Mahamat Garfa
| Mahamat Garfa | |
| Biographie | |
|---|---|
| Nom de naissance | Mahamat Garfa |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Faréh (sous-préfecture de Guéréda |
| Nationalité | Tchadienne |
| Profession | Homme Politique et Militaire |
| Religion | Islam |
Mahamat Garfa, né vers 1952 à Faréh (sous-préfecture de Guéréda[1]), est un officier tchadien, chef d'état-major de l'armée nationale tchadienne au début des années 1990, puis ministre des Mines de mai à [2]
Biographie
Mahamat Garfa nait vers 1952 à 1952 à Faréh (sous-préfecture de Guéréda. Il est un membre de l'ethnie Tama[3]. Son petit frère est sultan de Dar Tama[4]. En septembre 1994, il se détache du président Idriss Déby et entre dans l'opposition ; il fonde en l'Alliance nationale de la résistance (ANR), qui mène des attaques contre le territoire tchadien à partir du Darfour soudanais. Le , à Libreville, il signe un accord de paix avec le gouvernement, qui est dénoncé par les officiers de l'ANR restés au Tchad[5].
Notes et références
- ↑ Recueil des numéro de L'autre Afrique publiés en 1997, p. 32.
- ↑ Robert Buijtenhuijs, Transition et élections au Tchad 1993-1997, Paris, Karthala, 1998, p. 97.
- ↑ Bernard Lugan, Les Guerres d'Afrique des origines à nos jours, Éditions du Rocher 2013, p. 257
- ↑ « Un ressortissant de la communauté Tama crève l’abcès : « Qui en veut à Mahamat Nour Abdelkerim, ex Ministre de la Défense de Deby? » », sur Tchadactuel, (consulté le )
- ↑ Jean-Marc Balencie et Arnaud de la Grange, Les nouveaux mondes rebelles, Paris, Michalon, 2004, p. 175.
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