Moyenneville (Pas-de-Calais)
| Moyenneville | |||||
| Une vue de la commune. | |||||
Blason |
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| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | France | ||||
| Région | Hauts-de-France | ||||
| Département | Pas-de-Calais | ||||
| Arrondissement | Arras | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes du Sud-Artois | ||||
| Maire Mandat |
François Caron 2020-2026 |
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| Code postal | 62121 | ||||
| Code commune | 62597 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Moyennevillois | ||||
| Population municipale |
289 hab. (2022 ) | ||||
| Densité | 45 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 50° 10′ 56″ nord, 2° 46′ 45″ est | ||||
| Altitude | Min. 91 m Max. 128 m |
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| Superficie | 6,48 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Bapaume | ||||
| Législatives | Première circonscription | ||||
| Localisation | |||||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Moyenneville est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Moyennevillois. La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.
Géographie
Localisation
Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, Moyenneville est une commune rurale située, à vol d'oiseau, à 9 km au nord-ouest de la commune de Bapaume et à 12 km au sud de la commune d’Arras (aire d'attraction, chef-lieu d'arrondissement et préfecture du Pas-de-Calais)[1].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes. Les communes limitrophes sont Boisleux-au-Mont, Ablainzevelle, Ayette, Boiry-Saint-Martin, Courcelles-le-Comte et Hamelincourt.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 6,48 km2 ; son altitude varie de 91 à 128 m[2].
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[3],[4],[Carte 1].
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 795 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Paysages
La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[11]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[12].
Milieux naturels et biodiversité
L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[13].
Urbanisme
Typologie
Au , Moyenneville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,2 %), zones urbanisées (4,8 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Medonivilla en 680 ; Mediana villa en 1097 ; Medunvilla en 1104 ; Mediavilla au XIIe siècle ; Moienevilla en 1212 ; Medioville en 1260 ; Moihieneville en 1263 ; Moiieneville en 1273 ; Moyaneville en 1310 ; Moiienneville en 1330-1331 ; Moieneville en 1330 ; Moienneville en 1380 ; Moyenville en 1651[19] ; Moyenneville en 1793 et depuis 1801[2].
En toponymie, « moyen » a eu sans doute le sens d'intermédiaire, à mi-route, « qui occupe une situation intermédiaire entre deux endroits ».
Traditionnellement les linguistes et toponymistes attribuent à ce toponyme le sens de « [localité au] milieu de la plaine » ou « plaine du milieu »[20] sur la base du gaulois medio- (medios) « du milieu, central », apparenté directement au vieux breton med, met et par l'indo-européen au latin medius[21]. Le second élément -lano- serait un mot *lanon non attesté en gaulois, mais reconstitué d'après le latin plānus « plat ». L'interprétation actuelle est plutôt « sanctuaire entre deux » ou intermédiaire, à mi-lieu[22].
L'historien français Henri Martin a suggéré dès le XIXe siècle que Mediolanum pouvait signifier « centre de la région », identifiant ainsi un sanctuaire « central », c'est-à-dire un lieu de culte[23] et de nombreux chercheurs après lui considèrent cette théorie du XIXe siècle comme exacte[24], avec la nuance toutefois de « centre sacré »[21].
Se limitant à la question du sens de Mediolanum, Christian-Joseph Guyonvarc'h l'attribue sans hésiter au vocabulaire religieux du celtique continental, et le rapproche du Medionemeton évoqué à propos du locus consecratus (lieu consacré) de Jules César : Medionemeton, Mediolanum, Vindolana et toutes les formations de ce genre ont désigné sans nul doute à l'origine un enclos ou une clairière, au moins un espace libre symbolisant le centre religieux et culturel de la peuplade gauloise, de la tribu ou de la cité. De plus, le second élément du nom, -lanum, peut être interprété comme une forme de lanos, « plein », avec le sens de « parfait, complet ». Le toponyme « indique selon toute apparence un endroit où pouvait se réaliser une espèce de plénitude religieuse, un centre de perfection ».
Histoire
Première Guerre mondiale
À l'issue de la Première Guerre mondiale, le village est décoré de la croix de guerre 1914-1918 le , distinction également attribuée à 276 autres communes du Pas-de-Calais[25].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[26].
Commune et intercommunalités
La commune était membre de la petite communauté de communes du sud Arrageois, créée fin 1992.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, cette intercommunalité est dissoute et une partie de ses communes rejoint la nouvelle intercommunalité créée le par la fusion de la communauté de communes de la région de Bapaume et de la communauté de communes du canton de Bertincourt.
C'est ainsi que la commune est désormais membre de la communauté de communes du Sud-Artois. Cette communauté de communes regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021[26].
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Croisilles[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Bapaume[26].
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 2012 de la première circonscription du Pas-de-Calais[27].
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés par le regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui regroupe Boisleux-au-Mont, Boisleux-Saint-Marc, Hamelincourt et Moyenneville[34].
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Moyennevillois[35].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2022, la commune comptait 289 habitants[Note 5], en évolution de +8,65 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 139 hommes pour 138 femmes, soit un taux de 50,18 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Bertin.
- Le monument aux morts, surmonté d'une croix de guerre[41].
-
L'église.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Casimir Bursztyn, Lieutenant pilote, officier polonais, abattu le sur le territoire de la commune pendant la bataille de France[42].
- René Thomé, abattu le par les SS battant en retraite[43].
Héraldique
| Blason | Parti : au 1er d'argent à la Vierge de carnation tenant l'Enfant Jésus du même, tous deux auréolés et vêtus d'azur, l'enfant tenant un sceptre fleurdelisé du même, au 2e fascé de vair et de gueules[44]. |
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|---|---|---|
| Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
- Dossier de la commune sur le site de l'Insee[Note 6], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 7]
- « La commune » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
Notes
- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- ↑ "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Moyenneville » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, sur le site Géoportail (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- ↑ « Fiche communale de Moyenneville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Moyenneville et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Moyenneville ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 427a.
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux celtique continental, Paris, éditions Errance, , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 220 - 221.
- ↑ Roger Brunet, Trésor du terroir : Les noms de lieux de la France, CNRS éditions (ISBN 978-2-271-09278-6).
- ↑ Henri Martin, Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, Paris, Furne, (BNF 41665440).
- ↑ (it) Venceslas Kruta, La grande storia dei Celti : la nascita, l'affermazione e la decadenza, Rome, Newton e Compton Editori, , 492 p. (ISBN 88-8289-851-2).
- ↑ « Communes décorées de la Croix de guerre 1914 - 1918 » [PDF], sur Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51) (consulté le ), p. 68.
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- ↑ « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Moyenneville: Albert Thomé a rangé son fusil après soixante-cinq campagnes de chasse : Samedi après-midi, à la salle d'honneur de la mairie, on a rendu hommage à Albert Thomé, né à Moyenneville, le 7 avril 1923, maire honoraire et vétéran de la société de chasse locale », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ L. B., « Moyenneville : le maire, Jean-Marie Blaise, est décédé : Maire de Moyenneville depuis 2010, Jean-Marie Blaise est décédé ce matin à l'âge de 68 ans. Il avait été précédemment secrétaire de mairie à Agny pendant dix-huit ans », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ A.D. (CLP), « Moyenneville (les projets des maires) : des travaux à la mairie et pas d'augmentation des impôts : Jean-Marie Blaise, 66 ans, retraité de la fonction publique, marié, trois enfants, qui habite le bourg depuis 15 ans, a commencé sa carrière d'élu en 2001. Il est devenu maire en 2010. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « François Caron, nouveau maire : Vendredi soir, François Caron a été (sic) maire de Moyenneville avec dix voix et un bulletin nul. Ont été élus adjoints : Françoise Bras, premier adjoint, avec 11 voix, Deuxième adjoint : François Boniface, avec 11 voix et troisième adjoint : Francis Bras : 11 voix. Une élection sans histoire qui démontre la cohésion au sein du nouveau conseil municipal », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ « Un nouveau visage dans l'école du village », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Moyenneville (62597) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ « Neuville-Saint-Vaast : hommage renouvelé à l'aviateur polonais abattu le 25 mai 1940 à Moyenneville », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Moyenneville : hommage à René Thomé, tombé en 1944 sous les balles allemandes », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Armorial de France, p. 7130
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