Frédéric Escanyé
| Frédéric Escanyé | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (15 ans, 2 mois et 24 jours) | |
| Élection | |
| Réélection | 20 août 1893 8 mai 1898 27 avril 1902 | 
| Circonscription | Pyrénées-Orientales | 
| Législature | Ve, VIe, VIIe et VIIIe (Troisième République) | 
| Groupe politique | Union républicaine | 
| Prédécesseur | Édouard Vilar | 
| Successeur | Emmanuel Brousse | 
| – (7 ans, 9 mois et 13 jours) | |
| Circonscription | Pyrénées-Orientales | 
| Législature | IIe et IIIe (Troisième République) | 
| Groupe politique | Union républicaine | 
| Prédécesseur | Joseph de Gelcen | 
| Successeur | Édouard Vilar | 
| – (1 an, 3 mois et 20 jours) | |
| Élection | 5 mars 1876 | 
| Réélection | 21 août 1881 | 
| Circonscription | Pyrénées-Orientales | 
| Législature | Ire (Troisième République) | 
| Groupe politique | Union républicaine | 
| Prédécesseur | Circonscription créée | 
| Successeur | Joseph de Gelcen | 
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Thuir ( France) | 
| Date de décès | (à 73 ans) | 
| Lieu de décès | Perpignan ( France) | 
| Nationalité | Française | 
| Père | Ferdinand Escanyé | 
| Grand-père paternel | Sébastien Escanyé | 
| Profession | Personnalité politique, Juriste, Avocat | 
Frédéric Escanyé, né le à Thuir (Pyrénées-Orientales) et mort le à Perpignan (Pyrénées-Orientales), est un homme politique français.
Biographie
Petit-fils de Sébastien Escanyé, ancien élu à l'Assemblée nationale législative en 1791, et fils de Ferdinand Escanyé, député de la Monarchie de Juillet[1], Frédéric Escanyé est avocat à Perpignan. Membre de la commission municipale de Perpignan après le , conseiller de préfecture, il est conseiller municipal de Perpignan en 1871 et conseiller général du canton de Thuir la même année.
Élu député des Pyrénées-Orientales pour la première fois en 1876, il siège à l'Union républicaine. Il est l'un des 363 qui refusent la confiance au gouvernement de Broglie, le , provoquant des élections anticipées. Battu aux législatives de 1877 par le conservateur monarchiste Joseph Gelcen avec seulement 36 voix d'écart, l'élection est toutefois annulée du fait des manœuvres irrégulières menées par les autorités pour faire élire leur candidat[1]. Frédéric Escanyé récupère alors son siège de 1878 à 1885. Battu en 1885, il redevient député de 1891 à 1906.
Mandats
- Député des Pyrénées-Orientales[2]
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Voir aussi
Bibliographie
- Jean Capeille, « Escanyé (Frédéric) », dans Dictionnaire de biographies roussillonnaises, Perpignan,
- Marc Vilar, « Escanyé (Ferdinand, Jean, Joseph, Sébastien) », dans Nouveau Dictionnaire de biographies roussillonnaises 1789-2011, vol. 1 Pouvoirs et société, t. 1 (A-L), Perpignan, Publications de l'olivier, , 699 p. (ISBN 9782908866414)
- « Frédéric Escanyé », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
- « Frédéric Escanyé », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la vie publique :
Notes et références
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