La Flamengrie (Nord)

La Flamengrie

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CC du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Yohan Lecerf
2020-2026
Code postal 59570
Code commune 59232
Démographie
Gentilé Français[1]
Population
municipale
433 hab. (2022 )
Densité 213 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 58″ nord, 3° 43′ 02″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 132 m
Superficie 2,03 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoye-Aymeries
Législatives 3e circonscription du Nord
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Flamengrie
Géolocalisation sur la carte : France
La Flamengrie
Géolocalisation sur la carte : Nord
La Flamengrie
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
La Flamengrie

La Flamengrie est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

C'est une commune limitrophe de la Belgique, et le village se poursuit dans la commune belge de Honnelles en Wallonie. En effet, la localité n'est devenue française qu'à la suite des Traités de Nimègue de 1678 mettant fin à la guerre de Hollande.

Géographie

Localisation

La Flamengrie a une position très particulière sur la frontière franco-belge à la croisée de deux routes l'une longeant la frontière, l'autre conduisant en Belgique des deux côtés. Des maisons ont été construites du côté belge de ces routes et La Flamengrie est, de fait, un village franco-belge.

Cette situation amène, par exemple la traversée du village français par la camionnette de la poste belge pour porter le courrier à ces maisons belges comprenant l'unique bistrot de la localité. Le jour du , la fanfare du village belge voisin vient devant le monument aux morts, jouer aussi bien la « Marseillaise » que la « Brabançonne », l'hymne national belge.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dans la zone d'emploi de Maubeuge et dans le bassin de vie de Bavay[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Bettrechies, Saint-Waast, Wargnies-le-Petit et Honnelles.

Honnelles (be)
Honnelles (be)
Wargnies-le-Petit
N Honnelles (be)
Bettrechies
O    La Flamengrie    E
S
Preux-au-Sart Saint-Waast Saint-Waast

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 2,03 km2 ; son altitude varie de 108 à 132 mètres[2].

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie.

Elle est drainée par le ruisseau du Sart et le ruisseau de la Flamengrie[3],[4],[Carte 1].

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[5].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Milieux naturels et biodiversité

La Flamengrie fait partie du parc naturel régional de l’Avesnois.

Urbanisme

Typologie

Au , La Flamengrie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[6].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,9 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,6 %), terres arables (45,2 %), zones urbanisées (7,7 %), prairies (1,2 %), forêts (0,3 %)[9].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

En 2022, le nombre total de logements dans la commune était de 190, alors qu'il était de 173 en 2016 et de 174 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 92,9 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient tous des maisons individuelles[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à La Flamengrie en 2022 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) par rapport au département (1,8 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à La Flamengrie en 2022.
Typologie La Flamengrie[I 3] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 92,9 91 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 1,8 9,7
Logements vacants (en %) 5,7 7,2 8

Voies de communication et transports

La commune est desservie par une sortie sur l'ancienne route nationale 49 (actuelle RD 649, une voie express).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Flamengeria (1174) ; Flamingeria (1187) ; Flamangeria (1186-1204)[10].

Du néerlandais Vlamingen « Flamands » et du suffixe roman -aria (colonia) : « la (colonie) de Flamands »[10], nom d'origine populaire, né du parler roman et latinisé en Flamingeria. L'appellation « La Flamengrie » a désigné divers endroits, principalement dans le Hainaut, indiquant des terres occupées par des immigrants flamands (Flamingi) ; le suffixe -erie indiquant le caractère collectif du mot. Le nom de la commune n'apparaît qu'à partir de la fin du XIIe siècle, époque où une émigration se fit depuis la Flandre.

Une commune de l'Aisne porte le même nom : La Flamengrie[11].

Histoire

Temps modernes

A la fin de la guerre de Hollande du XVIIe siècle opposant la France et ses alliés (Angleterre, Münster, Liège, Bavière, Suède) à la Quadruple-Alliance comprenant les Provinces-Unies, le Saint-Empire, le Brandebourg et la Monarchie espagnole, et remportée notamment par Louis XIV, les traités de Nimègue de 1679 attribuent à la France les places-fortes de Condé, Valenciennes, Maubeuge conquises par Louis XIV ont été attribuées à la France, ainsi que Bavay, ville non fortifiée, ainsi que les villages dépendant de ces villes, et la limite du territoire de ces villages a déterminé la frontière.

La Flamengrie fait alors partie de la prévôté de Bavay et est devenue française, tandis que le village voisin de Roisin était dans la prévôté de Mons et est resté espagnol. Il se trouve que les seigneurs de Roisin possédaient de grands bois, le bois de Roisin situé au sud de La Flamengrie et le bois du Perchois situé à l'est, qui sont également restés espagnols. La Flamengrie s'est ainsi trouvée entourée de terres espagnoles. Qui plus est, la route qui allait de Valenciennes à Bavay, puis à Maubeuge, était interrompue par ces bois où contrebandiers et brigands pouvaient échapper aux autorités françaises. La liaison entre les places-fortes de Valenciennes et Maubeuge n'était pas sure ; la voiture de l'Intendant du Hainaut y a même été attaquée.

Tout au long du XVIIIe siècle, des conférences diplomatiques ont eu lieu entre Français et Autrichiens (qui avaient succédé aux Espagnols aux Pays-Bas) afin de rectifier la frontière et de supprimer les enclaves comme celle de La Flamengrie. Les Français, soucieux de sécuriser la route de Valenciennes à Maubeuge, demandaient, au minimum, la cession du bois de Roisin. Finalement, lors d'une convention pour la modification de la frontière signée le , la France obtient seulement une partie du Bois de Roisin ; encore faut-il céder à l'Autriche la même superficie en terres agricoles prises tout autour du village de La Flamengrie. Pendant l'été 1780, les bois et les parcelles non construites et non habitées autour du village sont arpentés, mesurés et cartographiés. Une nouvelle limite est ainsi définie, qui imposera aux habitants toute une série de contraintes. Des bornes sont placées en 1781 le long de cette frontière modifiée, à chaque changement de direction de son tracé ; comme ce tracé est particulièrement tortueux, il ne faut pas moins de 65 bornes. Ces bornes diffèrent des bornes plus simples qu'on trouve ailleurs sur la frontière. En pierre bleue sculptée, elles portent d'un côté le mot « FRANCE » surmonté des trois fleurs de lys royales et de l'autre, le mot « AUTRICHE » surmonté de l'aigle bicéphale couronné, emblème de l'empire autrichien des Habsbourg ; sur le dessus de chaque borne est gravé son numéro d'ordre allant de 1 à 65. On peut encore voir aujourd'hui une cinquantaine de ces bornes, la plupart en bon état ; une vingtaine sont à proximité des rues et chemins de La Flamengrie, les autres sont dans la campagne, au détour des haies.

La présence de la frontière, si près du cœur du village, a profondément marqué la vie des habitants...

Ce village est le lieu de nombreuses anecdotes concernant les contrebandiers et leur traque par les douaniers...

En 1888, une statue de Marianne est offerte à la commune par une souscription nationale organisée par le gouvernement, à la fin de la crise du Boulangisme, car tous les électeurs avaient votés pour la République[12].

Époque contemporaine

Lors de la Première Guerre mondiale, le village se trouve en zone d'occupation allemande, et n'est libéré que le par des troupes britanniques.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bavay[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aulnoye-Aymeries[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Nord.

Intercommunalité

La Flamengrie était membre de la communauté de communes du Bavaisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Pays de Mormal, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

Liste des maires successifs[13]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1802 ou avant[14] 1808 ou après[15] P. J. Crasquin    
         
1889   Jean Baptiste Mathieu Philippe    
         
1939 ou avant[16]   M. Masson    
         
mars 1977 juin 1995 Maurice Delbove[Note 4]    
juin 1995 mai 2020[17] Régis Grémont-Naumann   Ingénieur des mines
Chef d'une entreprise valenciennoise de travaux publics routiers[18]
mai 2020[19]

Fin=

En cours
(au 23 mai 2020)
Yohan Lecerf   Dirigeant d'un cabinet en évolution professionnelle

Équipements et services publics

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2022, la commune comptait 433 habitants[Note 5], en évolution de +5,61 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
283235269315348411403354340
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
328344287282293306322312306
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
288295318283315319326293298
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
344268208305317355395401396
2017 2022 - - - - - - -
420433-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 218 hommes pour 206 femmes, soit un taux de 51,42 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
4,7 
75-89 ans
4,9 
17,2 
60-74 ans
22,7 
25,9 
45-59 ans
17,7 
18,5 
30-44 ans
18,1 
14,3 
15-29 ans
15,2 
19,4 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église Saint-Gilles de 1859.
  • Une cinquantaine de bornes frontières sculptées datant de 1780 (sur les 65 qui existaient à l'origine).
  • La chapelle des Français, bâtie à la limite de Roisin en mémoire de réfugiés français de la guerre de 1870 ; la chapelle Notre-Dame de Bon Secours.
  • La statue de Marianne (1889), don de la République reconnaissante pour le vote du refus du boulangisme, . La statue, haute d'environ 1,80 m dorée à la feuille, a été volée en 2008[25]. Une petite réplique en terre cuite est placée dans la mairie en en attendant la création d'une nouvelle statue grandeur originale[26].

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason
Bandé d'argent et de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

Bibliographie

"La Flamengrie, village marqué par la frontière" par Jean-Louis Renteux, 1978, IPNS, La Flamengrie"

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le parc de loisir de la commune porte le nom de ce maire
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de la Flamengrie » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024)..
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. Vincent Tripiana, « À La Flamengrie, on a volé Marianne aux Français ! », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Sandre, « le ruisseau de la Flamengrie ».
  4. « Fiche communale de la Flamengrie », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le ).
  5. « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
  6. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 736.
  11. « La Flamengrie : ce village du Nord et ce village de l’Aisne portent le même nom, pas simple », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ) « Deux communes séparées de 50 kilomètres de distance portent le même nom. L’une, La Flamengrie, se situe dans le Nord, l’autre, La Flamengrie, se trouve dans l’Aisne. Ce qui provoque parfois quelques confusions, notamment dans les correspondances ».
  12. « La Flamengrie BAVAY : fête centenaire statue Marianne », JT soir Nord Pas de Calais, INA, (consulté le ).
  13. « Les maires de Flamengrie (la) », sur https://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
  14. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  15. « Annuaire du département du Nord. Année 1809. », sur Lillonum. Bibliothèque numérique. Université de Lille, p. 174. Image 193.
  16. Annuaire administratif et statistique du département du Nord-Année 1939, p. 98.
  17. « La Flamengrie: Régis Grémont-Naumann a fait revenir Marianne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ) « Cela fait une cinquantaine d’années que Régis Grémont-Naumann, ingénieur des Mines à la retraite, également fondateur et dirigeant de la SORETRA à Raismes, habite La Flamengrie. A plus de 80 ans, il a décidé de ne plus se représenter ».
  18. Julien Castelli, « Régis Grémont-Naumann, « électron libre », a inventé un « éco-matériau » », La Voix du Nord par MaVille,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « La Flamengrie: Yohan Lecerf, le nouveau maire souhaite dynamiser le village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ) « Yohan Lecerf a été élu maire de ce petit village du Bavaisis. Âgé de 39 ans il est originaire de Denain et a déjà siégé dans l’ancien conseil municipal où il était membre de l’opposition ».
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Flamengrie (59232) », (consulté le ).
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  25. http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Maubeuge/actualite/Autour_de_Maubeuge/Maubeuge_et_sa_region/2008/10/08/article_a-la-flamengrie-on-a-vole-marianne-aux-f.shtml La Voix du Nord du 8 novembre 2008
  26. http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Maubeuge/actualite/Autour_de_Maubeuge/De_Jeumont_a_Bavay/2009/06/20/article_la-commune-retrouve-une-marianne-repliqu.shtml La Voix du Nord du 20 juin 2009
  27. Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999.
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