Maison Saint-Jean
| Type |
maison de maître |
|---|---|
| Partie de | |
| Destination initiale |
maison d'habitation |
| Architecte |
Georges Auguste Ranchon |
| Construction |
1er quart du XIXe siècle |
| Propriétaire | |
| Patrimonialité |
Inscrit MH () |
| Région | |
|---|---|
| Département | |
| Commune |
| Coordonnées |
48° 45′ 16″ N, 2° 17′ 53″ E |
|---|
La Maison Saint-Jean, ancienne propriété Chénier dite de la Belle Levantine, est une maison de maître du début de XIXe siècle.
Cette maison de maître (façades et toitures) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [1].
Description
Histoire
Ce bâtiment a été construit par Louis-Sauveur Chénier, fils cadet de Louis Chénier, et frère d'André Chénier sur les plans de l'architecte Georges Auguste Ranchon. En 1820[2], cette maison est achetée par Jean-Charles Persil, ministre de Louis-Philippe, qui y meurt en 1870. Elle appartient aujourd'hui à la Fondation marianiste.
Deux personnalités marianistes importantes y séjournent. Le , dans la chapelle de la maison, le futur martyr Jakob Gapp s'engage définitivement dans la Société de Marie (Marianistes) en prononçant ses vœux perpétuels. Fin , le jeune Faustino Pérez-Manglano campe dans le parc au cours d'un séjour organisé par son collège, Santa Maria del Pilar de Valence.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à l'architecture :
Notes et références
- ↑ Notice no IA00121237, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- ↑ La maison Chénier (sur le site de l'APPA)
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