Georges Rech
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Georges Rech est un styliste français, actif à partir des années 1960.
Historique
Il ouvre sa maison en 1962. Son idée est de créer le prêt-à-porter de luxe.[réf. nécessaire]
En 1973, Georges Rech développe la marque Synonyme. C’est une ligne de vêtements composés de petites pièces coordonnées et complémentaires à la collection. En 1983, il crée donc une troisième ligne, Unanyme, regroupant d’autres pièces, des accessoires et surtout une gamme homme.[réf. nécessaire]
En 1986, Georges Rech est sollicité par le directeur général d'Air France pour créer les nouveaux uniformes pour le personnel au sol, emblème international de l’élégance française[1][source insuffisante].
Pour l'hiver 2016, la marque Georges Rech sollicite Christine Phung à revisiter les classiques de la maison[2], à travers une collection capsule[3]. .Fluide et colorée, la collection oscille entre élégance stricte et sportswear de luxe[réf. souhaitée][4]
Propriétaires. Après 1990
En 1990, Georges Rech se retire et vend l’ensemble de son affaire au groupe anglais Courtaulds. Le PDG de la marque Georges Rech à l’époque, Jean Jacques Wegnes, rapporte que l’idée était de trouver un nouvel axe de développement pour Courtaulds Textile[5]. En 1997 Courtaulds est racheté par le conglomérat américain Sara Lee Corporation[6].
En 2004, Georges Rech Japon est racheté par la société de gestion japonaise Itokin[7].
En 2005, le groupe de prêt-à-porter Apostrophe, fondé en 1968 et dirigé par Patrick Hazan, prend le contrôle de la marque Georges Rech[8].
Le siège est aujourd'hui situé au 21 rue de Berri à Paris et le bâtiment a été construit en forme de H pour le journal Herald Tribune.[réf. nécessaire]
Références
- ↑ New York Magazine 7 juin 1982, p. 57
- ↑ « Mes goûts et mes couleurs : Christine Phung twiste les imprimés graphiques » (consulté le )
- ↑ « L’instant mode : les créations de Christine Phung pour Georges Rech - Elle », (consulté le )
- ↑ Céline Vautard, « Georges Rech en plein renouveau » (consulté le )
- ↑ Fallon, James (27 mars 2000). « Sara Lee Will Buy Courtaulds for $237.8 Million », Women's Wear Daily.
- ↑ Kibazo, Joel, « Courtaulds Soars on U.S. Bid », Financial Times, 15 février 2000
- ↑ Mucchielli, Jean-Louis (1998). Multinationale et Mondialisation, éd. du Seuil, [Numéro(s) de page(s) ?] (ISBN 2020200074).
- ↑ Dominique Chapuis, « Georges Rech renoue avec la rentabilité », Les Échos, 14 décembre 2006
Liens externes
- Site officiel
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