Juan Navarro Ramón
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Joan Daniel Navarro Ramón |
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(es) www.navarroramon.com |
Juan Navarro Ramón est un artiste peintre et lithographe espagnol né à Altea (province d'Alicante) le , mort à Sitges (province de Barcelone) le .
Biographie
Juan Navarro Ramón est, après sa sœur Joana née en 1897, le deuxième enfant né du mariage de Sebastià Navarro García et Maria Ramón Morales. Il est âgé de trois ans lorsque sa famille quitte Altea pour s'installer à Valence[1].
Il suit à partir de 1917 les cours du soir de dessin de l'École des arts et métiers de Valence avant de suivre en 1923 les cours de peinture de l'Académie royale des beaux-arts de San Carlos, toujours à Valence (il s'y rapproche en particulier de ses condisciples Josep Renau, Enrique Climent (es) et Genaro Lahuerta (es)[2]), puis de l'Académie royale des beaux-arts Saint-Ferdinand à Madrid[3], recevant alors les conseils de Timoteo Pérez Rubio (es) dont il fréquente parallèlement l'atelier[4]. Sa peinture, initialement figurative, est alors rapprochée de celle de Joaquím Sunyer[5]. Carlos Araán évoque pour sa part : « Juan Navarro Ramón était dès sa jeunesse un artiste d'avant-garde… Je n'oserai dire qu'il était déjà abstrait à cette époque, mais bien qu'il transfigurait la réalité à un point qu'elle était quelque peu perdue derrière le libre jeu de la couleur et de la ligne »[6].
L'artiste, qui en 1928 épouse Josefa - dite Pepita - Fisac Martín (1909-1989) avec qui il s'installe en 1929 à Barcelone, effectue un premier voyage à Paris en 1934[7]. Membre de l'Alliance des intellectuels antifascistes (es)[8], Navarro Ramón participe à l'Exposition universelle de 1937 à Paris avec une toile engagée intitulée Te vengaremos, celle-ci y étant accrochée dans le pavillon de la République espagnole à proximité de Guernica de Pablo Picasso, du Faucheur de Joan Miró, de La Montserrat de Julio González[9], pour être aujourd'hui conservée dans les collections du Musée national d'Art de Catalogne à Barcelone[4],[7]. Pendant la Guerre d'Espagne, puis la Seconde Guerre mondiale, Navarro Ramón vit à Collioure (jusqu'en 1941) puis est emprisonné au camp de concentration Miranda de Ebro (Espagne)[10]. Il s'installe ensuite à Barcelone en 1944, puis dans le quartier du Montparnasse à Paris en 1951, y fréquentant Blaise Cendrars, Paul Reverdy et André Salmon. Sylvie Buisson le cite parmi les amis de Tsugouharu Foujita[11], l'une des photos les plus répandues de notre artiste le montrant alors, en un groupe cordial, aux côtés d'Ossip Zadkine, de Foujita et de Picasso[12].
Dans le cadre d'expositions personnelles, Navarro Ramón effectue en 1956 un voyage en Argentine, en 1959 un voyage en Allemagne. Il se rend également à Londres en 1965. C'est en 1976 qu'il se fixe définitivement à Sitges[3], restant cependant attaché à sa ville natale d'Altea à laquelle il fait don au soir de sa vie d'une part importante de son œuvre peint. La plupart de son œuvre est aujourd'hui en possession de la Galerie Gaudifond, successeure de Sala Gaudí[13].
Expositions
Expositions personnelles
- Galeries Layetanas, Barcelone, décembre 1930[14].
- Galerie Syra, Barcelone, février-mars 1932, octobre-novembre 1935[14], janvier-février 1962[15].
- Palais de la Loge de mer, Perpignan, 1940[2].
- Galerie El Jardin, Barcelone, 1944, 1950..
- Galerie Buchholz, Madrid, novembre 1949.
- Galerie René Breteau, Paris, 1951.
- Galerie Galanis-Hentschel, Paris, mai 1953[16],[17],[18].
- Exposition itinérante en Argentine (Buenos Aires (Galerie Pizarro)[19], Rosario (Conseil de la culture), Santa Fe) (Museo municipal de artes visuales), 1956.
- Cercle des beaux-arts, Madrid, 1958.
- Exposition itinérante en Allemagne (Darmstadt (Darmstädter Galerie), Badenweiler (Casino), 1959.
- Athénée de Barcelone, 1959.
- Galerie Raymond Creuze, Paris, novembre 1961[20].
- Athénée de Madrid (salle Santa Catalina), décembre 1964[21],[22].
- Direction générale des beaux-arts, Madrid, mars 1966[23].
- Galerie de Marco, Edimbourg, 1968.
- Galerie René Métras, Barcelone, 1967, 1972.
- Galeria Nova, Barcelone, 1972.
- Galerie S'Art, Huesca, 1972.
- Galerie De Luis, Madrid, 1972, 1973, 1977.
- Salle Gaudi, Barcelone, 1972, 1976[13]
- Caja General de Ahorros de Canarias (es), Santa Cruz de Tenerife, 1974.
- Galerie d'art Ribera, Valence, 1977.
- Galerie Joan de Serrallonga, Barcelone, 1979.
- Galeria Nueva, Sitges, 1981.
- Galerie d'art Foz, Sitges, 1983.
- Galerie d'art Yolanda Rios, Sitges, 1986.
- Real Circulo Artistico, Barcelone, 1988.
- Maison de la culture de Las Rozas, Madrid, 1989.
- Maison de la culture d'Altea, 1993.
- Juan Navarro Ramón - Expériences picturales de l'intimité, Musée Eric-Monjo, Vilassar de Mar, 2002.
- Rétrospective Juan Navarro Ramón, Palau Altea Centre d'Arte, Alicante, juin-, et Palacio de la Diputación provincial de Alicante, .
- Vingt-cinq œuvres de Juan Navarro Ramón, Palais de María Pita (gl), La Corogne, [10].
- Casa Canyot, Altea, [24].
- Juan Navarro Ramón - Le langage des couleurs, Fondation Frax, L'Alfàs del Pi, juin-septembre 2017[25].
- Palau Altea, Altea, 2018[26],[7].
- Un regard sur la collection Navarro Ramón d'Altea, Passeig Maritim, Platja el Bol, Altea, janvier 2024 - juin 2025[27],[28].
- Navarro Ramón torna a casa, Maison de la culture d'Alicante, novembre 2024 - novembre 2026[27].
- Femme - Le regard pictural de Navarro Ramón, Musée des Beaux-Arts d'Alicante, décembre 2024 - mai 2025[27],[29],[30].
Expositions collectives
- Salon des artistes indépendants du quotidien Heraldo de Madrid - José Planes (es), Francisco Mateos (es), Juan Navarro Ramón… , 1929, 1930[31].
- Exposition nationale des beaux-arts, Madrid, 1930.
- Martín Durban, Juli Ramis i Palau (ca), Juan Navarro Ramón, Galerie Syra, Barcelone, avril-mai 1933[14].
- Exposition universelle (pavillon de la république d'Espagne), Paris, 1937.
- Exposition d'arts plastiques du Ministère de l'instruction publique, Barcelone, 1938[7].
- Salon des réalités nouvelles, Paris, 1951, 1952[32], 1954, 1955, 1961.
- Vingt ans de peinture européenne (Organisation LAMBOA), Stockholm, 1964.
- Salon de San Jorge, Barcelone, 1966.
- Salon de Mai, Barcelone, 1968.
- Biennale de Saragosse, 1972.
- Propac, Madrid, 1976.
- L'École de Paris, 1904-1929 : la part de l'autre, Musée d'art moderne de la ville de Paris, novembre 2000 - mars 2001.
- Vingt artistes espagnols de l'École de Paris, Fondation Pedro Barrié de La Maza (es), La Corogne, 2001.
- 125 ans d'histoire (1880-2005), Circulo de Bellas Artes (es), Madrid, 2005.
- Alicante moderno, 1900-1960, MUBAG d'Alicante (es), 2010.
- Salvador Dalí, Joan Miró, Juan Navarro Ramón, Pablo Picasso - Gràfica, de la colección J. Carlos Cremades, Musée historique municipal d'Aspe, décembre 2016.
- Front de mer - Canet, Collioure, Banyuls, 1940, Musée d'art moderne de Collioure, juin-octobre 2023[33].
- Logicies, MUBAG, Alicante, juin-octobre 2024[34].
Citations
Dits de Juan Navarro Ramón
- « Mi pintura es eso, pintura, que no desea ampararse en fórmulas literarias, sino que busca con plena sinceridad la más pura expresión de un universo iintimo hondamento sentido… Diferentes etapes de simplificación me han conducido al momento acrual que yo calificaría de presencias insólitas de la naturaleza, y qui, creo que ha resuelto un problema : la figuraciín sin la figura. Es decir, formas que están y al mesmo tiempo no lo están, porque tienden a alagarse, a desaperecer. » - Juan Navarro Ramón[35]
Réception critique
- « De los pocos que de manero estoica, sin desfiguraciónes clandestinas, se labraron sin meter aparatoso ruido, una singular y honesta situación en el ingenuo huerto del arte ibério, cabe mentionar Juan Navarro Ramón » - Josep Maria de Sucre i de Grau (ca)[36]
- « L'œuvre de Navarro Ramón propose une discrétion subtile, une beauté intime, une robustesse faite de modestie… Peintre de sa terre natale, Navarro Ramón, indifférent aus faux dogmes, recherche le moule de cette terre et la trouve sans tarder, se trouvant en même temps lui-même. En résumé, il n'existe pas de meilleure ligne de conduite ni de plus grande probité artistique. » - Germán Gómez de la Mata (es)[37]
- « Ce peintre espagnol a toujours manifesté des préoccupations puristes et recherché le style de préférence aux valeurs d'expressions. Plusieurs étapes de simplification l'ont mené à disposer sur des fonds que leur coloration transforme en espaces et dans un isolement apparent (mais très étroitement reliées entre elles par la proportion des intervalles et leur direction propre) de petites créations imaginaires que je préférerais appeler des présences inédites en lesquelles la poésie rejoint l'ironie. » - Roger van Gindertael[38]
- « Fidèle à Paris qu'il aime et qui déjà l'accueillit fraternellement, Navarro Ramón revient lui faire l'hommage de ses œvres récentes. Il nous apporte le témoignage que la peinture espagnole n'est pas, comme l'on pourrait croire, immuablement fixée aux jeux stériles de la répétition d'un passé prestigieux, mais dans l'actualité dépouillée de son âme. Bien au contraire, l'ardente et douce vitalité de son art dévoile une richesse nouvelle dont l'expression peut étonner certains, et en tous cas offre une belle leçon pour ceux qui considèrent trop exclusivement l'École de Paris comme la seule au monde. » - Robert Vrinat[16]
- « Peintures d'un désordre bien organisé où se trouvent répétés à intervalles calculés des éléments de formes et de couleurs identiques qui d'ailleurs rappellent certaines peintures de Joan Miró par leur dispersion dans l'espace. » - Marie-Thérèse Maugis[20]
- « En comparant les peintures figuratives de Navarro Ramón avec le reste de son travail actuel - non figuratif -, le spectateur ne cesse d'être surpris par l'évolution. On constate cependant rapidement que chez le peintre de la première période comme chez le peintre actuel se perpétuent quelques traits communs : l'ordre, l'équilibre, tout ce qui résulte d'une personnalité qui, probablement, provoque un ravissement impressionniste. C'est comme un homme timide qui crierait ou assénerait un coup de poing et qui, malgré sa colère apparente, ne peut dissimuler son aménité et sa timidité… Les formes oblongues, viscérales, les tons souvent entiers, font penser à un Wassily Kandinsky chez qui interférerait un Joan Miró. Et de tout l'œuvre émane un mystère nocturne qui renvoie aux investigations surréalistes, malgré la non-figuration de l'imaginaire. Peut-être est-ce dû au volume qui polit les formes. Peut-être à l'atmosphère dans laquelle elles baignent. » - José Hierro[22]
- « Una coincidencia de lo abstracto y lo figurativo, o para decitlo mejor : una cita de lo experimental y lo traditional… Hoy, Navarro Ramón es una de las figuras más singulares y sugestivas de la pintura español contemporánea. » - Antonio Manuel Campoy (es)[39]
- « Il est passé d'un néo-pointillisme à un genre fauve dans des compositions à personnages, des nus, des paysages urbains, et jusqu'à l'abstraction, avec des compositions fondées sur des rappels de formes de soleils et de nuages aux enchaînements courbes et flous. » - Dictionnaire Bénézit[3]
- « À travers ses œuvres, nous ressentons Juan Navarro Ramón comme un grand contemplateur de silences et, parfois, comme un faiseur de formes planes, de lignes, volumes, couleurs et lumière dans leurs plus diverses compositions. Qu'il choisisse tantôt la figuration, tantôt l'abstraction, l'artiste nous communique quelque chose au-delà de ces puissants langages, il nous transmet plastiquement son cheminement vers l'art, qui rejoint un besoin vital de voyager, et en même temps de résider en des lieux comme Valence, Madrid, Barcelone, Paris, Perpignan, Collioure, Buenos Aires, Altea ou Sitges. Si le voyage est important dans la vie de Navarro Ramón, il l'est dans le sens intellectuel d'explorer et dans le désir humain de partager son vécu avec d'autres artistes nationaux et étrangers tels que Timoteo Pérez Rubio (es), Pablo Picasso, Ossip Zadkine, Tsugouharu Foujita, Manuel Colmeiro Guimarás (es), Laxeiro et Antonio Lago Rivera. » - Juana Maria Balsalobre[40]
- « Juan Navarro Ramón était l'un des plus grands qui, loin d'inventer des techniques et des tendances, est l'un des rares de son temps à proposer et à réussir à intégrer dans sa peinture toutes les innovations qui l'attiraient et l'intéressaient, réaliser un travail de portée universelle, absolument incroyable et exceptionnel. » - Esperanza Durán[25]
- « Son œuvre lui a valu une grande reconnaissance internationale et l'a rattaché à l'avant-garde et aux grands maîtres du XXe siècle. » - Pilar Tébar[29]
Reconnaissance
Prix et distinctions
- Premier prix de peinture du Ministère de l'instruction publique, Barcelone, 1938[7].
Hommages
- La Fondation Frax de L'Alfàs del Pi a en 2018, en y apposant une plaque commémorative portant le nom de l'artiste, donné le nom d'« espace Juan-Navarro-Ramón » à son grand hall d'entrée[41].
Collections publiques
Espagne
- Musée d'art contemporain d'Alicante (es), Clarté, huile sur toile 100x81cm, 1952[42],[43].
- Musée des Beaux-Arts Gravina, Alicante, Nu sur fond abstrait, huile sur toile 130x89cm, 1974[42].
- Institut de culture Juan Gil-Albert, Alicante.
- Musée Navarro Ramón, Maison de la culture, Altea, 232 œuvres (181 peintures, 26 lithographies, 25 dessins et techniques mixtes)[44],[45]. On cite :
- Portrait de famille, huile sur toile 114x146cm[46].
- Musée historique municipal d'Aspe, une peinture, 1966[47].
- Musée d'art moderne de Barcelone.
- Musée national d'Art de Catalogne, Barcelone, Te vengaremos, huile sur toile[7].
- Collection Gaudifond de Barcelone.
- Musée d'Histoire de Gérone[42].
- Mairie de La Corogne[42].
- Maison de la culture de L'Alfàs del Pi[42],[48].
- Académie royale des Beaux-Arts Saint-Ferdinand, Madrid, Sans titre, crayons de couleur 65x50cm, 1942[49].
- Banque d'Espagne, Madrid[42].
- Bibliothèque nationale d'Espagne, Madrid[42].
- Musée national centre d'art Reina Sofía, Madrid, quatre peintures[50] :
- Sans titre, huile sur toile 89x81,5cm, 1942 ;
- Bosque por la noche, huile sur toile 65x81cm, 1948 ;
- Despejo humano, huile sur toile 116x89cm, 1972 ;
- Evocaciún trágica, huile sur toile 116x81cm, 1972.
- Bibliothèque nationale d'Espagne, Madrid[42].
- Musée d'art contemporain (MACVAC) de Vilafamés, Sans titre, huile sur toile 65x81cm, 1948[42],[51].
- Musée des Beaux-Arts d'Alava, Vitoria-Gasteiz[42].
Argentine
France
- Musée d'art moderne de Collioure, Collioure, huile sur toile 65x81cm[52].
- Musée d'art moderne de la ville de Paris, Femme et guitare, huile sur toile, 1951[42].
- Fonds national d'art contemporain, Puteaux, Femme à la guitare, huile sur toile 65x81cm, 1952[53].
Notes et références
- ↑ Joan Borja Sanz, Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, Université d'Alicante, 2017.
- Historia hispanica, Juan Navarro Ramón
- Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.10, p. 120.
- Galerista Alicantino, Alicante, Juan Navarro Ramón, biographie
- ↑ Juan Navarro Ramón, in Diccionario de pintores alicantinos
- ↑ Carlos Areán, Juan Navarro Ramán, co-édition Sala Gaudí / Galerías Luis, Madrid, 1973.
- Juana Maria Balsalobre, « Navaro Ramón mérite d'être mentionné à l'occasion de son 120e aniversaire comme Picasso et Miró », Hola del lunas de Alicante, 16 janvier 2013
- ↑ Nicolas Van Looy, « Navarro Ramón, l'Altéen qui a côtoyé Picasso et Miró », Aquí, Medios de comunicación, 16 août 2023
- ↑ Musée d'art contemporain d'Alicante, "La Montserrat" de Julio Conzález
- Rodri García, « María Pita accueille vingt-cinq œuvres du peintre Navarro Ramón », La Voz de Galicia, 6 septembre 2006
- ↑ Sylvie Buisson, Foujita, le maître japonais de Montparnasse, Éditions du Musée de Montparnasse, 2004.
- ↑ Natalia Carrazoni Hernández, Biographie de Juan Navarro Ramón, Yumpu
- « Juan Navarro Ramón », sur gaudifond.com (consulté le ).
- Sous la direction de Francesc Fontbona, Repertori d'exposicións individuals d'art a Catalunya (fins a any 1938), Institut d'estudis catalans, Barcelone, 1999, p. 242
- ↑ « Navarro Ramón », Rafael Manzano, Solidaridad Nacional (es), 31 janvier 1962 ; Alberto del Castillo, Diario de Barcelona, 1er février 1962 ; Àngel Marsà i Beca (ca), El Correo Catalán (es), 4 février 1962 ;Juan Cortés, La Vanguardia, 8 février 1962.
- Robert Vrinat, Juan Navarro Ramón, catalogue d'exposition, Galerie Galanis-Henschel, Paris, 1953.
- ↑ H. H., « Les expositions - Juan Navarro Ramón, Galerie Galanis-Henschel », Journal de l'amateur d'art, mai 1953.
- ↑ « Les expositions - Navarro Ramón », Carrefour, 13 mai 1953.
- ↑ Elvira Rodriguez Fernández, « Galeries d'art dirigées par des femmes à Buenos Aires en 1956 », Arte y ciudad, 2024
- Marie-Thérèse Maugis, « Navarro Ramón (Galerie Creuze) », Les Lettres françaises, 16 novembre 1961.
- ↑ Antonio Manuel Campoy (es), « Navarro Ramón », ABC, 17 décembre 1964.
- José Hierro, « Navarro Ramón », El Alcázar, 19 décembre 1964.
- ↑ Manuel Sánchez Camargo (es), « Navarro Ramón », La Vanguardia, 14 mars 1966.
- ↑ Enjoy Altea, Navarro Ramón à la Casa Canyot, présentation de l'exposition, 2013
- « Juan Navarro Ramón - Le langage des couleurs », Arte Informado, juin 2017
- ↑ « "Te vengaremos" sera l'œuvre centrale de l'exposition la plus importante qu'Altea a consacrée à Juan Navarro Ramón », Leo Radio, 12 juillet 2018
- Association espagnole des critiques d'art, Navarro Ramón - Triade d'exposition, 2024
- ↑ Christina Llorens Estarelles, « Navarro Ramón : retour sur le territoire de la lumière », Hoja del lunes de Alicante, 15 avril 2024
- Diputación de Alicante, Le Mubag inaugure une rétrospective de Navarro Ramón, d'Altea, peintre de l'avant garde du XXe siècle, 2024
- ↑ África Prado, « Les femmes dans la peinture de Navarro Ramón », Información, 13 décembre 2024
- ↑ « Les expositions - Espagne », L'Art vivant, juillet 1930, p. III
- ↑ « Le Salon des réalités nouvelles », L'actualité artistique internationale, 7 août 1952.
- ↑ Diego Coello, « Les œuvres de l'artiste d'Altea Juan Navarro Ramón voyagent en France », Información, 6 juin 2023
- ↑ « Le MUBAG met en lumière une centaine de pièces datées du XVIIe au XXIe siècle de son fonds artistique le plus récent », Diputación de Alicante, 5 juin 2024
- ↑ Joan Borja i Sanz, Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, Université d'Alicante, 2017, pp. 119-120.
- ↑ Josep Maria de Sucre i de Grau, « EL arte de Juan Navarro Ramón », 1931, cité par Francesc Rodon, Navarro Ramón, éditions du Service de publication du Ministère de l'éducation, 1978, p. 42, et par Joan Borja i Sanz, Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, Université d'Alicante, 2017, p. 24.
- ↑ Juan Gómez de la Mata, « Navarro Ramón », Crónica, Saragosse, 1931.
- ↑ Roger van Gindertael, « Juan Navarro Ramón », Art d'aujourd'hui, série 2, n°4, mars 1951.
- ↑ Antonio Manuel Campoy, Cien maestros del arte español contemporáneo, Iberico Europea de ediciones, Madrid, 1976.
- ↑ Juana Maria Balsalobre, « Prologue », dans ouvrage collectif Juan Navarro Ramón (1903-1989, éditions de l'Institut de culture Juan Gil-Albert, Alicanten 2005.
- ↑ « La Fondation Frax consacre un espace d'exposition au peintre Juan Navarro Ramón », Ayuntamiento de L'Alfà del Pi, 16 mars 2018
- Site Navarro Ramón, musées et autres collections
- ↑ Musée d'art contemporain d'Alicante, "Clarté" dans les collections
- ↑ Costa Blanca, La Casa de cultura, Musée Navarro Ramón, Altea
- ↑ « Altea célèbre le 120e anniversaire du peintre Juan Navarro Ramón », Aquí, Medios de comunicación, 23 février 2023
- ↑ Arte Restauración, Juan Navarro Ramón, "Portrait de famille"
- ↑ Perez Gil, « Aspe reçoit une peinture de l'artiste Juan Navarro Ramón », Información, 26 septembre 2017
- ↑ « La famille du peintre Juan Navarro Ramón fait don d'un de ses tableaux à la mairie de l'Alfàs », Leo Radio, 1er décembre 2020
- ↑ Académie royale des Beaux-Arts Saint-Ferdinand, Juan Navarro Ramón dans les collections
- ↑ Musée national centre d'art Reina Sofía, Juan Navarro Ramón dans les collections
- ↑ MACVAC, Juan Navarro Ramón dans les collections du MACVAC
- ↑ Musée d'art moderne de Collioure, "Collioure" dans les collections
- ↑ Fonds national d'art contemporain, "Femme à la guitare" dans les collections
Annexes
Bibliographie
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- (es) Manuel Muñoz Ibañez, La pintura valenciana de la posguerra, Université de Valence, 1944.
- (es) Enrique Azcoaga (es), « Navarro Ramón », Indice de Artes y Letras, n°12, 1949.
- Robert Vrinat, Juan Navarro Ramón, éditions Galerie Galanis-Henschel, Paris, 1953.
- (es) Joan Perucho (es), « Navarro Ramón », Destino, 9 février 1962.
- (es) Vicente Aguilera Cerni (es), Panorama del nuevo arte español, Éditions Guadarrama, 1966.
- (es) Rafael Santos Torroella (es), « Navarro Ramón », El Noticiero Universal (es), 8 février 1967.
- (es) Carlos Areán, 30 años de arte español, éditions Guadarrama, Madrid, 1972.
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- (es) Antonio Manuel Campoy, Cien maestros del arte español contemporáneo, Iberico Europea de ediciones, Madrid, 1976.
- (es) Francesc Rodón, Navarro Ramón, collection Artistas españoles contemporáneos, Éditions du Service de publication du Ministère de l'éducation, 1978.
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- (es) Cien años de pintura en España y Portugal (1830-1930) (tome 6), Éditions Antiquaria S.A., Madrid, 1991.
- (es) Manuel Muñoz Ibañez, La pintura valenciana de la posguerra, Éditions de l'Université de Valence, 1994.
- Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.10, Gründ, 1999.
- (es) Sous la direction de Francisco Agramunt Lacruz, Diccionario de artistas valencienes del siglo XX, Albatros, Vanence, 1999.
- (es) Sous la direction de Francesc Fontbona (es), Repertori d'exposicions individuals d'art a Catalunya (fins a any 1938), Institut d'estudis catalans, Barcelone, 1999.
- (es) Luis Maria Carucho Amat, Vingt artistes espagnols de l'École de Paris, éditions Fondation Pedro Barrié de La Maza, La Corogne, 2001.
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- Jeanine Varnod, Voyages dans l'intimitté de l'École de Paris, co-édition Musée du Montparnasse / Arcadia, 2002.
- Sylvie Buisson, Foujita, le maître japonais de Montparnasse, Éditions du Musée de Montparnasse, 2004.
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- (es) Francisco Agramunt Lacruz, La vanguardia artística des los años trente : arte y compromiso politico en la II Republica, Conselleria de cultura, Generalitat Valenciana, Valence, 2006.
- (es) Juan Manuel Bonet (es), Diccionario de las Vanguardias, 1907-1936, Éditions de la ville d'Alicante, 2007.
- (es) Manuel Garcia Garcia; Memorías de posguerra - Dialogos con la cultura del exilo, Université de Valence, 2014.
- (es) Joan Borja i Sanz (ca), Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, chaire Antoni Miró d'art contemporain, Université d'Alicante, 2017 (consulter en ligne).
- (es) Román de la Calle, « Entre les fils et la pelote - Juan Navarro Ramón et sa "poétique" picturale », Archivo de arte valenciano, n°99, 2018, pp. 369-394 (consulter en ligne).
- (es) Jaume Llinarés Cortés, Isabel Martinez Lloret et Joan Borja i Sanz, Navarro Ramón, Ajuntament de Altea, 2018 (consulter en ligne).
- (es) Isabel Martinez Lloret (texte) et Anna Medina (illustrations), Navarro Ramón - Historia d'un pintor alteà, Ajuntament d'Altea, 2018 (consulter en ligne).
- (es) Juana Maria Balsalobre, « Navarro Ramón : des ténèbres de la guerre à la lumière de Collioure », Journal de l'association aragonaise des critiques d'art, n°63, 2023 (consulter en ligne).
- Claire Muchir, Front de mer - Canet, Collioure, Banyuls, 1940, La Fine éditions d'art, Paris, 2023.
Filmographie
- Juan Antonio Gallart, avec le concours de Juana Maria Balsalobre (production Jesús Orrico), Creación sin barreras - Navarro Ramón, Consorci de Museus de la Comunitat valenciana, 2024 (visionner en ligne - Source : YouTube ; durée : 34'49").
Fonds d'archives
- Archives municipales d'Altea, Fonds Juan Navarro Ramón.
- Fondation Juan March (es), Madrid, Fonds Juan Navarro Ramón (consulter en ligne).
Liens externes
- (es) Site officiel
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
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