Hermann Lenz

Hermann Lenz, né le à Stuttgart et mort le à Munich, est un écrivain allemand[1],[2].

Biographie

Il obtient le prix Georg-Büchner en 1978.

Œuvre

  • Un volume de sa correspondance avec Peter Handke est publié en 2006 en Allemagne[3].

Œuvres traduites en français

  • Les Yeux d'un serviteur[4] [« Die Augen eines Dieners »], trad. de Michel-François Demet, Paris, éditions Rivages, coll. « Littérature étrangère », 1987, 187 p. (ISBN 2-86930-052-2)
  • Le Promeneur [« Der Wanderer »], trad. de Michel-François Demet, Paris, éditions Rivages, coll. « Littérature étrangère », 1988, 252 p. (ISBN 2-86930-148-0)
  • Les rues de Stuttgart [« Stuttgart deine Strassen. Spaziergänge mit Hermann Lenz »], trad. de Christophe Didie, 2021, 297 p. Length

Notes et références

  1. Georges-Arthur Goldschmidt, « Hermann Lenz, un marginal intégré [article] », Allemagne d'aujourd'hui, no 73,‎ , p. 117-125 (lire en ligne)
  2. (de) Karl Pisa, « Hermann Lenz und sein Wahlthema Österreich », sur Die Furche,
  3. (de) Norbert Hummelt, « "Man wird von einer Ordnung angeweht": der Schriftsteller Hermann Lenz. Ein Gespräch mit Peter Handke », sur Westdeutscher Rundfunk Köln,
  4. Pierre Deshusses, « Hermann Lenz », sur Le Monde,

Liens externes


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