Homosexualité dans la chanson française

L'homosexualité dans la chanson française peut prendre plusieurs formes. Au fil des époques les chansons peuvent caricaturer, ignorer, défendre ou militer pour l'acceptation de cette orientation sexuelle, quelle que soit l'orientation sexuelle de leurs auteurs ou de leurs interprètes. Mode d'expression populaire par excellence, la chanson permet à la fois le divertissement et le débat. La culture gay et lesbienne en a fait un médium privilégié d'expression, mais la chanson peut être également utilisée pour la railler ou la parodier.

Histoire

Déjà présente à une époque où le terme « homosexuel » n'existait pas encore, le thème de l'homosexualité a véritablement éclos dans la chanson française à l'avènement de la Troisième République grâce à l'explosion des cafés-concerts[c 1],[a 1] — à la suite des décrets de 1867 et de 1880 —, lieux de toutes les licences (qu'elles soient alcooliques ou morales) malgré une censure toujours attentive. Il s'agissait à l'époque plus de caricaturer la « tante » comme sujet de moquerie parmi tant d'autres (soldats, belles-mères...), même si peu à peu des artistes et auteurs ouvertement homosexuels tendent à donner une image plus troublante, sortant de la moquerie pour évoquer la vie homosexuelle de l'époque et l'ivresse de ces amours interdites[d 1].

Du sous-entendu grivois distillé par Yvette Guilbert, Suzanne Lagier ou Charlotte Gaudet[d 2] à l'apparition du style « tapette » popularisé par Mayol[a 1] (et rapidement parodié, parfois de façon non subtile), le XXe siècle franchit allègrement le pas. À l'image des milieux littéraires qui voient s'épanouir Marcel Proust[c 2], André Gide[c 2], Colette ou Jean Cocteau, les music-halls deviennent des pépinières d'artistes « invertis », ainsi que des lieux de drague très courus. C'est le règne de la chanson interlope[c 3]. Bien sûr, le voile de l'ambiguïté plane toujours la plupart du temps sur les textes, mais la vie privée des vedettes des « années folles » est de notoriété publique : les producteurs Henri Varna[a 1] et Oscar Dufrenne, le compositeur Gaston Gabaroche[d 3], les auteurs Jean Lorrain, Maurice Aubret et Louis Amade ne cachent pas leurs préférences. Le bal du Magic-City[a 2], inauguré en 1922 rue de Lappe, organise chaque année au Mardi gras un grand concours de travestis[c 2]. Charpini[c 4] ou O'dett[c 5] triomphent en précurseurs des drag queen dans des parodies d'opérette[1] ou des imitations de comédiennes célèbres. Les chanteurs Reda Caire, Max Trébor, Jean Lumière, André Claveau, Jean Tranchant ou Jean Sablon font rêver les femmes[c 6],[a 3],[d 4] sans qu'elles soient dupes. Côté femmes, Fréhel, Damia, Suzy Solidor[c 7] ou Yvonne George[c 8] profitent de la brèche ouverte par le roman à scandale La Garçonne de Victor Margueritte[c 9] pour s'approprier des textes « masculins[a 4]. »

La Seconde Guerre mondiale incite à plus de discrétion, qui plus est à partir de la loi du sur l'incitation à la débauche[a], même si le style zazou de Charles Trenet véhicule toujours quelques sous-entendus[c 10]. La Libération en revanche est une période de remise aux normes assez brutale que l'arrivée du « rock », symbole de virilité, ne contredira pas[a 3]. Luis Mariano, Jean-Claude Pascal, Mick Micheyl ou Colette Mars[c 11] se retranchent prudemment derrière les convenances face à l'expansion d'un discours homophobe sous le masque de la caricature[a 3]. D'autres comme Gribouille[a 3] se réfugieront dans l'alcool et les barbituriques, elle en mourra le [2].

C'est paradoxalement grâce à des chanteurs « hétéros » que l'homosexualité va peu à peu devenir un sujet plus anodin à partir de 1968. Juliette Gréco, Régine ou Mouloudji interprètent des auteurs ouvertement gays comme Frédéric Botton ou Jean Genet, et surtout des textes qui évoquent l'homosexualité sans en faire un objet de condamnation ou de moquerie[a 3]. Charles Aznavour aborde le sujet en 1972 avec Comme ils disent[c 12],[a 5] en énonçant pour la première fois "homo" (écrit « homme oh[a 6] ») et en prêchant la tolérance[3].

Les années disco imposent la mode androgyne personnifiée par les Bee Gees, ou Patrick Juvet[a 6],[4], tandis que des chanteurs comme Dave continuent à chanter les amours hétérosexuels sans dissimuler leurs propres préférences[a 7], et que les Village People[b], ou Boys Town Gang prêchent l'hédonisme décomplexé de certains milieux gays de l'époque, véhiculé par des chanteurs et danseurs dont la plastique est mise en valeur. Dans les années 1990, les boys band garderont leur principe de présenter des hommes comme objets sexuels, mais sans connotation homosexuelle affichée. Au début des années 1980, plusieurs artistes prennent ouvertement la défense de la cause homosexuelle comme Dalida qui soutient la Radio Fréquence Gay et participe dès 1985 à un gala pour aider la recherche contre le virus du SIDA[5]. À ce propos, elle déclare publiquement à l'antenne en direct : « Moi je trouve ça merveilleux, les homosexuels ça existe et ça a toujours existé depuis toujours et c'est merveilleux que maintenant c'est au grand jour en liberté. Je pense que chacun est libre de faire ce qu'il veut de son corps. »[6].

Parallèlement, des artistes plus discrets comme Dick Annegarn ou Yann-Fañch Kemener trouvent également leur terrain d'expression[a 8].

L'épidémie de sida qui se répand à partir du milieu des années 1980 chasse les paillettes et le discours devient plus politique. Alors que Mylène Farmer construit sa notoriété sur (entre autres) le thème de la bisexualité, Jean Guidoni choque en développant un univers d'une noirceur et d'une crudité rarement évoquées jusque-là[a 6],[a 9]. D'autres ne cachent pas leur homosexualité, sans en faire un sujet central de leur art, comme Juliette[a 7]. Ce n'est qu'avec les années 2000 (et la relative normalisation de l'homosexualité grâce à des lois comme le PACS) que, sans renoncer à un certain militantisme, la chanson homosexuelle retrouve un peu de légèreté grâce à des artistes comme Mouron, Nicolas Bacchus[a 7] ou Laurent Viel et qu'on voit même apparaître des artistes ouvertement gays dans des milieux jusqu'alors plutôt fermés comme le rock ou le rap, genre qui cristallise également depuis quelques années les attaques les plus homophobes[a 7].

Chansons traitant de l'homosexualité ou de la bisexualité

Entre 1900 et 1950

Années 1950 et 1960

Années 1970

Années 1980

  • 1985 : Il aimait les garçons (Michel Kricorian, P. Honeyman, G. Di Nino) par Kelly[39]
  • 1986 : Elle n'aimait pas les garçons (Pierre Béraud-Sudreau/Éric Fettweiss) par Partenaire particulier[réf. nécessaire]
  • 1986 : Qui est qui ? extrait du spectacle Lily passion par Barbara[14],[e]

Années 1990

  • 1992 : Je suis une grosse folle (feat. De Vuil Janet) par le groupe Bassline Boys[réf. nécessaire]

[réf. nécessaire]
  • 1995 : Krik Manivelle par Les Elles[39]
  • 1995 : Une graine (Néry) par Les Nonnes Troppo[réf. nécessaire]
  • 1996 : Avec Luc de Clarika[39]
  • 1996 : L'amoureuse par le groupe Indochine[réf. nécessaire]

[réf. nécessaire]

[réf. nécessaire]

Années 2000

Années 2010

Années 2020

  • 2022 : Mater hilara par Ratel C[réf. nécessaire]
  • 2023 : Félin pour l'autre par Alain Wodrascka[réf. nécessaire]
  • 2024 : Sa Solitude, Buffet froid par Ratel C[réf. nécessaire]

Parodies

Cette section regroupe les chansons abordant l'homosexualité de façon parodique, humoristique ou stéréotypée :

Chansons ouvertement homophobes

Notes et références

Notes

  1. Cette loi ne sera abrogée qu'en 1982.
  2. Bien que composé de chanteurs américains, ce groupe est l'idée de deux Français : Jacques Morali et Henri Belolo.
  3. Malgré la « mise en garde finale », la chanson ne peut être considérée comme homophobe.
  4. Bien qu'écrite initialement pour un homme, la chanson devint un hymne lesbien en raison de son interprète.
  5. Cette chanson figure parmi les 45 titres traitant d'homosexualité parus sur la compilation Comme ils disent[21].
  6. Cette ballade « un peu désaxée »[31], jouant avec la sonorité des mots et aux allusions grivoises, est extraite de l'album Le Cimetière des arlequins dont l'« univers fantasmagorique » a contribué à la popularité du groupe Ange[31]. Elle est suffisamment suggestive pour avoir fait l'objet d'une courte bande dessinée érotique de deux pages avec des illustrations explicites de Phil Umbdenstock dans un fanzine paru en 1974[32], et elle figure dans l'édition en ligne du Dictionnaire des codes homosexuels de l'essayiste Philippe Ariño[33].
  7. Dans cette chanson d'apparence inoffensive, le narrateur s'adresse d'abord à ses anciennes amantes puis à ses amis en indiquant qu'il renonce à leurs « prouesses » et « nuits de folie ». Selon le journaliste Fabien Randanne, ce dernier vers pourrait être interprété sous un angle charnel[34], car il ferait clairement allusion à la bisexualité du chanteur[35].
  8. Fustigeant l'homophobie, cette chanson conçue avant la dépénalisation de l'homosexualité en 1982, a été présentée par son créateur dans ces termes : « écrite voilà déjà longtemps, mais les représentants des veaux de France au Parlement ont décidé que les hommes devraient obligatoirement aimer des femmes et ce-versa […], sous peine de "délit criminel"[38] ».
  9. Publiée sur la face A d'un 45 tours en 1979[44], cette chanson évoque le difficile « coming out » d'un jeune homosexuel qui annonce à ses parents que : « Les Juliettes que vous m'inventiez / S'appellent Pierre, Jacques, André » tout en leur reprochant de l'avoir « rendu malheureux » avec leurs « principes démodés »[45].
  10. La chanson d'amour Djemila a été censurée à la radio, parce qu'elle fait allusion à « un groupe de lesbiennes » dans son dernier couplet[50].
  11. Ce titre tourne en dérision l'attitude de certains homosexuels qui surjouent la virilité à outrance[a 6].
  12. Midi-minuit désigne le nom d'un cinéma qui a réellement existé[51], et que le parolier Pierre Philippe dépeint comme un lien de rencontres entre homosexuels et divers marginaux parfois issus de l'immigration[a 6].
  13. Dans le dernier couplet de la chanson Rose, l'auteur Pierre Philippe parle de deux corps « pendus aux barbelés » marqués du triangle rose, symbole utilisé par les nazis afin de persécuter les homosexuels[57].
  14. Dans Tout va bien, le parolier Pierre Philippe imagine un Paris dévasté après un coup d'État fasciste, où les patrouilles ont parqué les « pédés » dans le Palais des glaces[58],[59].
  15. La chanson est née d'une histoire d'amour homosexuelle vécue par l'auteur Pierre Philippe, qui en a ensuite tiré un roman autobiographique nommé La passion selon Peter. Le titre Allée des coquelicots fait référence au nom de l'allée du cimetière où repose le prénommé Peter dont le parolier était épris[61],[62].
  16. Cette chanson présente sur l'album live 140 BXL est également reprise sous le titre C'est la misère sur l'album-concept Un' ombre centré sur l'amour au masculin[64]. Ce disque est composé de morceaux qui sont, selon les propres mots du chanteur, « liés à "l'homo sensibilité" »[65]. D'après Olivier Bailly, les thèmes homosexuels sont récurrents dans l'œuvre de Dick Annegarn[66].
  17. Drugstore, 18 heures nous présente un jeune prostitué masculin qui tente de négocier avec un client dans le drugstore de Saint-Germain-des-Prés[69].
  18. Cette chanson, qui retrace les parcours d'une ancienne prostituée et d'un proxénète à la retraite, cite explicitement des anciens lieux de rencontres homosexuels comme la brasserie Graff[a 11] ou « la vespasienne du bas de la rue Lepic »[a 12] dans le quartier de Montmartre[70].
  19. Tout comme pour Cargo d'Axel Bauer, les clins d'œil à la communauté homosexuelle apparaissent surtout nettement dans le clip de la chanson, réalisé par Lydie Callier et tourné dans un décor particulièrement interlope[71].
  20. Cette chanson s'inspire de la passion homosexuelle que l'empereur romain Hadrien éprouvait pour son favori Antinoüs[79].
  21. Version française de l'original espagnol Mujer contra mujer.
  22. Selon le journaliste Sébastien Ministru : le parolier Philippe Djian, qui a un frère homosexuel, aurait écrit cette chanson très ambiguë en pensant à lui[84].
  23. Ces chanteurs qui n'aiment pas les femmes dresse l'historique du tour de chant « interlope » depuis Félix Mayol jusqu'aux « mignons boys-bandeurs », en passant par Charles Trenet[90].
  24. La reprise par Jean Guidoni de Monocle et col dur[a 14] est quelque peu différente de celle que chante Juliette dans son album Irrésistible. Et d'après la chanteuse, c'est bel et bien Guidoni qui a interprété la version originale de ce titre (écrit par Pierre Philippe) dans son spectacle Fin de siècle (1999)[91]
  25. Cette chanson a fait l'objet d'un clip mettant en scène deux jeunes filles se caressant et s'embrassant. Il a été quelque peu remanié par la suite après avoir été censuré par la plupart des chaînes de télévision[94].
  26. Il s'agit d'une version gay de la célèbre chanson J'aime regarder les filles de Patrick Coutin[98].
  27. Princess Aniès est considérée par Bettina Ghio comme une rappeuse particulièrement avant-gardiste en ce qui concerne les droits des personnes LGBT. Elle soutient le PACS en 1999 et sa chanson Tolérance fustige frontalement l'homophobie[102].
  28. L'auteur a consacré tout un chapitre d'un de ses livres sur cette chanson érotique inspirée par les amours saphiques et dont le clip (mis en scène par Frédéric Taddeï) montrait deux actrices en pleins ébats amoureux sur un canapé[107].
  29. Ce titre traite de l'homoparentalité mal assumée par un couple d'homosexuels, dont l'un est considéré par la justice comme un père isolé depuis qu'il a divorcé d'avec son épouse[113].
  30. Considéré comme une « ode à la bisexualité » selon l'hebdomadaire Les Inrockuptibles, le film Les Chansons d'amour de Christophe Honoré se termine par la chanson J'ai cru entendre (que je t'aime), illustrant une scène jouée par Louis Garrel et Grégoire Leprince-Ringuet où les deux hommes finissent par tomber dans les bras l'un de l'autre[118].
  31. Cette chanson parle d'un père qui cherche à communiquer avec son fils pour lui dire qu'il accepte son homosexualité[80].
  32. D'après François Thibeault, les trois personnages incarnés par Louis Garrel, Ludivine Sagnier et Clotilde Hesme dans le film Les Chansons d'amour de Christophe Honoré forment un « trouple ». Au lit, les deux jeunes femmes font d'abord l'amour sous le regard du garçon, avant que la relation entre chacun des protagonistes ne soit révélée dans la chanson Je n'aime que toi[121].
  33. Selon les autrices Léa Lootgieter et Pauline Paris, cette chanson aux paroles particulièrement explicite est un « titre fédérateur de toutes les soirées gouines »[b 14].
  34. Homosexuel assumé[a 7], Nicolas Bacchus évoque dans cette chanson le ménage à trois au masculin[138],[139].
  35. Tourné en Arizona et s'inscrivant dans le contexte des débats sur le mariage pour tous, le clip de la chanson L'amour est éternel montre plusieurs couples homosexuels[145]. Interrogé à l'époque par François Colinet, Cali déclarait : « Le but du jeu, c’était l'amour. Qu'on soit moche, beau, mince, gros, homo ou hétéro, on s'en fout »[146].
  36. Jim Bauer reprend cette célèbre chanson fantaisiste popularisée par Annie Cordy en jouant sur l'ambiguïté des paroles qui dépeignent une « folle » (terme péjoratif désignant un « homme homosexuel au comportement féminin maniéré »[a 15]) dotée des attributs d'un travesti comme le boa ou les faux cils[185]. Son interprétation décalée et mélodramatique[186] va faire de sa reprise un titre incontournable pour la communauté gay[187].
  37. La présentation de ce titre de Ratel C indique qu'il traite d'homophobie[189].
  38. Cette chanson sarcastique de Boris Vian raconte l'histoire de Marie-France : une jeune femme complexée qui s'ennuie avec son mari. Ce dernier finira par la tromper avec un maître-nageur, et son épouse changera de sexe par dépit[196].
  39. La grand-mère en question est chef d'entreprise, fume le cigare et adopte un comportement masculin, allant même jusqu'à tromper son mari avec la bonne[197].
  40. Ce provocateur s'est fait connaître au début des années 1980 par ce titre punk foutraque où il « encule » à peu près tout le monde, dont les « homosexuels », les « gouines » et même ses parents[200],[201].
  41. Sous des dehors humoristiques, l'auteur Didier Wampas a indiqué qu'il s'agit d'une « chanson contre l'homophobie », et tient aussi à souligner qu'elle anticipe presque les questionnements à venir sur le mariage pour tous notamment quand il chante les vers suivants : « Si je le pouvais / Je t’épouserais »[206].
  42. Cette chanson, avant tout anti-allemande, fait écho aux procès intentés en Allemagne contre une série de responsables militaires soupçonnés de « mœurs contre nature », à la tête desquels on trouve le prince Philipp zu Eulenburg et le comte Kuno von Moltke (de).

Ouvrages récurrents

  • Didier Eribon (dir.), Dictionnaire des cultures gays et lesbiennes, Larousse, 2003
  • Léa Lootgieter, Pauline Paris, Les dessous lesbiens de la chanson, Points, 2024
  • Martin Pénet, Florence Tamagne (dir.), L'expression homosexuelle dans les chansons françaises de l'entre-deux-guerres, Belin, 2006
  • Martin Pénet, livret du CD Chansons interlopes, Labelchanson, 2006
  1. Pénet 2006, p. 2.
  2. Pénet 2006, p. 17.
  3. Pénet 2006, p. 30-31.
  4. Pénet 2006, p. 30.
  5. Pénet 2006, p. 40.
  6. Pénet 2006, p. 39.
  7. Pénet 2006, p. 16.
  8. Pénet 2006, p. 14.
  9. Pénet 2006, p. 29.
  10. Pénet 2006, p. 7.
  11. Pénet 2006, p. 23.
  12. Pénet 2006, p. 18.

Autres références

  1. Erreca 1998.
  2. Mairie de Paris 12e, Acte de décès no 204 de Marie-France Marguerite Gaité, dite Gribouille, sur Archives de Paris, (consulté le ), vue 21.
  3. Stéphanie Gatignol, « "Comme ils disent" : la compilation qui revient sur un demi-siècle d'homosexualité en chanson », sur Têtu, (consulté le )
  4. Randanne 2025, p. 33-37.
  5. « Ces icônes de la pop culture qui sont caricaturées de façon sexiste », sur Les Inrocks (consulté le )
  6. [vidéo] Dalida Officiel, « Interview de Dalida sur Fréquence Gay en 1982 » (à 16 s), sur YouTube (consulté le )
  7. Bruno Perreau, Homosexualité : dix clés pour comprendre : vingt textes à découvrir, Paris, EJL, , 93 p. (ISBN 2-290-34136-3 et 978-2-290-34136-0, OCLC 77035626, lire en ligne).
  8. Robert Belleret, Piaf, un mythe français, Paris, Fayard, (ISBN 978-2213668819), p. 76.
  9. (en) Philip Purvis, « The ‘crisis’ of Masculinity in Poulenc's Les Mamelles de Tirésias », dans Philip Purvis (dir.), Masculinity in Opera : Gender, History, and New Musicology, Routledge, (ISBN 978-0415640060, DOI 10.4324/9780203082928-16, lire en ligne), p. 236-253.
  10. Jean-Louis Pelissard, « Représentations de l'homosexualité : Rétro - Sodome », sur France Culture, (consulté le ).
  11. Manzoni 2021.
  12. Marc Devirnoy, « La culture gay en musique : les années 50 et 60 », sur Gayviking, (consulté le ).
  13. Sébastien Ministru, « "Le tourbillon de la vie" de Jeanne Moreau : un hymne à l'homosexualité féminine ? », sur RTBF actus, (consulté le ).
  14. « La gayté en musique : Les Mentions Spéciales ! », sur Homozikal (version du sur Internet Archive).
  15. (en) Martin Aston, Breaking Down the Walls of Heartache : How Music Came Out, Backbeat Books, (ISBN 978-1617136528), p. 69.
  16. Sandro Cassati, Charles Trenet : une vie enchantée, City Edition, (ISBN 978-2352884972, lire en ligne), p. 164-165.
  17. Randanne 2025, p. 25-31.
  18. Vučelj 2016, p. 344.
  19. Vučelj 2016, p. 345.
  20. Maxime Foerster, Elle ou lui ? : une histoire des transsexuels en France, Paris, La Musardine, , 140 p. (ISBN 978-2-84271-400-0 et 2-84271-400-8, OCLC 798388722, lire en ligne).
  21. Moulin 2020.
  22. Povert 1994, p. 124.
  23. Sébastien Ministru, « "La grande Zoa" de Régine, une ode à la figure du travesti et à l'archétype de la folle… », sur RTBF Actus, (consulté le ).
  24. Povert 1994, p. 123.
  25. Martel 1996, p. 103.
  26. Eclimont et al. 2012, p. 399.
  27. Eclimont et al. 2012, p. 433.
  28. « Charles Aznavour : l'histoire de "Comme ils disent" », sur RTL (consulté le ).
  29. Jérémy Patinier, « Mais pourquoi les homos aiment-ils à ce point Dalida ? », sur Têtu, (consulté le ).
  30. Povert 1994, p. 166.
  31. François Robinet, Rock progressif français : Une histoire discographique, Camion Blanc, , 360 p. (ISBN 978-2378482077, lire en ligne).
  32. Phil Umbdenstock, « Images musicales : Ange - L'espionne lesbienne », Caricatures, no 5,‎ avril mai juin 1974.
  33. Philippe Ariño, « Dictionnaire des codes homosexuels : Code n°60 – Espion homo », sur Araignée du desert, (consulté le ).
  34. Randanne 2025, p. 38-39.
  35. Laure Dasinieres, « Droits LGBT+, féminisme, diversité: l'Eurovision est-il le miroir des évolutions sociétales ? », sur Slate, (consulté le ).
  36. Chanson sur la bisexualité.
  37. Didier Janeault et Daniel Lesueur, Dicorock : Reprises, cover versions et plagiats, Camion Blanc, (ISBN 978-2357799288, lire en ligne).
  38. Serge Utgé-Royo, « Disques : notre camarade Serge Utgé-Royo présente aux lecteurs du CPCA ses enregistrements », CPCA, no 9,‎ , p. 4 (ISSN 0181-7191, lire en ligne).
  39. « La gayté en musique : Les chansons évoquant l'homosexualité ! », sur Homozikal (version du sur Internet Archive).
  40. « Catherine Lara 1976 - Jeux de société », sur lara-passion.fr.
  41. « Toutes les filles s’appellent Carole : OK Carole, de Bijou », sur Musiquerocksite, (consulté le ).
  42. Régine, Gueule de nuit, Flammarion, (ISBN 978-2-08-142814-0, lire en ligne).
  43. Martel 1996, p. 8.
  44. « Fiche du disque "Mes parents sachez-le" », sur Encyclopédisque (consulté le ).
  45. Vučelj 2016, p. 348.
  46. Eclimont et al. 2012, p. 629.
  47. Martel 1996, p. 186.
  48. Eclimont et al. 2012, p. 619-620.
  49. Marc Devirnoy, « La culture gay en musique : 1980 – 1983, les années charnières », sur Gayviking, (consulté le ).
  50. Jean Viau, Guidoni & Juliette : Crimes féminines, Paris, Les Belles Lettres, (ISBN 2-251-44255-3), p. 49-50.
  51. Philippe Célérier, « Midi-Minuit (Paris 9ème) », sur Ciné-Façades, (consulté le ).
  52. Anne Sylvestre, Entretien radiophonique par Hélène Hazéra, Hommage à Anne Sylvestre - Le chemin des mots (à partir de 11:30), À voix nue, France Culture, .
  53. Bertrand Dicale, Brassens ?, Flammarion, , 285 p. (ISBN 978-2-08-126358-1, lire en ligne).
  54. Eclimont et al. 2012, p. 676-677.
  55. Serge Dillaz, Vivre et chanter en France : 1981-2006, Fayard, (ISBN 978-2213635392), p. 82.
  56. Povert 1994, p. 125.
  57. Jean Viau, Guidoni & Juliette : Crimes féminines, Paris, Les Belles Lettres, , p. 67.
  58. Pierre Philippe, Le rouge, le rose, Saint-Cyr-sur-Loire, Christian Pirot, (ISBN 2-86808-184-3), p. 242.
  59. Jean Viau, Guidoni & Juliette : Crimes féminines, Paris, Les Belles Lettres, , p. 68.
  60. Jean Viau, Guidoni & Juliette : Crimes féminines, Paris, Les Belles Lettres, , p. 65.
  61. Pierre Philippe, La Passion selon Peter, Messinger, (ISBN 978-2865831241), p. 14.
  62. Jean Viau, Guidoni & Juliette : Crimes féminines, Paris, Les Belles Lettres, , p. 72-73.
  63. Baptiste Vignol, Des chansons pour le dire : une anthologie de la chanson qui trouble et qui dérange, Tournon, (ISBN 978-2914237499), p. 156.
  64. Dick Annegarn (préf. Olivier Bailly), Paroles, Le mot et le reste, (ISBN 978-2360540228), p. 54.
  65. « Interview de Dick Annegarn », sur RFI Musique, (version du sur Internet Archive).
  66. Dick Annegarn (préf. Olivier Bailly), Paroles, Le mot et le reste, (ISBN 978-2360540228), p. 28-29.
  67. Eclimont et al. 2012, p. 704.
  68. Khalil Kajehi, Louise Wessbecher et Clément Vaillant, « Indochine a 40 ans: Nicola Sirkis revient sur 4 tubes cultes », sur HuffPost, (consulté le ).
  69. Martel 1996, p. 88.
  70. Pierre Philippe, Le rouge, le rose, Saint-Cyr-sur-Loire, Christian Pirot, (ISBN 2-86808-184-3), p. 195-197.
  71. Marc Devirnoy, « La culture gay en musique : 1984-1989 : les années sombres », sur Gayviking, (consulté le ).
  72. Michèle Roy, « Catherine Ribeiro : Le dur désir de vivre », La vie en rose, no 29,‎ , p. 49 (ISSN 0228-5479, lire en ligne).
  73. Eric Delhaye, « Mort de François Hadji-Lazaro, figure du punk-rock et fondateur de Pigalle et des Garçons Bouchers », sur Télérama, (consulté le ).
  74. Catherine Chantepie, L'histoire cachée des tubes de la chanson française : Culture musicale, La Boîte à Pandore, , 236 p. (ISBN 978-2-39009-345-9, lire en ligne).
  75. Povert 1994, p. 124-125.
  76. Yves Bigot, Un autre monde. Les amours de la chanson française et du rock -, Don Quichotte, , 416 p. (ISBN 978-2-35949-604-8, lire en ligne).
  77. Christophe Deniau, Daniel Darc : Une vie fulgurante, Camion Blanc, , 214 p. (ISBN 978-2357793606, lire en ligne).
  78. « Sphinx de nuit et douces bougres : lesbiennes amoureuses dans la chanson française », sur France Culture, .
  79. Anne Fraisse, Les Antonins : De Trajan à Commode, Ellipses, , 445 p. (ISBN 978-2340071780, lire en ligne).
  80. Vučelj 2016, p. 347.
  81. Baptiste Vignol, Des chansons pour le dire : une anthologie de la chanson qui trouble et qui dérange, Tournon, (ISBN 978-2914237499), p. 153.
  82. Thomas Joubert, Les années Top 50, edi8, , 240 p. (ISBN 978-2-324-01017-0, lire en ligne).
  83. Valentin Grimaud, Céline Dion : Vestale, Le mot et le reste, , 256 p. (ISBN 978-2384310913, lire en ligne).
  84. Sébastien Ministru, « "Pas d'ami comme toi" de Stephan Eicher, une chanson sur la fraternité des hommes... », sur RTBF actus, (consulté le ).
  85. Baptiste Vignol, Des chansons pour le dire : une anthologie de la chanson qui trouble et qui dérange, Tournon, (ISBN 978-2914237499), p. 162.
  86. Chloé Thibaud (préf. Flore Benguigui), Ni muses ni groupies : Une histoire féministe de la musique, Leduc Pop Culture, (ISBN 979-1028533496), p. 266.
  87. Vučelj 2016, p. 346.
  88. « Dossier documentaire LGBTIQ+ - Paroles de chansons », sur Centre de documentation et Cyberthèque André-Chavanne (consulté le ).
  89. Vučelj 2016, p. 345-346.
  90. Jean Viau, Guidoni & Juliette : Crimes féminines, Paris, Les Belles Lettres, , p. 139-140.
  91. Daniel Pantchenko, « Juliette, l'irrésistible », Chorus, no 47,‎ , p. 100 (ISSN 1241-7076).
  92. Jean Viau, Guidoni & Juliette : Crimes féminines, Paris, Les Belles Lettres, , p. 140-141.
  93. « 5 titres emblématiques de "Comme ils disent", la compilation sur un demi-siècle d’homosexualité en chanson », sur Jock, (consulté le ).
  94. Anouk Vincent, Indochine Story : 30 ans de saga rock, City Éditions, (ISBN 978-2352883296), p. 235.
  95. Eclimont et al. 2012, p. 990.
  96. Patrice Demailly, « Cinq sur cinq - Tout feu tout femmes », Libération,‎ (ISSN 2262-4767, lire en ligne).
  97. Yves Borowice (dir.), Les femmes de la chanson : deux cents portraits de 1850 à nos jours, Textuel, (ISBN 9782845973411), p. 81.
  98. Sébastien Ministru, « "J'aime regarder les filles", la chanson d'un voyeur, d'un mec en surchauffe, peut-être même d'un prédateur... », sur RTBF actus, (consulté le ).
  99. Isabelle B. Price, « Le Harpon de Cupidon de Krêposuk », sur Univers-L, (consulté le ).
  100. Sébastien Faramans, « Les chansons bleues et à poing de Nicolas Bacchus », La Marseillaise,‎ (ISSN 0247-4204, lire en ligne).
  101. Vučelj 2016, p. 348-349.
  102. Bettina Ghio, Pas là pour plaire ! : Portraits de rappeuses, Le mot et le reste, , 369 p. (ISBN 978-2361392260, lire en ligne).
  103. Isabelle B. Price, « La Mouche de Ginkobiloba », sur Univers-L, (consulté le ).
  104. Caroline Pintupie, « Les Hommes Que J’aime de La Rue Kétanou », sur Univers-L, (consulté le ).
  105. Isabelle B. Price, « Laissez-les Respirer de Leslie », sur Univers-L, (consulté le ).
  106. Isabelle B. Price, « Coming Out d’Astonvilla », sur Univers-L, (consulté le ).
  107. Jérôme Attal, Petit éloge du baiser, Les Pérégrines, , 231 p. (ISBN 979-1025205358, lire en ligne).
  108. Daniel Pantchenko, « Actualité disques : "A table" de Nicolas Bacchus », Chorus, no 54,‎ hiver 2005-2006 (ISSN 1241-7076).
  109. « Nicolas Bacchus : trois disques et des concerts à mettre entre toutes les oreilles et à consommer sans modération ! », sur Homo, bi, hétéro, et alors ?, (version du sur Internet Archive).
  110. Francis Panigada, « Chronique du disque "A table" de Nicolas Bacchus », Le Bulletin Chant'Essonne, no 140,‎ .
  111. Bertrand Dicale, « Nicolas Bacchus présente son nouvel album "A table" », sur RFI Musique, (consulté le ).
  112. Philippe Ariño, « Dictionnaire des codes homosexuels : Code n°45 – Désir désordonné », sur Araignée du desert, (consulté le ).
  113. Vučelj 2016, p. 349.
  114. Antoine Mokrane-Fernandez, « Najoua Belyzel: "J’en ai marre qu'on me compare à Mylène Farmer!" », sur tetu.com, (version du sur Internet Archive).
  115. « Dossier documentaire LGBTIQ+ - Clips vidéos », sur Centre de documentation et Cyberthèque André-Chavanne (consulté le ).
  116. Isabelle B. Price, « Jenn Je t’Aime de Superbus », sur Univers-L, (consulté le ).
  117. « Anne Sylvestre : la vie d’une chanteuse féministe », sur L'Avant Garde.
  118. « Guide Télé : La bisexualité : Tout un art ? », Les Inrockuptibles, no 681,‎ 16 au 22 décembre 2008, p. 90 (ISSN 0298-3788).
  119. Emilie Matthews, « Les éclectiques Ogres de Barback en 7 chansons », sur atuvu.ca, (consulté le ).
  120. Isabelle B. Price, « Les Femmes de Yelle », sur Univers-L, (consulté le ).
  121. François Thibeault, La dynamique de trouple ou la représentation de relations triangulaires dans le cinéma français : le cas de Wild Side, des Chansons d’amour et d’À trois on y va, Université d'Ottawa, (lire en ligne [PDF]), p. 59-62.
  122. Guillaume Narguet, « Pourquoi les gays tchèques sont-ils chauds ? », sur Radio Prague International, (consulté le ).
  123. « "BEA·S·TS", le sexe cru dans la musique », sur Manifesto XXI, (consulté le ).
  124. Silvius, « Chansons de bi ! », sur Le Biplan - Le blog brinquebalant sur la bisexualité et la pansexualité, (consulté le ).
  125. Thierry Cadet, « Lorie traite de l'homosexualité dans son clip », sur Charts in France, (consulté le ).
  126. Caroline Pintupie, « Adulte Et Sexy d’Emmanuel Moire », sur Univers-L, (consulté le ).
  127. Philippe Ariño, « Dictionnaire des codes homosexuels : Code n°19 – Bobo (sous-code : Bourgeois-bohème homosexuel) », sur Araignée du desert, (consulté le ).
  128. Julia Torlet (dir.), « Elle me plaît - Anaïs », sur C'est comme ça (consulté le ).
  129. Anne Kiesel, « Jean Genet, poète transgressif avec Le Condamné à mort », Ouest-France,‎ (ISSN 1760-6306, lire en ligne).
  130. Isabella Monnier Leland, « Interview de Lynda Lemay pour "Blessée" », Version Femina,‎ (lire en ligne).
  131. Julien Mielcarek, « Sylvie Vartan : "Je n'ai pas eu de traversée du désert, j'en suis moi-même étonnée !" », sur Puremédias, (consulté le ).
  132. Chloé Thibaud (préf. Flore Benguigui), Ni muses ni groupies : Une histoire féministe de la musique, Leduc Pop Culture, (ISBN 979-1028533496), p. 80-81.
  133. Julia Torlet (dir.), « Celles qui aiment elles - Marie-Paule Belle », sur C'est comme ça (consulté le ).
  134. Julia Torlet (dir.), « Coming out - Les Fatals Picards », sur C'est comme ça (consulté le ).
  135. Marie-Pierre Genecand, « La lesbienne libérée », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne).
  136. Luc Melmont, « Nicolas Bacchus aime le filet mignon... », sur Culture et Chanson, (consulté le ).
  137. David Desreumaux, « Bacchus, libertin j’écris ton nom ! », sur Hexagone, (consulté le ).
  138. Catherine Robert, « Nicolas Bacchus – La verVe et la joie (chronique album) », sur nicolas-bacchus.com, (consulté le ).
  139. Lionel Labosse, « La verVe et la Joie par Nicolas Bacchus », sur nicolas-bacchus.com, (consulté le ).
  140. « Fiche bibliographique de Lisa Angell », sur Universal Music France (consulté le ).
  141. « Max Boublil a peur de son coloc' », sur Gentside, (consulté le ).
  142. « Musique: Tryo est de retour, "témoin d'une époque", mais pas "donneur de leçons" », sur Le Point, (consulté le ).
  143. Julia Torlet (dir.), « Elle a dit - Mylène Farmer », sur C'est comme ça (consulté le ).
  144. Jérôme Béglé, « Mylène Farmer : "Mon point de vue est sans ambiguïté : je préfère un mariage gay à un mariage triste" », Têtu, no 184,‎ , p. 26 (ISSN 1265-3578).
  145. Jonathan Hamard, « Cali sous le soleil de l'Arizona pour son nouveau clip "L'amour est éternel" », sur Charts in France, (consulté le ).
  146. François Colinet, « Rencontre avec Cali, qui se remet à murmurer », sur RTBF actus, (consulté le ).
  147. Tom Spencer, « Lara Fabian célèbre l'amour sous toutes ses formes pour Deux ils, deux elles », sur Purepeople, (consulté le ).
  148. Sophie Lebrun, « Les cycles de Zazie », La Libre Belgique,‎ (ISSN 1379-6992, lire en ligne).
  149. « "College Boy", le clip choc de Xavier Dolan pour Indochine », sur RTL2, (consulté le ).
  150. Isabelle B. Price, « Anne et Louise de Patrick Fiori », sur Univers-L, (consulté le ).
  151. Luc Dehon, « Interview de Patrick Fiori », sur Idoles Mag, (version du sur Internet Archive).
  152. Julien Massillon, « Dans «Blonde», Alizée chante les bi.e.s contre les préjugés et les stéréotypes de genre », sur Yagg, (version du sur Internet Archive).
  153. Pauline Verduzier, « Mika se met à nu dans son nouveau single "Boum, Boum, Boum" », Le Figaro,‎ (ISSN 1638-606X, lire en ligne).
  154. Patrice Demailly, « Archimède à double face », sur RFI Musique, (consulté le ).
  155. Catherine Laugier, « Off Avignon 2023, Pascal Mary, la vie est une tragédie heureuse », sur Nos Enchanteurs, (consulté le ).
  156. Chloé Rébillard, « Mythos 2014 : Jeanne Cherhal, une histoire de J. », sur Yegg Magazine, (consulté le ).
  157. Pierre-Yves Paque, « Christophe Willem: "J'ai enfin trouvé l'amour" », sur La DH Les Sports+, (consulté le ).
  158. Maëlle Le Corre, « "Comme les autres", la chanson de Keen’V contre l’homophobie », sur Yagg, (version du sur Internet Archive).
  159. Béatrice Colin, « Toulouse: Dans leur dernier clip, Bigflo & Oli dressent un (beau) portrait de la France », sur 20 Minutes, (consulté le ).
  160. Justine Rossius, « "Je suis": le titre ultra émouvant de Bigflo & Oli », sur Flair, (consulté le ).
  161. Étienne Menu, « Tal : "Ça surprend les gens que je fasse de la musique plus mature" », GQ,‎ (ISSN 0016-6979, lire en ligne).
  162. « Jenifer dévoile un nouvel extrait de son album… », sur M Radio, (consulté le ).
  163. Julie Baret, « Alvin : "J'ai transformé une histoire d'amour en chanson" », Têtu,‎ (ISSN 1265-3578, lire en ligne).
  164. « "De l'amour": une chanson et un clip contre l'homophobie », sur Le Figaro, (consulté le ).
  165. Julia Torlet (dir.), « Normal - Eddy de Pretto », sur C'est comme ça (consulté le ).
  166. Florian Ques, « Angèle revient sur l'importance de sa chanson "Ta Reine" sur Instagram », Têtu,‎ (ISSN 1265-3578, lire en ligne).
  167. Chloé Thibaud (préf. Flore Benguigui), Ni muses ni groupies : Une histoire féministe de la musique, Leduc Pop Culture, (ISBN 979-1028533496), p. 267.
  168. Alexis Patri, « "Grave" : un clip indiscret pour le décomplexant nouveau titre d'Eddy De Pretto », Têtu,‎ (ISSN 1265-3578, lire en ligne).
  169. Emmanuel Marolle, « Emmanuel Moire nous explique en vidéo les paroles de "la Promesse", chanson sur son homosexualité », Le Parisien,‎ (ISSN 0767-3558, lire en ligne).
  170. Patrice Demailly, « Chanson française : elles déployées », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  171. Antoine Patinet, « Pomme : "Si je dis que je suis lesbienne, ça va être le titre de l'article" », Têtu,‎ (ISSN 1265-3578, lire en ligne ).
  172. « "J’avais peur de perdre une partie de mes auditeurs" : quand les chanteuses revendiquent leur homosexualité », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  173. Théau Berthelot, « "Tu me regardes" : Angèle en plein coup de foudre sur son nouveau single », sur Pure Charts, (consulté le ).
  174. Audrée Laurin, « Pierre Lapointe dépeint une histoire d'amour entre deux hommes dans son nouveau clip », sur Hollywood PQ, (consulté le ).
  175. Chloé Thibaud (préf. Flore Benguigui), Ni muses ni groupies : Une histoire féministe de la musique, Leduc Pop Culture, (ISBN 979-1028533496), p. 260.
  176. « Qui sont les artistes en lice pour être sacrés "révélation" aux Victoires de la Musique ? », sur Le Figaro, (consulté le ).
  177. « Safia Nolin dévoile "Claire", une nouvelle chanson intime sur Pomme », sur rocknfool.net, (consulté le ).
  178. « Philippe Katerine invite Lomepal pour son clip "88%" », sur Mouv', (consulté le ).
  179. Audrey Renault, « Les chansons d’amour lesbiennes enfin sur le devant de la scène », Les Inrockuptibles,‎ (ISSN 0298-3788, lire en ligne).
  180. « Les déclarations d'aimer de Mélodie Lauret », sur Artiste Révélation, (consulté le ).
  181. Alexandra Dumont, « Joanna: la musicienne s’impose comme un nouveau visage de la pop porn culture », Les Inrockuptibles,‎ (ISSN 0298-3788, lire en ligne).
  182. « Un espoir - Gabriele », sur gabrielemusic.com (consulté le ).
  183. Maxime Antoine, « Kompromat – De mon âme à ton âme », sur Indie Music, (consulté le ).
  184. « Aloïse Sauvage sort "Omowi", un hymne pro-LGBTQ+ », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
  185. Yannick Boréan, « "Tata Yoyo", la petite histoire du plus grand succès d'Annie Cordy », sur Ici, (consulté le ).
  186. Xavier Diskeuve, « "Tata Yoyo": Jim Bauer a-t-il été influencé par la reprise de Mecavolic? », sur L'Avenir, (consulté le ).
  187. « The Voice : Cette reprise de “Tata Yoyo” par Jim Bauer va mettre tout le monde d’accord », sur Jock, (consulté le ).
  188. « Laura Cahen, portrait d'une fille en feu », sur La Face B.
  189. « Le Drapé (radio edit) - Ratel C », sur ratelc.bandcamp.com, (consulté le ).
  190. « Un Fil d'Amour : Chanson racontant la rupture de deux femmes et le handicap », sur Top music, (consulté le ).
  191. « [Exclu] L'idylle saphique de Kalika et Joanna », sur Modzik, (consulté le ).
  192. Julien Gonçalves, « Christophe Willem en interview : "Je n'ai jamais menti sur ce que je suis" », sur Charts in France, (consulté le ).
  193. Alex Petit, « Christophe Willem : Victime de harcèlement, il livre un témoignage poignant », VSD,‎ (lire en ligne).
  194. Tessa Lanney, « Aloïse Sauvage : "Mettre mon corps en scène m'a permis de renouer avec ma sensualité" », Têtu,‎ (ISSN 1265-3578, lire en ligne).
  195. Eclimont et al. 2012, p. 22-23.
  196. Gilbert Pestureau, Dictionnaire des personnages de Vian, Christian Bourgois, (ISBN 978-2267012002), p. 271.
  197. Alain Wodrascka, Jacques Brel : Mille et une vies, City Edition, , 288 p. (ISBN 978-2824622644, lire en ligne).
  198. Povert 1994, p. 123-124.
  199. Joannic Arnoi, « Chanson française et homosexualité », sur Blog de Joannic Arnoi, (consulté le ).
  200. Christophe Goffette, Encyclopédie du rock en France, Nouveau Monde, (ISBN 978-2380945416), p. 377.
  201. Gilles Verlant (dir.), Jean-Dominique Brierre, Dominique Duforest et Christian Eudeline, L'odyssée de la chanson française, Paris, Hors Collection, (ISBN 978-2258070875), p. 248.
  202. Nicolas d'Estienne d'Orves, Dictionnaire amoureux du mauvais goût, Paris, Plon, (ISBN 978-2259250887, lire en ligne), p. 519.
  203. Nicolas d'Estienne d'Orves, Dictionnaire amoureux du mauvais goût, Paris, Plon, (lire en ligne), p. 380.
  204. Isabelle B. Price, « Ma Copine est une lesbienne de Zéphyr-21 », sur Univers-L, (consulté le ).
  205. Isabelle B. Price, « J’aime Trop Ton Boule de Fatal Bazooka », sur Univers-L, (consulté le ).
  206. Didier Wampas, Punk ouvrier, HarperCollins, , 192 p. (ISBN 979-1033916710, lire en ligne).
  207. (pt-BR) Dennys Silva-Reis, « A insinuação da homossexualidade negro-caribenha – "Comme deux frères" (2007) de Maryse Condé », Criação & Crítica, no 32,‎ , p. 41 (ISSN 1984-1124, lire en ligne [PDF]).
  208. Raphaël Domenach, « Les concerts contestés de la star du ragga », Le Parisien,‎ (ISSN 0767-3558, lire en ligne).
  209. « Rap, reggae. L'homophobie gagne du terrain [Réagissez !] », Le Télégramme,‎ (ISSN 0751-5928, lire en ligne).
  210. Valentine Bruno, « Polémique entre Krys et Vincent Mac Doom », France-Antilles Guadeloupe,‎ (ISSN 2271-0779, lire en ligne ).
  211. Karine Portrait et Audrey Savournin, « "100% homophobe", Sexion d'assaut déprogrammé à Marseille », La Provence,‎ (ISSN 2102-6815, lire en ligne).

Voir aussi

Bibliographie

En français

  • Lionel Povert, Dictionnaire gay, Paris, Jacques Grancher, , 483 p. (ISBN 978-2733904336).
  • Frédéric Martel, Le rose et le noir : les homosexuels en France depuis 1968, Paris, Seuil, , 456 p. (ISBN 9782020218948).
  • Didier Eribon, Frédéric Haboury et Arnaud Lerch, Dictionnaire des cultures gays et lesbiennes, Paris, Larousse, , 548 p. (ISBN 2-03-505164-9 et 9782035051646, OCLC 300482574).
  • Christian-Louis Eclimont (dir.), Stéphane Koechlin, Hubert Thébault et François Thomazeau, 1000 chansons françaises : de 1920 à nos jours, Paris, Flammarion, , 1006 p. (ISBN 978-2-0812-50-78-9).
  • Léa Lootgieter et Pauline Paris, Les dessous lesbiens de la chanson, Paris, Points, (1re éd. 2019), 368 p. (ISBN 979-10-414-1332-4, OCLC 1453620417)
    Une première édition moins complète de l'ouvrage est parue chez les éditions iXe.
  • Martin Pénet et Florence Tamagne (dir.), « L'expression homosexuelle dans les chansons françaises de l'entre-deux-guerres : entre dérision et ambiguïté », Revue d'histoire moderne et contemporaine, vol. 53, no 4 « Ecrire l'histoire des homosexualités en Europe : XIXe – XXe siècles »,‎ , p. 106-127 (lire en ligne).
  • Nermin Vučelj, « Un amour à taire dans la chanson française », dans Selena Stanković et Nermin Vučelj (dir.), Les Études françaises aujourd'hui - Tradition et modernité, Université de Niš, (lire en ligne [PDF]), p. 341-351.
  • Fabien Randanne, Queerovision : Histoire(s) de la plus grande scène du monde, Paris, Double ponctuation, coll. « Point d’interrogation », , 150 p. (ISBN 978-2490855797)
    L'ouvrage présente plusieurs figures francophones de la communauté LGBT ayant participé à l'Eurovision, comme Dany Dauberson, Jean-Claude Pascal, Patrick Juvet et Bilal Hassani.

En anglais

  • Philip Brett, Queering the Pitch: The New Gay and Lesbian Musicology, Routledge, (ISBN 0415907535)
  • James T. Sears, Walter L. Williams, Overcoming Heterosexism and Homophobia Strategies that Work
  • Ivan Raykoff, Robert Deam Tobin, A Song for Europe Popular Music and Politics in the Eurovision Song Contest
  • Raymond-Jean Frontain, Reclaiming the Sacred The Bible in Gay and Lesbian Culture
  • George E. Haggerty, Gay Histories and Cultures An Encyclopedia
  • Gerard Sullivan, Peter A. Jackson, Gay and Lesbian Asia Culture, Identity, Community
  • De Corey K. Creekmur, Alexander Doty, Out in CultureGay, Lesbian and Queer Essays on Popular Culture
  • David Ciminelli et Ken Knox, Homocore: the Loud and Raucous Rise of Queer Rock, Boston, Alyson, 2005.
  • John Gill, Queer Noises: Male and Female Homosexuality in Twentieth Century Music, Londres, Cassell, 1995.
  • Mark Simpson, Saint Morrissey, SAF Publishing, Rev Ed, 2004.
  • Richard Smith, Seduced and Abandoned: Essays on Gay Men and Popular Music, Londres, Cassell, 1996.
  • Wayne Studer, Rock on the Wild Side: Gay Male Images in Popular Music in the Rock Era, Leyland Publications, 1994.
  • Sheila Whiteley (dir.), Sexing the Groove: Popular Music and Gender, Londres et New York, Routledge, 1997.
  • Sheila Whiteley et Jennifer Rycenga (dir.), Queering the Popular Pitch, Londres et New York, Routledge, 2006.

Discographie

  • Chansons Interlopes (1906-1966), Divers, 2006, Martin Pénet, Labelchanson, LBC 001 (2 CD avec livret de 48 pages)
  • Comme ils disent, Divers, 2020, Matthieu Moulin, Marianne Mélodie, 5815.444 (2 CD)

Documentaires

Articles connexes

  • Portail de la musique
  • Portail LGBT+