Milon-la-Chapelle

Milon-la-Chapelle

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CC de la Haute Vallée de Chevreuse
Maire
Mandat
Pascal Hamon
2020-2026
Code postal 78470
Code commune 78406
Démographie
Gentilé Milonais
Milonaises
Population
municipale
292 hab. (2022 )
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 37″ nord, 2° 03′ 39″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 164 m
Superficie 3,06 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maurepas
Législatives 2e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Milon-la-Chapelle
Géolocalisation sur la carte : France
Milon-la-Chapelle
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Milon-la-Chapelle
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Milon-la-Chapelle
Liens
Site web https://www.milon-la-chapelle.fr/

Milon-la-Chapelle est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Elle se trouve dans le Parc naturel régional Haute Vallée de Chevreuse.

Géographie

Situation

Milon-la-Chapelle est située à 22 km au sud-ouest de Paris, à 10 km au sud-ouest de Versailles et à 18 km au nord-est de Rambouillet[1].

La commune se trouve dans l'aire urbaine de Paris et dans son bassin de vie, et dans la zone d'emploi de Versailles - Saint Quentin[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Chevreuse, Magny-les-Hameaux, Saint-Lambert et Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 3,06 km2 ; son altitude varie de 80 à 164 mètres[2].

Hydrographie

La commune est traversée par le Rhodon, un affluent de l'Yvette et donc un sous-affluent de la Seine par l'Orge

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 666 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisel à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records CHOISEL (78) - alt : 176m, lat : 48°41'04"N, lon : 2°00'01"E
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 31-08-2019
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1 3,1 5 8,4 11,4 13,2 13 10,1 7,4 4,1 1,6 6,6
Température moyenne (°C) 4 4,4 7,5 10,1 13,8 17 19,2 19 15,4 11,6 7,2 4,2 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,7 11,9 15,3 19,2 22,6 25,1 25 20,8 15,8 10,4 6,9 15,6
Record de froid (°C)
date du record
−14,2
14.01.1979
−13,5
07.02.1991
−10,4
13.03.13
−4,5
15.04.19
−1
07.05.1997
2,2
04.06.1991
4,9
19.07.1974
4,3
21.08.14
1,8
30.09.12
−4
30.10.1997
−9,5
24.11.1998
−10,6
29.12.1996
−14,2
1979
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
27.01.03
18,5
24.02.1990
24
29.03.1989
28
21.04.18
31,6
28.05.17
36,4
27.06.11
37,5
01.07.15
39,5
06.08.03
33
05.09.13
28,5
03.10.11
21
08.11.15
16,5
07.12.00
39,5
2003
Précipitations (mm) 61,4 51,7 51,5 48,9 67,8 61,5 52,4 56,3 51,6 65,8 64,7 75,5 709,1
Source : « Fiche 78162001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

La comme est incluse dans le parc naturel régional Haute Vallée de Chevreuse[9].

Urbanisme

Typologie

Au , Milon-la-Chapelle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 5,8 % 18
Terres arables hors périmètres d'irrigation 14,2 % 44
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 19,1 % 59
Forêts de feuillus 60,9 % 188
Source : Corine Land Cover[13]

Habitat et logement

En 2022, le nombre total de logements dans la commune était de 125, alors qu'il était de 117 en 2016 et de 121 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 91,2 % étaient des résidences principales, 7,1 % des résidences secondaires et 1,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Milon-la-Chapelle en 2022 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,1 %) supérieure à celle du département (2,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Milon-la-Chapelle en 2022.
Typologie Milon-la-Chapelle[I 3] Yvelines[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,2 91,3 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,1 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 1,8 6,1 8

Voies de communication et transports

La commune est relativement isolées des principales voies de communication du secteur. Elle est desservie par la RD 46.

La gare la plus proche est la Gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse qui est le terminus sud du RER B.

Toponymie

La commune actuelle est issue de la réunion de deux paroisses en 1791. L'une, le Château de Milon, l'autre, La Chapelle, sur la rive gauche du Rhodon, sous le nom de Milon, puis, ultérieurement de Milon-la-Chapelle[2].

Le nom de la localité est attesté sous la forme Capella Milonis au XIIIe siècle, « La Chapelle de Milon »[14].

Albert Dauzat et Ernest Nègre, qui ne connaissent pas de formes anciennes, expliquent l'élément Milon par le nom de personne germanique Milo pris absolument[15],[16] et que l'on retrouve dans la Ferté-Milon[17].

Elle peut faire référence au châtelain de Chevreuse du XIIe siècle, Milon Ier de Chevreuse.

Histoire

Milon-La-Chapelle était vers le XVIe siècle divisé en deux paroisses. L'une, La Chapelle, était sur la rive gauche du Rhodon, l'autre, le Château de Milon, était sur la rive droite de cette même rivière. L'origine de l'union des deux localités se situe au niveau de l'hiver 1672 où le froid rend inaccessible le chemin menant à la messe pour les Milonais. La Chapelle accepte par conséquent d'accueillir les habitants de Château de Milon dans leur propre église.[réf. nécessaire] L'union officielle est officialisée lors de la création de la commune par la Révolution française[2].

Le château de Milon a été édifié au début du XVIIe siècle pour la famille Besset, seigneurs de Milon. Il est vendu en 1764 au baron Johann de Kalb, officier allemand d'origine bavaroise qui a servi la France dans la guerre de Sept Ans et a été l'envoyé secret de Louis XVI auprès des insurgents des colonies anglaises d'Amérique, puis le mentor de La Fayette dans la guerre d'indépendance des États-Unis où il meurt des suites de ses blessures au combat, sur le champ de la Bataille de Camden[18]. Johann de Kalb transmet le château de milon la Chapelle par mariage à son gendre, le comte Raymond de Vandière de Vitrac d’Abzac , maire du village pendant de nombreuses années. Ancien écuyer de Charles X, le comte installe un haras après la Révolution française[réf. nécessaire].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet[I 1] après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chevreuse[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections[I 1]. départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Maurepas

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité

Milon-la-Chapelle est membre de la communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse[I 1]. , un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2012 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
ca. 1968   Jean Geffroy   Ancien maire de Moustoir-Remungol (Morbihan)
Chevalier de la Légion d'honneur (1968)
         
mars 1977 juin 1995 François Prieur[20]   Architecte urbaniste
Cofondateur du parc naturel de la vallée de Chevreuse
juin 1995 mai 2020 Jacques Pelletier DVD Président de la CC de la Haute Vallée de Chevreuse (2013 → 2020)
mai 2020[21] En cours
(au 4 juin 2025)
Pascal Hamon   Ingénieur
Vice-président de la CC de la Haute Vallée de Chevreuse (2020 → )

Équipements et services publics

Santé et solidarité

La fondation Anne-de-Gaulle, institution fondée en 1945 à l'initiative de Charles de Gaulle et son épouse Yvonne pour accueillir des jeunes femmes handicapées mentales « sans ressources, bénéficiant des secours de l’assistance publique et de préférence provenant de familles éprouvées par la guerre » est installée dans le château de Vertcœur, dans les Yvelines, sur un domaine de quinze hectares.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2022, la commune comptait 292 habitants[Note 3], en évolution de +4,29 % par rapport à 2016 (Yvelines : +2,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1861 1876 1881 1886
203266222213197200164161167
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
182167171170166151141168119
1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
181250282233288340335339321
2007 2012 2017 2022 - - - - -
319279289292-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,3 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 120 hommes pour 166 femmes, soit un taux de 58,04 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
0,6 
8,4 
75-89 ans
13,4 
29,0 
60-74 ans
27,2 
22,2 
45-59 ans
29,9 
15,5 
30-44 ans
10,7 
10,4 
15-29 ans
9,4 
12,8 
0-14 ans
8,8 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église de l'Assomption-de-la-Très-Sainte-Vierge. Une première chapelle est construite au XIIe siècle par Milon de Chevreuse, puis remplacée par cet édifice, au XVIIIe siècle.
Avant le regroupement des deux hameaux de Milon et de la Chapelle, les habitants de la Chapelle s'y rendaient pour les offices, alors que ceux de Milon allaient à Chevreuse.
  • Le chemin de Jean-Racine : C'est à l'occasion du tricentenaire de la naissance du poète, en 1939, que le tracé de ce chemin, long de d'un peu plus de 5 km, fut officiellement inauguré par Albert Lebrun.
  • Les cloches de Milon : Les deux cloches de la chapelle datent d'avant la Révolution. À la suite de leur restauration, elles ont été classées comme monuments historiques. La petite, la plus ancienne des deux, date de 1613. La grande cloche, date de 1762.
  • Le château de Milon : Ce château, également appelé château d'Abzac, a vraisemblablement été construit au début du XVIIe siècle pour la famille Besset, seigneurs de Milon. Il est vendu en 1764 au baron de Kalb, officier qui participe à la guerre d'Indépendance aux côtés de La Fayette, puis passe par mariage à son gendre, le comte Raymond d'Abzac, maire du village pendant de nombreuses années. Ancien écuyer de Charles X, le comte installe un haras à Milon après la révolution de 1830.
  • Le château de Vert-Cœur, siège de la fondation Anne-de-Gaulle. Construit pour René Philippon, ce château est caractéristique des constructions bourgeoises de la fin du XIXe siècle. René Philippon est spécialiste des sciences occultes, collectionneur, entomologiste et mécène. Son château est le rendez-vous du tout-Paris pendant une quinzaine d'années, et constitue alors le lieu le plus en vue de la vallée de Chevreuse. En 1946, Charles de Gaulle achète la propriété pour y établir la Fondation Anne-de-Gaulle, établissement d'accueil pour jeunes filles handicapées mentales.
  • La croix de cimetière (classée Monument historique en 1969), dont le socle est daté du XIIIe siècle, date elle-même du XIVe siècle. Probablement originaire de Bretagne, elle est dépourvue de Christ et représente un arbre de vie abstrait. Ses extrémités sont dentelées, et une rosace se trouve à la jonction des deux bras.
  • La plaque commémorative du général de Kalb : brigadier des armées, Jean de Kalb est envoyé en mission en Amérique après la paix de 1763, par le traité de Paris qui laisse les colonies américaines aux Anglais. Rentré en France, il se lie avec Benjamin Franklin venu solliciter l'aide française, et réussit à convaincre d'autres officiers de la nécessité d'une intervention, comme le marquis de La Fayette.
  • La tombe du baron Frédéric de Reiffenberg : le baron Frédéric de Reiffenberg (1830-1895), historiographe militaire belge, habita le presbytère de Milon-la-Chapelle au XIXe siècle et y mourut. Un de ses livres "Le presbytère de Milon-La-Chapelle", publié en 1876, raconte l'histoire de la chapelle qui remonte au XIIe siècle.

Milon-la-Chapelle dans les arts et la culture

Le peintre Henri Rivière a dessiné un paysage de Milon-la-Chapelle en 1923 :

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Milon-la-Chapelle », p. 189–191
  • Robert Bonfils, peintre et graveur, Dessins et épreuves pour les jardins du château de Vert-Cœur, Éditions de Vert-Cœur, 1923.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. Mesures effectuées sur les données Google Earth, en ligne droite depuis le centre des villes respectives.
  2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Milon-la-Chapelle et Choisel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Milon-la-Chapelle », Un Territoire Préservé > Le patrimoine > Dans les 55 communes > La Carte des communes du Parc, sur https://www.parc-naturel-chevreuse.fr (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. Mariane Mulon-Nom de Lieux d'Ile-de-France (1997), p. 99.
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 427b.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, librairie Droz, Genève, 1991, Volume II, p. 853, n° 14846 [1]
  17. ibidem
  18. Jean de Kalb in Google et le film documentaire de F. Ferrand sur France 2, "Secrets d'Histoire", 2011
  19. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  20. « Fonds Prieur, François (1921-2002). 375 Ifa », sur archiwebture.citedelarchitecture.fr (consulté le ).
  21. « Compte Rendu du Conseil Municipal du 25 mai 2020 » [PDF], Conseils municipaux et arrêtés, sur milon-la-chapelle.fr (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Milon-la-Chapelle (78406) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).


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