-Simon « Éthique et réflexion » pour On n'est pas là pour disparaître
  • 2011 : Prix du Livre Inter[1], prix Alexandre-Vialatte et prix Ève-Delacroix pour Que font les rennes après Noël[24]
  • 2019 : Prix Transfuge du meilleur roman français de l'année pour Éloge des bâtards[25].

Œuvres

Son œuvre est traduite dans plusieurs langues : anglais, italien, allemand, hongrois, espagnol, coréen et chinois complexe[26],[27].

Romans

  • Dans le temps, éditions Verticales, 1999 (réédition 2023)
  • Mes petites communautés, éditions Verticales, 1999[28]
  • Puisque nous sommes vivants, éditions Verticales, 2000
  • L'Homme de mes rêves ou les mille travaux de Barnabé le sage devenu Barnabé le bègue à la suite d'une terrible mésaventure qui le priva quelques heures durant de la parole, éditions Verticales, 2002
  • Les Fantaisies spéculatives de J. H. le sémite, éditions Verticales, 2005[29]
  • On n’est pas là pour disparaître, éditions Verticales, 2007[30]Prix Wepler 2007
  • Viande froide : Reportages, Cent-Quatre éditions/ Nouvelles Éditions Lignes, 2008
  • Maison d'arrêt Paris-La Santé, 42, rue de la Santé 75014 Paris dans L'Impossible Photographie : les prisons parisiennes 1851-2010, Paris-Musées, 2010
  • Que font les rennes après Noël ?[24], éditions Verticales, 2010[31]
  • Ils ne sont pour rien dans mes larmes, éditions Verticales, 2012[32],[33],[34]
  • Mécanismes de survie en milieu hostile[35],[36], éditions Verticales, 2014[37]
  • Toutes les femmes sont des Aliens, éditions Verticales, 2016
  • Éloge des bâtards, éditions Verticales, 2019
  • Un singe à ma fenêtre, éditions Verticales, 2022
  • Une femme sur le fil, éditions Verticales, 2025

Contes

  • Les Sept Voies de la désobéissance, collection Minimales, éditions Verticales, 2004[38].
    • Traduit en hongrois : Az engedetlenség hét útja, Nyitott Kônyvmühely, 2007 (par Ilona Kovács)
  • Jouer à chat, Invenit Musée des confluences, coll. « Récits d'objets », 2018[39]

Théâtre

  • Les félins m'aiment bien, Éditions Actes Sud Papiers, 2004[40]
  • Forêt vierge : Théâtre(s), Presses universitaires de Rennes, no 24, 2006 et revue Les écrits, édition canadienne, 2012
  • Les Lois de l'hospitalité, Inventaire/Invention, 2008[41]
  • Des cochons et des hommes, mise en espace et lecture par Denis Lavant au Grand R, scène nationale de La Roche-sur-Yon,
  • La découverte de l'Amérique, dans "Ruptures" pour le Paris des femmes, collection des quatre-vents, l'avant-scène théâtre, 2021[42]
  • Une petite commande, "L'Avant-scène théâtre", Les intrépides, collection des quatre-vents, 2022, p. 48-62[43]

Opéra

  • Safety First, livret d'un opéra créé avec Eryck Abecassis (compositeur) pour le festival Reims scènes d'Europe, .

Essais

  • Donner à voir : écritures de l'image dans l'art de poésie au XVIe siècle, Champion, coll. « Etudes et essais sur la Renaissance », (ISBN 978-2-85203-830-1)
  • Dir., À haute voix. Diction et prononciation aux XVIe et XVIIe siècles, Klincksieck, 1998[44]
  • Olivia Rosenthal, Julie Chanclu, Noémie Chicot et Vanessa Martel, Olivia Rosenthal parle des éditions Verticales, Université de Paris 10, Pôle des métiers du livre, coll. « Entretiens », (ISBN 978-2-84016-012-0)
  • Futur antérieur, coll. « Diaporama », édition de l'IMEC, 2022[16]

Autres créations

L'écriture au présent

  • « Le paradoxe du manche », in Lorsque le bucheron pénétra dans la forêt avec sa hache, les arbres se dirent ne nous inquiétons pas le manche est des notes, Verticales, 2003 (spécimen gratuit)
  • « Science fiction », in Le roman aujourd'hui, Cécile Defaut, 2005, p. 155-166[45]
  • « L'auteur en répétition (journal) » n° spécial de Littérature, Théâtre, : le retour au texte ?, n°138, , p. 39-49
  • « A l'horizontale », Qui est vivant?, Verticales, 2003 (spécimen gratuit)[46]
  • « La chair du chien », Quoi maintenant?, écritures n°15, 2007, p. 99-103[47]
  • « La zone d'inconfort », in Le roman quelle invention !, Assise du roman Villa Gillet, Christian Bourgois, 2008, p. 399-408[48]
  • « Recette pour de Pas », in Seize nouvelles (pour une recette secrète), Thierry Magnier, 2008[49]
  • « C'est le moment ou jamais de disparaître », Action restreinte, théorie & expérience de la fiction, 2008, p. 8-11[50]
  • « Nous jouons avec le chien », in A quoi jouons nous?, 2008, p. 27-29[51]
  • « La bête et la bête - ISO 11784 » in La Meute, Stéphane Thidet, 2009, p. 28-46 [52]
  • La Littérature exposée. Les écritures contemporaines hors du livre, n° spécial de Littérature, n°160,
  • « Non » in Lexique nomade, Assise du roman 2008, en partenariat avec Le Monde et la Villa Gillet, Paris, Christian Bourgois, 2008[53]
  • « Le rôle et la présence des animaux dans le roman » in Les assises internationales du roman, Christian Bourgois, p. 149-156[54]
  • « Le commencement de quelque chose », Nouvelle Revue française, n° 602, 2012, p. 223-226
  • « J'entends des voix », in Devenir du roman. Écriture et matériaux, inculte Essai, 2015, p. 61-74
  • « Le climat n'est pas bon », Du souffle dans les mots : trente écrivains s'engagent pour le climat, Arthaud, 2015, p. 266-271[55]
  • « Il y a de drôles de fruits qui pendent aux arbres », revue en ligne de l'ensemble inter-contemporain, . Traduit en allemand pour une anthologie de la littérature Française[56]
  • « Qui êtes vous Georges Perec ? », Cahier de l'Herne sur Georges Perec, 2016
  • « Le refuge », En présence des livres : six points et six contrepoints architecturaux et littéraires : autour des bibliothèques de Pierre Riboulet, Productions du Effa, 2016, p. 105-109[57]
  • « Toutes les voix du dehors, entretien avec Olivia Rosenthal ? », par Violaine Houdard-Mérot, Fictions documentées, Éditions le Manuscrit, coll. « Genre(s) et création », 2020[58], p. 151-162
  • « La beauté du chiffre ? », Chronique n° 100, BNF, avril juillet 2024, p. 64-65
  • « La place de la mort », revue Cockpit, 2024 (écrit dans le cadre du festival Jamais Lu n° 8, Théâtre ouvert, novembre 2023)

À écouter ou voir

Notes et références

  1. M.-O. André, « Rosenthal, Olivia [Paris 1965] », dans Béatrice Didier, Antoinette Fouque et Mireille Calle-Gruber (dir.), Dictionnaire universel des créatrices, éditions Des femmes, , p. 3742.
  2. « ROSENTHAL Olivia », sur fablitt.univ-paris8.fr (consulté le ).
  3. « Olivia Rosenthal, l'écriture de la transgression », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  4. « Bibliographie ».
  5. Mathilde Buliard, « Les enquêtes d’Hélène Gaudy et d’Olivia Rosenthal : partager l’auctorialité pour mieux l’affirmer ? », Revue critique de fixxion française contemporaine, no 25,‎ (DOI 10.4000/fixxion.3337, lire en ligne).
  6. « Rosenthal Olivia », sur Carceropolis.
  7. L'Impossible Photographie : prisons parisiennes, 1851-2010, Paris-Musées, (ISBN 978-2-7596-0112-7, OCLC 519249426, lire en ligne).
  8. De(générations) peuple des voix 12, Saint-Etienne, Revue De(s)générations, , 96 p. (ISBN 9782355751196), p. 56-67.
  9. Frédérique Guiziou, « À Brest, sept œuvres d’art contemporain pour le tramway : une collection à ciel ouvert », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  10. « Olivia Rosenthal », sur villakujoyama.jp (consulté le ).
  11. Tiphaine Samoyault, « Un singe à ma fenêtre, d’Olivia Rosenthal », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  12. « Animal (3) : Macadam animal », France Musique,‎ (lire en ligne).
  13. Bertrand Leclair, « Éloge des bâtards : une parabole d’Olivia Rosenthal », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  14. [vidéo] « Éloge des bâtards », Festival Histoire et Cité, , 79:34 min (consulté le ).
  15. Créé au Théâtre 14, repris au théâtre 71 de Malakoff, au grand R de La Roche-Sur-Yon ; cf. : « "L’Archipel des bâtards", l’adaptation du livre d’Olivia Rosenthal au Grand R », (consulté le ).
  16. Olivia Rosenthal, Futur antérieur, Éditions de l'IMEC, coll. « Diaporama », (ISBN 978-2-35943-035-6).
  17. Olivia Rosenthal, Une femme sur le fil, éditions Gallimard, coll. « Verticales », (ISBN 978-2-07-308306-7).
  18. « Verticales [Auteurs] », sur editions-verticales.com (consulté le ).
  19. Jean-Pierre Thibaudat, « Jeux des deux sexes chez «les félins» », Libération,‎ (lire en ligne).
  20. « Les lois de l’hospitalité », sur Les Subs.
  21. Yvan Amar, « Les lois de l’hospitalité, d'Olivia Rosenthal », RFi,‎ (lire en ligne).
  22. « Funambulisme, littérature de la Renaissance et mathématiques avec Olivia Rosenthal », sur France Culture, (consulté le ).
  23. « Olivia Rosenthal », sur France Culture, (consulté le ).
  24. « Que font les rennes après Noël ?, Olivia Rosenthal », Télérama,‎ (lire en ligne).
  25. « Le palmarès "Transfuge" de la rentrée littéraire 2019 », Livres Hebdo,‎ (lire en ligne).
  26. "On a touché au vers": genèses de la forme poétique, Sorbonne Université Presses, coll. « Genesis », (ISBN 979-10-231-0794-4), entretien avec Anne Herschberg-Pierrot, "Olivia Rosenthal, l'écriture des voix", p. 148-163.
  27. Olivia Rosenthal, « Écrits, créations et travaux d’Olivia Rosenthal », Relief - Revue électronique de littérature française, vol. 16, no 2,‎ , p. 160 (ISSN 1873-5045, DOI 10.51777/relief13507, lire en ligne, consulté le ).
  28. Olivia Rosenthal, Mes petites communautés, Verticales, (ISBN 978-2-84335-061-0).
  29. Olivia Rosenthal, Les fantaisies spéculatives de J.H. le Sémite, Verticales, (ISBN 978-2-84335-199-0).
  30. Traductions :
    • anglais We're not here to disappear, Otis Books/Seismicity Editions, 2015 (par Béatrice Mousli Bennett) ;
    • allemand Wir sind nicht da um zu verschwinden, Ulrike Helmer Verlag, 2017 (par Birgit Leib).
  31. Traductions :
    • italien Che fanno le renne dopo Natale? Nottetempo, 2011 (par Cinza Poli) ;
    • anglais To Leave with Reinder, 2019 (par Sophie Lewis).
  32. Olivia Rosenthal, Ils ne sont pour rien dans mes larmes, Verticales, coll. « Minimales », (ISBN 978-2-07-013717-6).
  33. Yann Coillot et Laurent Mauvignier, Scènes de mort: mourir en littérature, Gallimard, coll. « Folio », (ISBN 978-2-07-043710-8).
  34. Traduction anglaise partielle They Are for Nothing in Our Tears, La Presse, Provincetown, 2016 (par Béatrice Mousli Bennett).
  35. « Mécanismes de survie en milieu hostile, roman expérimental d'Olivia Rosenthal », Culturebox,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Mécanismes de survie en milieu hostile, Olivia Rosenthal », Télérama,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Traductions :
    • allemand Überlebensmechanismen in feindlicher Umgebung, Matthes & Seitz Berlin, 2017 (par Nicola Denis) ;
    • coréen, Alma éditions, 2020 ;
    • néerlandais (traduction partielle), revue Terras, n° 11, juin 2016.
  38. Olivia Rosenthal, Les sept voies de la désobéissance, Verticales, (ISBN 978-2-84335-188-4).
  39. Olivia Rosenthal, Jouer à chat, Invenit Musée des confluences, coll. « Récits d'objets », (ISBN 978-2-37680-015-6).
  40. Olivia Rosenthal, Les Félins m'aiment bien, Arles, Actes sud papiers, , 70 p. (ISBN 2742752749).
  41. Olivia Rosenthal, Les lois de l'hospitalité, "Inventaire-invention", coll. « Textes », (ISBN 978-2-914412-71-1).
  42. Ruptures: huit pièces courtes, "L'Avant-scène théâtre", coll. « Collection des quatre-vents », (ISBN 978-2-7498-1507-7).
  43. L'espace inattendu: six pièces courtes, "L'Avant-scène théâtre", coll. « Collection des quatre-vents », (ISBN 978-2-7498-1562-6).
  44. Á haute voix: diction et prononciation aux XVIe et XVIIe siècles ; actes du colloque de Rennes des 17 et 18 juin 1996, sous le haut patronage de la Société française d'étude du seizième siècle, Klincksieck, coll. « Actes et colloques », (ISBN 978-2-252-03166-7).
  45. L'aujourd'hui du roman, Defaut, (ISBN 978-2-35018-004-5).
  46. Editions verticales Qui est vivant?, France, Verticales, collection minimales, , 256 p., p. 155-160.
  47. Jacques Jouet, Jérôme Poloczek, Pierre Dulieu et Jérôme Poloczek, Quoi maintenant ?, La 5e Couche, (ISBN 978-2-930356-35-8).
  48. Le roman, quelle invention !, C. Bourgois, coll. « Titres », (ISBN 978-2-267-02002-1).
  49. Seize nouvelles, T. Magnier, (ISBN 978-2-84420-705-0).
  50. Action restreinte n°10, Faire le vide, Epernay, .
  51. Lionel Ruffel, À quoi jouons-nous ?, C. Deffaut, (ISBN 978-2-35018-064-9).
  52. Stéphane Thidet, La meute, Lieu unique, (ISBN 978-2-9514932-9-2).
  53. Lexique nomade, C. Bourgois, coll. « Titres », (ISBN 978-2-267-01985-8).
  54. Les assises internationales du roman 2011, C. Bourgois, coll. « Titres », (ISBN 978-2-267-02229-2).
  55. Du souffle dans les mots : trente écrivains s'engagent pour le climat, Arthaud, (ISBN 978-2-08-138024-0).
  56. « Accents online | Il y a de drôles de fruits qui pendent aux arbres. Un texte inédit d’Olivia Rosenthal. », sur ensembleinter.com (consulté le ).
  57. En présence des livres : six points et six contrepoints architecturaux et littéraires : autour des bibliothèques de Pierre Riboulet, Les Productions du Effa, (ISBN 978-2-9545545-2-5).
  58. A. Marie Petitjean, Fictions documentées, Éditions le Manuscrit, coll. « Genre(s) et création », (ISBN 978-2-304-04884-1).

Voir aussi

Bibliographie critique

  • Marie-Odile André, « Hériter la mémoire ? - Olivia Rosenthal et la maladie de A », Un retour des normes romanesques dans la littérature française contemporaine, Paris, Sorbonne Nouvelle, 2010.
  • Geneviève Jolly, « Une partition didascalique plurielle : Les félins m'aiment bien d'Olivia Rosenthal », Le texte didascalique à l'épreuve de la lecture et de la représentation, Pessac, Presses universitaires de Bordeaux ; Tunis Sud édition, 2007.
  • Alain Ollivier, « Olivia Rosenthal : un texte pour la scène : "Les félins m'aiment bien" », Littérature, 138, .
  • Nancy Murzilli, « L’expérimentation du dispositif chez Olivia Rosenthal : Les Larmes hors le livre », Cahiers de Narratologie, no 23,‎ (ISSN 0993-8516, DOI 10.4000/narratologie.6633, lire en ligne, consulté le ) ; « Le pas de deux d'Olivia Rosenthal », dans Magali Nachtergael et Lucille Toth, Danse contemporaine et littérature : entre fictions et performances écrites, Centre national de la danse, coll. « Recherches », (ISBN 978-2-914124-55-3) ; Les Presses du réel, 2017.
  • Termite Marinella, « Fleurs d'amertume : Delaume et Rosenthal », Écrire le fiel, Bari, Graphis, 2010.
  • Olivia Rosenthal : le dispositif, le monde et l'intime, Journée d'études, le , université Jean-Monnet-Saint-Étienne (disponible en ligne). Publié dans Ecritures contemporaines n° 15, La revue des lettres modernes 2020-1, C, Classique Garnier (sous la direction de Laurent Demanze et Fabien Gris).
  • Olivia Rosenthal, l'esprit animal, Le Matricule des anges n° 171,
  • Zeitgenössische Literatur aus Frankreich: den @gegenwärtigen Zustand der Dinge festhalten$d, Wallstein Verlag, coll. « die horen », (ISBN 978-3-8353-3121-1).
  • « Toujours faire du continu avec du discontinu », The French Review, entretien avec Olivia Rosenthal par Martine Motard-Noar, The Américain University of Paris, n° 90, mars 2017, p. 186-195
  • « Panoplie littéraire d'Olivia Rosenthal », dans Décapage, vol. 61, Paris, Flammarion, automne-hiver 2019, 172 p., p. 71-125.
  • Morgane Kieffer et David Vrydaghs, « Olivia Rosenthal : l’écriture aux aguets », Relief - revue électronique de littérature française, vol. 16, no 2,‎ , p. 1–17 (ISSN 1873-5045, DOI 10.51777/relief13484, lire en ligne, consulté le ).
  • « L'écriture des voix. Entretien avec Olivia Rosenthal », dans "On a touché au vers": genèses de la forme poétique, Sorbonne Université Presses, coll. « Genesis », (ISBN 979-10-231-0794-4), chap. 58/24, p. 148-163.

Liens externes

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