Juan Navarro Ramón

Juan Navarro Ramón
Naissance
Décès
Nom de naissance
Joan Daniel Navarro Ramón
Nationalité
Activité
Formation
Lieux de travail
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Juan Navarro Ramón est un artiste peintre et lithographe espagnol né à Altea (province d'Alicante) le , mort à Sitges (province de Barcelone) le .

Biographie

Juan Navarro Ramón est, après sa sœur Joana née en 1897, le deuxième enfant né du mariage de Sebastià Navarro García et Maria Ramón Morales. Il est âgé de trois ans lorsque sa famille quitte Altea pour s'installer à Valence[1].

Il suit à partir de 1917 les cours du soir de dessin de l'École des arts et métiers de Valence avant de suivre en 1923 les cours de peinture de l'Académie royale des beaux-arts de San Carlos, toujours à Valence (il s'y rapproche en particulier de ses condisciples Josep Renau, Enrique Climent (es) et Genaro Lahuerta (es)[2]), puis de l'Académie royale des beaux-arts Saint-Ferdinand à Madrid[3], recevant alors les conseils de Timoteo Pérez Rubio (es) dont il fréquente parallèlement l'atelier[4]. Sa peinture, initialement figurative, est alors rapprochée de celle de Joaquím Sunyer[5]. Carlos Araán évoque pour sa part : « Juan Navarro Ramón était dès sa jeunesse un artiste d'avant-garde… Je n'oserai dire qu'il était déjà abstrait à cette époque, mais bien qu'il transfigurait la réalité à un point qu'elle était quelque peu perdue derrière le libre jeu de la couleur et de la ligne »[6].

L'artiste, qui en 1928 épouse Josefa - dite Pepita - Fisac Martín (1909-1989) avec qui il s'installe en 1929 à Barcelone, effectue un premier voyage à Paris en 1934[7]. Membre de l'Alliance des intellectuels antifascistes (es)[8], Navarro Ramón participe à l'Exposition universelle de 1937 à Paris avec une toile engagée intitulée Te vengaremos, celle-ci y étant accrochée dans le pavillon de la République espagnole à proximité de Guernica de Pablo Picasso, du Faucheur de Joan Miró, de La Montserrat de Julio González[9], pour être aujourd'hui conservée dans les collections du Musée national d'Art de Catalogne à Barcelone[4],[7]. Pendant la Guerre d'Espagne, puis la Seconde Guerre mondiale, Navarro Ramón vit à Collioure (jusqu'en 1941) puis est emprisonné au camp de concentration Miranda de Ebro (Espagne)[10]. Il s'installe ensuite à Barcelone en 1944, puis dans le quartier du Montparnasse à Paris en 1951, y fréquentant Blaise Cendrars, Paul Reverdy et André Salmon. Sylvie Buisson le cite parmi les amis de Tsugouharu Foujita[11], l'une des photos les plus répandues de notre artiste le montrant alors, en un groupe cordial, aux côtés d'Ossip Zadkine, de Foujita et de Picasso[12].

Dans le cadre d'expositions personnelles, Navarro Ramón effectue en 1956 un voyage en Argentine, en 1959 un voyage en Allemagne. Il se rend également à Londres en 1965. C'est en 1976 qu'il se fixe définitivement à Sitges[3], restant cependant attaché à sa ville natale d'Altea à laquelle il fait don au soir de sa vie d'une part importante de son œuvre peint. La plupart de son œuvre est aujourd'hui en possession de la Galerie Gaudifond, successeure de Sala Gaudí[13].

Expositions

Expositions personnelles

  • Galeries Layetanas, Barcelone, décembre 1930[14].
  • Galerie Syra, Barcelone, février-mars 1932, octobre-novembre 1935[14], janvier-février 1962[15].
  • Palais de la Loge de mer, Perpignan, 1940[2].
  • Galerie El Jardin, Barcelone, 1944, 1950..
  • Galerie Buchholz, Madrid, novembre 1949.
  • Galerie René Breteau, Paris, 1951.
  • Galerie Galanis-Hentschel, Paris, mai 1953[16],[17],[18].
  • Exposition itinérante en Argentine (Buenos Aires (Galerie Pizarro)[19], Rosario (Conseil de la culture), Santa Fe) (Museo municipal de artes visuales), 1956.
  • Cercle des beaux-arts, Madrid, 1958.
  • Exposition itinérante en Allemagne (Darmstadt (Darmstädter Galerie), Badenweiler (Casino), 1959.
  • Athénée de Barcelone, 1959.
  • Galerie Raymond Creuze, Paris, novembre 1961[20].
  • Athénée de Madrid (salle Santa Catalina), décembre 1964[21],[22].
  • Direction générale des beaux-arts, Madrid, mars 1966[23].
  • Galerie de Marco, Edimbourg, 1968.
  • Galerie René Métras, Barcelone, 1967, 1972.
  • Galeria Nova, Barcelone, 1972.
  • Galerie S'Art, Huesca, 1972.
  • Galerie De Luis, Madrid, 1972, 1973, 1977.
  • Salle Gaudi, Barcelone, 1972, 1976[13]
  • Caja General de Ahorros de Canarias (es), Santa Cruz de Tenerife, 1974.
  • Galerie d'art Ribera, Valence, 1977.
  • Galerie Joan de Serrallonga, Barcelone, 1979.
  • Galeria Nueva, Sitges, 1981.
  • Galerie d'art Foz, Sitges, 1983.
  • Galerie d'art Yolanda Rios, Sitges, 1986.
  • Real Circulo Artistico, Barcelone, 1988.
  • Maison de la culture de Las Rozas, Madrid, 1989.
  • Maison de la culture d'Altea, 1993.
  • Juan Navarro Ramón - Expériences picturales de l'intimité, Musée Eric-Monjo, Vilassar de Mar, 2002.
  • Rétrospective Juan Navarro Ramón, Palau Altea Centre d'Arte, Alicante, juin-, et Palacio de la Diputación provincial de Alicante, .
  • Vingt-cinq œuvres de Juan Navarro Ramón, Palais de María Pita (gl), La Corogne, [10].
  • Casa Canyot, Altea, [24].
  • Juan Navarro Ramón - Le langage des couleurs, Fondation Frax, L'Alfàs del Pi, juin-septembre 2017[25].
  • Palau Altea, Altea, 2018[26],[7].
  • Un regard sur la collection Navarro Ramón d'Altea, Passeig Maritim, Platja el Bol, Altea, janvier 2024 - juin 2025[27],[28].
  • Navarro Ramón torna a casa, Maison de la culture d'Alicante, novembre 2024 - novembre 2026[27].
  • Femme - Le regard pictural de Navarro Ramón, Musée des Beaux-Arts d'Alicante, décembre 2024 - mai 2025[27],[29],[30].

Expositions collectives

Citations

Dits de Juan Navarro Ramón

  • « Mi pintura es eso, pintura, que no desea ampararse en fórmulas literarias, sino que busca con plena sinceridad la más pura expresión de un universo iintimo hondamento sentido… Diferentes etapes de simplificación me han conducido al momento acrual que yo calificaría de presencias insólitas de la naturaleza, y qui, creo que ha resuelto un problema : la figuraciín sin la figura. Es decir, formas que están y al mesmo tiempo no lo están, porque tienden a alagarse, a desaperecer. » - Juan Navarro Ramón[35]

Réception critique

  • « De los pocos que de manero estoica, sin desfiguraciónes clandestinas, se labraron sin meter aparatoso ruido, una singular y honesta situación en el ingenuo huerto del arte ibério, cabe mentionar Juan Navarro Ramón » - Josep Maria de Sucre i de Grau (ca)[36]
  • « L'œuvre de Navarro Ramón propose une discrétion subtile, une beauté intime, une robustesse faite de modestie… Peintre de sa terre natale, Navarro Ramón, indifférent aus faux dogmes, recherche le moule de cette terre et la trouve sans tarder, se trouvant en même temps lui-même. En résumé, il n'existe pas de meilleure ligne de conduite ni de plus grande probité artistique. » - Germán Gómez de la Mata (es)[37]
  • « Ce peintre espagnol a toujours manifesté des préoccupations puristes et recherché le style de préférence aux valeurs d'expressions. Plusieurs étapes de simplification l'ont mené à disposer sur des fonds que leur coloration transforme en espaces et dans un isolement apparent (mais très étroitement reliées entre elles par la proportion des intervalles et leur direction propre) de petites créations imaginaires que je préférerais appeler des présences inédites en lesquelles la poésie rejoint l'ironie. » - Roger van Gindertael[38]
  • « Fidèle à Paris qu'il aime et qui déjà l'accueillit fraternellement, Navarro Ramón revient lui faire l'hommage de ses œvres récentes. Il nous apporte le témoignage que la peinture espagnole n'est pas, comme l'on pourrait croire, immuablement fixée aux jeux stériles de la répétition d'un passé prestigieux, mais dans l'actualité dépouillée de son âme. Bien au contraire, l'ardente et douce vitalité de son art dévoile une richesse nouvelle dont l'expression peut étonner certains, et en tous cas offre une belle leçon pour ceux qui considèrent trop exclusivement l'École de Paris comme la seule au monde. » - Robert Vrinat[16]
  • « Peintures d'un désordre bien organisé où se trouvent répétés à intervalles calculés des éléments de formes et de couleurs identiques qui d'ailleurs rappellent certaines peintures de Joan Miró par leur dispersion dans l'espace. » - Marie-Thérèse Maugis[20]
  • « En comparant les peintures figuratives de Navarro Ramón avec le reste de son travail actuel - non figuratif -, le spectateur ne cesse d'être surpris par l'évolution. On constate cependant rapidement que chez le peintre de la première période comme chez le peintre actuel se perpétuent quelques traits communs : l'ordre, l'équilibre, tout ce qui résulte d'une personnalité qui, probablement, provoque un ravissement impressionniste. C'est comme un homme timide qui crierait ou assénerait un coup de poing et qui, malgré sa colère apparente, ne peut dissimuler son aménité et sa timidité… Les formes oblongues, viscérales, les tons souvent entiers, font penser à un Wassily Kandinsky chez qui interférerait un Joan Miró. Et de tout l'œuvre émane un mystère nocturne qui renvoie aux investigations surréalistes, malgré la non-figuration de l'imaginaire. Peut-être est-ce dû au volume qui polit les formes. Peut-être à l'atmosphère dans laquelle elles baignent. » - José Hierro[22]
  • « Una coincidencia de lo abstracto y lo figurativo, o para decitlo mejor : una cita de lo experimental y lo traditional… Hoy, Navarro Ramón es una de las figuras más singulares y sugestivas de la pintura español contemporánea. » - Antonio Manuel Campoy (es)[39]
  • « Il est passé d'un néo-pointillisme à un genre fauve dans des compositions à personnages, des nus, des paysages urbains, et jusqu'à l'abstraction, avec des compositions fondées sur des rappels de formes de soleils et de nuages aux enchaînements courbes et flous. » - Dictionnaire Bénézit[3]
  • « À travers ses œuvres, nous ressentons Juan Navarro Ramón comme un grand contemplateur de silences et, parfois, comme un faiseur de formes planes, de lignes, volumes, couleurs et lumière dans leurs plus diverses compositions. Qu'il choisisse tantôt la figuration, tantôt l'abstraction, l'artiste nous communique quelque chose au-delà de ces puissants langages, il nous transmet plastiquement son cheminement vers l'art, qui rejoint un besoin vital de voyager, et en même temps de résider en des lieux comme Valence, Madrid, Barcelone, Paris, Perpignan, Collioure, Buenos Aires, Altea ou Sitges. Si le voyage est important dans la vie de Navarro Ramón, il l'est dans le sens intellectuel d'explorer et dans le désir humain de partager son vécu avec d'autres artistes nationaux et étrangers tels que Timoteo Pérez Rubio (es), Pablo Picasso, Ossip Zadkine, Tsugouharu Foujita, Manuel Colmeiro Guimarás (es), Laxeiro et Antonio Lago Rivera. » - Juana Maria Balsalobre[40]
  • « Juan Navarro Ramón était l'un des plus grands qui, loin d'inventer des techniques et des tendances, est l'un des rares de son temps à proposer et à réussir à intégrer dans sa peinture toutes les innovations qui l'attiraient et l'intéressaient, réaliser un travail de portée universelle, absolument incroyable et exceptionnel. » - Esperanza Durán[25]
  • « Son œuvre lui a valu une grande reconnaissance internationale et l'a rattaché à l'avant-garde et aux grands maîtres du XXe siècle. » - Pilar Tébar[29]

Reconnaissance

Prix et distinctions

  • Premier prix de peinture du Ministère de l'instruction publique, Barcelone, 1938[7].

Hommages

  • La Fondation Frax de L'Alfàs del Pi a en 2018, en y apposant une plaque commémorative portant le nom de l'artiste, donné le nom d'« espace Juan-Navarro-Ramón » à son grand hall d'entrée[41].

Collections publiques

Espagne

Argentine

France

Notes et références

  1. Joan Borja Sanz, Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, Université d'Alicante, 2017.
  2. Historia hispanica, Juan Navarro Ramón
  3. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.10, p. 120.
  4. Galerista Alicantino, Alicante, Juan Navarro Ramón, biographie
  5. Juan Navarro Ramón, in Diccionario de pintores alicantinos
  6. Carlos Areán, Juan Navarro Ramán, co-édition Sala Gaudí / Galerías Luis, Madrid, 1973.
  7. Juana Maria Balsalobre, « Navaro Ramón mérite d'être mentionné à l'occasion de son 120e aniversaire comme Picasso et Miró », Hola del lunas de Alicante, 16 janvier 2013
  8. Nicolas Van Looy, « Navarro Ramón, l'Altéen qui a côtoyé Picasso et Miró », Aquí, Medios de comunicación, 16 août 2023
  9. Musée d'art contemporain d'Alicante, "La Montserrat" de Julio Conzález
  10. Rodri García, « María Pita accueille vingt-cinq œuvres du peintre Navarro Ramón », La Voz de Galicia, 6 septembre 2006
  11. Sylvie Buisson, Foujita, le maître japonais de Montparnasse, Éditions du Musée de Montparnasse, 2004.
  12. Natalia Carrazoni Hernández, Biographie de Juan Navarro Ramón, Yumpu
  13. « Juan Navarro Ramón », sur gaudifond.com (consulté le ).
  14. Sous la direction de Francesc Fontbona, Repertori d'exposicións individuals d'art a Catalunya (fins a any 1938), Institut d'estudis catalans, Barcelone, 1999, p. 242
  15. « Navarro Ramón », Rafael Manzano, Solidaridad Nacional (es), 31 janvier 1962 ; Alberto del Castillo, Diario de Barcelona, 1er février 1962 ; Àngel Marsà i Beca (ca), El Correo Catalán (es), 4 février 1962 ;Juan Cortés, La Vanguardia, 8 février 1962.
  16. Robert Vrinat, Juan Navarro Ramón, catalogue d'exposition, Galerie Galanis-Henschel, Paris, 1953.
  17. H. H., « Les expositions - Juan Navarro Ramón, Galerie Galanis-Henschel », Journal de l'amateur d'art, mai 1953.
  18. « Les expositions - Navarro Ramón », Carrefour, 13 mai 1953.
  19. Elvira Rodriguez Fernández, « Galeries d'art dirigées par des femmes à Buenos Aires en 1956 », Arte y ciudad, 2024
  20. Marie-Thérèse Maugis, « Navarro Ramón (Galerie Creuze) », Les Lettres françaises, 16 novembre 1961.
  21. Antonio Manuel Campoy (es), « Navarro Ramón », ABC, 17 décembre 1964.
  22. José Hierro, « Navarro Ramón », El Alcázar, 19 décembre 1964.
  23. Manuel Sánchez Camargo (es), « Navarro Ramón », La Vanguardia, 14 mars 1966.
  24. Enjoy Altea, Navarro Ramón à la Casa Canyot, présentation de l'exposition, 2013
  25. « Juan Navarro Ramón - Le langage des couleurs », Arte Informado, juin 2017
  26. « "Te vengaremos" sera l'œuvre centrale de l'exposition la plus importante qu'Altea a consacrée à Juan Navarro Ramón », Leo Radio, 12 juillet 2018
  27. Association espagnole des critiques d'art, Navarro Ramón - Triade d'exposition, 2024
  28. Christina Llorens Estarelles, « Navarro Ramón : retour sur le territoire de la lumière », Hoja del lunes de Alicante, 15 avril 2024
  29. Diputación de Alicante, Le Mubag inaugure une rétrospective de Navarro Ramón, d'Altea, peintre de l'avant garde du XXe siècle, 2024
  30. África Prado, « Les femmes dans la peinture de Navarro Ramón », Información, 13 décembre 2024
  31. « Les expositions - Espagne », L'Art vivant, juillet 1930, p. III
  32. « Le Salon des réalités nouvelles », L'actualité artistique internationale, 7 août 1952.
  33. Diego Coello, « Les œuvres de l'artiste d'Altea Juan Navarro Ramón voyagent en France », Información, 6 juin 2023
  34. « Le MUBAG met en lumière une centaine de pièces datées du XVIIe au XXIe siècle de son fonds artistique le plus récent », Diputación de Alicante, 5 juin 2024
  35. Joan Borja i Sanz, Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, Université d'Alicante, 2017, pp. 119-120.
  36. Josep Maria de Sucre i de Grau, « EL arte de Juan Navarro Ramón », 1931, cité par Francesc Rodon, Navarro Ramón, éditions du Service de publication du Ministère de l'éducation, 1978, p. 42, et par Joan Borja i Sanz, Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, Université d'Alicante, 2017, p. 24.
  37. Juan Gómez de la Mata, « Navarro Ramón », Crónica, Saragosse, 1931.
  38. Roger van Gindertael, « Juan Navarro Ramón », Art d'aujourd'hui, série 2, n°4, mars 1951.
  39. Antonio Manuel Campoy, Cien maestros del arte español contemporáneo, Iberico Europea de ediciones, Madrid, 1976.
  40. Juana Maria Balsalobre, « Prologue », dans ouvrage collectif Juan Navarro Ramón (1903-1989, éditions de l'Institut de culture Juan Gil-Albert, Alicanten 2005.
  41. « La Fondation Frax consacre un espace d'exposition au peintre Juan Navarro Ramón », Ayuntamiento de L'Alfà del Pi, 16 mars 2018
  42. Site Navarro Ramón, musées et autres collections
  43. Musée d'art contemporain d'Alicante, "Clarté" dans les collections
  44. Costa Blanca, La Casa de cultura, Musée Navarro Ramón, Altea
  45. « Altea célèbre le 120e anniversaire du peintre Juan Navarro Ramón », Aquí, Medios de comunicación, 23 février 2023
  46. Arte Restauración, Juan Navarro Ramón, "Portrait de famille"
  47. Perez Gil, « Aspe reçoit une peinture de l'artiste Juan Navarro Ramón », Información, 26 septembre 2017
  48. « La famille du peintre Juan Navarro Ramón fait don d'un de ses tableaux à la mairie de l'Alfàs », Leo Radio, 1er décembre 2020
  49. Académie royale des Beaux-Arts Saint-Ferdinand, Juan Navarro Ramón dans les collections
  50. Musée national centre d'art Reina Sofía, Juan Navarro Ramón dans les collections
  51. MACVAC, Juan Navarro Ramón dans les collections du MACVAC
  52. Musée d'art moderne de Collioure, "Collioure" dans les collections
  53. Fonds national d'art contemporain, "Femme à la guitare" dans les collections

Annexes

Bibliographie

  • (es) Sebastià Gasch, « Blanc i negre - Uns dubuixon de Juan Navarro Ramón », hebdomadaire Meridià, 17 juin 1938, p. 4.
  • (es) Manuel Muñoz Ibañez, La pintura valenciana de la posguerra, Université de Valence, 1944.
  • (es) Enrique Azcoaga (es), « Navarro Ramón », Indice de Artes y Letras, n°12, 1949.
  • Robert Vrinat, Juan Navarro Ramón, éditions Galerie Galanis-Henschel, Paris, 1953.
  • (es) Joan Perucho (es), « Navarro Ramón », Destino, 9 février 1962.
  • (es) Vicente Aguilera Cerni (es), Panorama del nuevo arte español, Éditions Guadarrama, 1966.
  • (es) Rafael Santos Torroella (es), « Navarro Ramón », El Noticiero Universal (es), 8 février 1967.
  • (es) Carlos Areán, 30 años de arte español, éditions Guadarrama, Madrid, 1972.
  • (es) Carlos Areán, Juan Navarro Ramón, 60 exemplaires numérotés enrichis d'une lithographie originale, co-édition Sala Gaudí / Galería de Luis, Madrid, 1973.
  • (es) Antonio Manuel Campoy (es), Diccionario critico de arte español contemporáneo, Iberico Europea de ediciones, Madrid, 1973.
  • (es) Manuel García Viñó (es), « Navarro Ramón », Bellas Artes, n°29, janvier 1974.
  • (es) Antonio Manuel Campoy, Cien maestros del arte español contemporáneo, Iberico Europea de ediciones, Madrid, 1976.
  • (es) Francesc Rodón, Navarro Ramón, collection Artistas españoles contemporáneos, Éditions du Service de publication du Ministère de l'éducation, 1978.
  • (es) Manuel Muñoz Ibañez, La pintura contemporánea del País Valenciano, Éditions Prometeo, Valence, 1981.
  • (es) Cien años de pintura en España y Portugal (1830-1930) (tome 6), Éditions Antiquaria S.A., Madrid, 1991.
  • (es) Manuel Muñoz Ibañez, La pintura valenciana de la posguerra, Éditions de l'Université de Valence, 1994.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.10, Gründ, 1999.
  • (es) Sous la direction de Francisco Agramunt Lacruz, Diccionario de artistas valencienes del siglo XX, Albatros, Vanence, 1999.
  • (es) Sous la direction de Francesc Fontbona (es), Repertori d'exposicions individuals d'art a Catalunya (fins a any 1938), Institut d'estudis catalans, Barcelone, 1999.
  • (es) Luis Maria Carucho Amat, Vingt artistes espagnols de l'École de Paris, éditions Fondation Pedro Barrié de La Maza, La Corogne, 2001.
  • (es) Romàn de la Calle, Juan Navarro Ramón - Experiencias pictóricas de la intimidad, éditions Musée Eric-Monjo, Vilassar de Mar, 2002.
  • Jeanine Varnod, Voyages dans l'intimitté de l'École de Paris, co-édition Musée du Montparnasse / Arcadia, 2002.
  • Sylvie Buisson, Foujita, le maître japonais de Montparnasse, Éditions du Musée de Montparnasse, 2004.
  • (es) Joaquén Santo Matas, Juan Ignacio Ferreras, Juana Maria Balsalobre, Natalia Carrazoni Hernández, Lorenzo Hernández Guardiola, Juana Maria Balasobre García, Juan Navarro Ramón (1903-1989), Éditions de l'Institut de culture Juan Gil-Albert, Alicante, 2005 (consulter en ligne).
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  • (es) Delfín Rodríguez Ruiz (es), El circulo de bellas artes de Madrid - 125 años de historia (1880-2005), co-édition Fondation Bancaja / Ministère de la culture, Madrid, 2005.
  • (es) Francisco Agramunt Lacruz, La vanguardia artística des los años trente : arte y compromiso politico en la II Republica, Conselleria de cultura, Generalitat Valenciana, Valence, 2006.
  • (es) Juan Manuel Bonet (es), Diccionario de las Vanguardias, 1907-1936, Éditions de la ville d'Alicante, 2007.
  • (es) Manuel Garcia Garcia; Memorías de posguerra - Dialogos con la cultura del exilo, Université de Valence, 2014.
  • (es) Joan Borja i Sanz (ca), Juan Navarro Ramón - Vida, color i formes, chaire Antoni Miró d'art contemporain, Université d'Alicante, 2017 (consulter en ligne).
  • (es) Román de la Calle, « Entre les fils et la pelote - Juan Navarro Ramón et sa "poétique" picturale », Archivo de arte valenciano, n°99, 2018, pp. 369-394 (consulter en ligne).
  • (es) Jaume Llinarés Cortés, Isabel Martinez Lloret et Joan Borja i Sanz, Navarro Ramón, Ajuntament de Altea, 2018 (consulter en ligne).
  • (es) Isabel Martinez Lloret (texte) et Anna Medina (illustrations), Navarro Ramón - Historia d'un pintor alteà, Ajuntament d'Altea, 2018 (consulter en ligne).
  • (es) Juana Maria Balsalobre, « Navarro Ramón : des ténèbres de la guerre à la lumière de Collioure », Journal de l'association aragonaise des critiques d'art, n°63, 2023 (consulter en ligne).
  • Claire Muchir, Front de mer - Canet, Collioure, Banyuls, 1940, La Fine éditions d'art, Paris, 2023.

Filmographie

Fonds d'archives

Liens externes

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