La Bâtie-Rolland

La Bâtie-Rolland

Le village.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Pascal Beynet
2020-2026
Code postal 26160
Code commune 26031
Démographie
Gentilé Bâtisiens, Bâtisiennes
Population
municipale
1 068 hab. (2022 )
Densité 128 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 18″ nord, 4° 51′ 57″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 210 m
Superficie 8,33 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieulefit
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Bâtie-Rolland
Géolocalisation sur la carte : France
La Bâtie-Rolland
Géolocalisation sur la carte : Drôme
La Bâtie-Rolland
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
La Bâtie-Rolland

La Bâtie-Rolland est une commune française, située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants, longtemps dénommés Bastidois, sont désormais appelés Bâtisiens[réf. nécessaire].

Géographie

Situation et description

La Bâtie-Rolland se trouve à 10 km à l'est de Montélimar.

Communes limitrophes

Géologie

Hydrographie

La commune est parcourue par le Roubion, le Manson, le Vermenon et le Jabron.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 867 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montboucher-S-Jabron » sur la commune de Montboucher-sur-Jabron à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

Typologie

Au , La Bâtie-Rolland est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,3 %), zones agricoles hétérogènes (15 %), forêts (6 %), zones urbanisées (4,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

La commune est établie autour d'une colline située au centre de la plaine de la Valdaine.

Quartiers, hameaux et lieux-dits

Site Géoportail (carte IGN)[12] :

    Logement

    Projets d'aménagement

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie quotidiennement par la ligne de bus reliant Montélimar à Valréas[13]. Un bus scolaire, organisé par la municipalité, dessert le collège de Montélimar[14].

    Risques naturels et technologiques

    Risques sismiques

    Autres risques

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

    • 1272 : castrum de Bastida (cartulaire de Montélimar, 21) ;
    • 1332 : Bastida Rollani (Gall. christ., XVI, 130) ;
    • 1336 : Bastida Rollandi (cartulaire de Montélimar, 43) ;
    • 1509 : mention de l'église Sainte-Marie-Magdeleine : ecclesia Beate Marie Magdalene Bastide Rollandi (visites épiscopales) ;
    • 1595 : La Bastie Rolland (inventaire de la chambre des comptes) ;
    • 1891 : La Bâtie-Rolland, commune du canton de Marsanne.

    Étymologie

    La « Bâtie » signifie la « maison forte » (étymologie commune à bastion, bastide, bastille, etc.). Au début du IXe siècle, un château-fort aurait été construit par Lambert Rolland. La Bâtie-Rolland est donc très simplement le lieu où se trouvait la maison forte de Rolland[réf. nécessaire].

    Histoire

    Ancien village fortifié dominé par le château édifié au XIIe siècle par Lambert Rolland, qui donna son nom au village. Le fief et les terres demeurèrent la propriété des descendants de Lambert Rolland jusqu'à la fin du XIVe siècle. Après la mort sans postérité de Giraud de La Bastie, sa femme légua ses biens à son frère Pierre de Cornillan, lequel les constitua en dot de sa fille Brunissande lorsqu'elle épousa Humbert de Beaumont en 1420. Jusqu'en 1589, ce fief et ces terres demeurèrent dans la famille de Beaumont, année où ils furent vendus au capitaine Louis de Blain-Marcel, seigneur du Poët. L'ensemble fut revendu en 1769 à Antoine Dejean de Caderousse, titulaire de la charge de Conseiller Secrétaire du Roi au Parlement de Grenoble, lequel accola le nom de ce fief à son patronyme.

    Si la partie haute du château est ruinée dès le XVIIe siècle, le village reste confiné dans l'enceinte fortifiée, l'entrée du village étant défendue par un important bâtiment construit lui aussi au XIIe siècle mais profondément remanié au XVIe siècle, flanqué néanmoins d'une tour gardant l'unique accès au village.

    Ce village d'origine est aujourd'hui lui aussi détruit, les habitants ayant, selon une pratique courante dans la région à cette époque, démonté leur maison dans les années 1870-1900 pour la reconstruire dans la plaine, le long de la route de Dieulefit et de l'ancienne voie de chemin de fer du « Picodon » afin d'avoir un accès plus aisé à l'eau, puis, très rapidement, à l'électricité installée dans le village dans les toutes premières années du XXe siècle.

    Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la colline dominant le village est à plusieurs reprises le lieu de combats meurtriers avec l'armée italienne pour la prise de cette place qui permettait de contrôler l'ensemble de la Valdaine.

    En raison de la proximité de Montélimar, ce village connaît une importante croissance de sa population depuis les années 1980.

    Politique et administration

    Tendance politique et résultats

    Administration municipale

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1871 ?    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874 ?    
    1874 1878 ?    
    1878 1884 ?    
    1884 1888 ?    
    1888 1892 ?    
    1892 1896 ?    
    1896 1900 ?    
    1900 1904 ?    
    1904 1908 ?    
    1908 1912 ?    
    1912 1919 ?    
    1919 1925 ?    
    1925 1929 ?    
    1929 1935 ?    
    1935 1945 ?    
    1945 1947 ?    
    1947 1953 ?    
    1953 1959 ?    
    1959 1965 ?    
    1965 1971 ?    
    1971 1977 ?    
    1977 1983 Pierre Nicolas PS directeur d'école publique
    1983 1989 Pierre Nicolas   maire sortant
    1989 1995 Pierre Nicolas   maire sortant
    1995 2001 Pierre Nicolas   maire sortant
    2001 2008 Robert Léopold    
    2008 2014 Robert Léopold   maire sortant
    2014 2020 Pascal Beynet   fonctionnaire
    2020 En cours
    (au 8 nov. 2022)
    Pascal Beynet[16][source insuffisante]   maire sortant

    Rattachements administratifs et électoraux

    Politique environnementale

    Finances locales

    Population et société

    Démographie

    En 1793, la population de cette commune était de 392 âmes[15]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].

    En 2022, la commune comptait 1 068 habitants[Note 2], en évolution de +6,69 % par rapport à 2016 (Drôme : +2,64 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

    Évolution de la population  [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    459531569628685758776780807
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    788759754736666630597622604
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    562601540482483475478501488
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    577578603637712814895906900
    2017 2022 - - - - - - -
    1 0291 068-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Services et équipements

    Enseignement

    La Bâtie-Rolland dépend de l'académie de Grenoble. Les élèves commencent leurs études à l'école primaire du village[21]. Les collégiens se rendent à Montélimar[22], comme les lycéens[23].

    Santé

    La commune dispose d'un cabinet de deux infirmières. Il n'y a aucun médecin généraliste. Les plus proches hôpitaux se situent à Montélimar[24].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : dernier dimanche de juillet / Fête communale : premier dimanche de mai[25].

    Loisirs

    Sports

    • Équitation[25].
    • Football en entente avec d'autres villages aux alentours (Montboucher-sur-Jabron, Espeluche).

    Médias

    Le territoire de la commune se situe dans l'aire de diffusion de plusieurs médias :

    • Pour la presse écrite
      • Le Dauphiné libéré, quotidien régional qui consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de « Romans et Drôme des collines » un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
      • L'Agriculture Drômoise, journal d'informations agricoles et rurales, couvre l'ensemble du département de la Drôme.
      • Drôme Hebdo (ancien Peuple Libre), hebdomadaire chrétien d'informations.
    • Pour la presse audio-visuelle
      • Ici Drôme Ardèche est une radio publique diffusée sur son territoire et celui du département.

    Cultes

    La communauté catholique et l'église de la commune sont rattachées à la Paroisse Paroisse Sainte Anne sur Roubion et Jabron qui dépend du diocèse de Valence, doyenné de Cléon-d'Andran[26].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : Lavande, polyculture, bovins, ovins[25].

    La commune accueille le siège social de l'union de coopératives Top Semence, spécialisée dans la production de semences[27].

    Commerce et artisanat

    • Une boulangerie-pâtisserie[28].
    • Un salon de coiffure[29].
    • Plusieurs artisans du BTP[30], et du jardin[31],[32].

    Tourisme

    • Vue étendue sur la plaine[25].

    Revenus de la population et fiscalité

    Emploi

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château-fort : ses ruines occupent la colline (notamment la tour qui domine le village). Il aurait été érigé au début du IXe siècle par Lambert Rolland[réf. nécessaire].
    Château (ruiné)[25] du XIIe siècle[réf. nécessaire].
    • Église Saint-Roch (ruinée) du XIIe siècle (ancienne chapelle du château)[réf. nécessaire].
    Ancienne église paroissiale, dédiée à saint Roch. Elle est située sur la colline du châtelas, aux pieds de l'ancien château-fort. Abandonnée en 1860, elle est aujourd'hui en ruine. Les claveaux de l'arc donnant accès au chœur (non effondré) gardent de belles peintures murales aujourd'hui assez dégradées (site fermé au public)[réf. nécessaire].
    • Chapelle Saint-Andéol au cimetière (XIIe siècle au XIVe siècle) : art roman provençal, nef unique à trois travées, décor végétal, porche en arc brisé. Bâtiment classé (MH)[25].
    • Oratoire « Le Romain » : bas-relief[25].
    • Château de La Bâtie-Rolland (propriété privée).
    • Fermes fortes[25].
    • L'église actuelle (XIXe siècle) est dédiée à « Notre-Dame-des-Victoires » et non pas à « saint Roch », contrairement à une idée largement répandue au niveau local, y compris paroissial. L'autel situé dans le transept ouest dédié à « Notre-Dame des Victoires » en témoigne, ainsi que les procès-verbaux des visites canoniques des curés de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Le choix de ce vocable est lié au développement du culte de Notre-Dame des Victoires, lancé par l'abbé Charles-Éléonore Dufriche-Desgenettes en la basilique Notre-Dame-des-Victoires de Paris à partir de 1840. L'église, de style néo-roman, présente peu d'intérêt architectural[réf. nécessaire].

    Patrimoine culturel

    Patrimoine naturel

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    Au champ d'or à deux mains au naturel issant des pointes de l'écu, au chef d'azur chargé d'un croissant d'argent accosté de 2 étoiles du même[33].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Annexes

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre La Bâtie-Rolland et Montboucher-sur-Jabron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    5. « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
    8. Insee, « Métadonnées de la commune ».
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    12. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    13. ligne de bus.
    14. transport scolaire.
    15. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 24 (La Bâtie-Rolland).
    16. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
    21. école primaire
    22. collège de Montélimar
    23. lycée de Montélimar
    24. hopitaux.
    25. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Bâtie-Rolland.
    26. Site valence.cef.fr, page sur la paroisse Paroisse Paroisse Sainte Anne sur Roubion et Jabron.
    27. « Top Semence » (consulté le ).
    28. commerce alimentaire.
    29. autres commerces.
    30. artisans BTP.
    31. pépinière.
    32. artisan du jardin.
    33. « genheral.com/asp/TableauSVG.as… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
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