Famille de Vandière de Vitrac d’Abzac

Famille de Vandière de Vitrac d'Abzac

Armes de la famille.

Blasonnement D’azur à trois trèfles d’or
Devise « Multa saecula, Favores raras »
De nombreux siècles, de rares faveurs
Période XVIe siècle – à nos jours
Pays ou province d’origine PérigordDordogneLorraineLimousin
Allégeance Royaume de France
Second Empire
République française
Fiefs tenus Abzac, Milon-la-Chapelle, Vitrac
Demeures Château de Marzac[1] (Tursac)
Récompenses civiles Ordre national de la Légion d'honneur
Récompenses militaires Ordre royal et militaire de Saint-Louis

La famille de Vandière de Vitrac d’Abzac est une famille de la noblesse française, originaire du Périgord[2]. Elle est issue de l’alliance des familles de Vitrac (Limousin), de Vandières (Lorraine) et d’Abzac (Périgord), cette dernière ayant relevé son nom et ses armes par adoption légale au XIXᵉ siècle (arrêt de la cour royale de Paris de 1828).

Histoire

Régis Valette écrit que cette famille appartient à la noblesse française subsistante d'extraction sur preuves de 1541[3].

Un ancêtre du rameau, Léon de Vitrac, écuyer, seigneur de Saint-Michel (Tourtoirac), est mentionné au XVIIe siècle comme marié à Marguerite de Vandières. Cette union est rapportée par des armoriaux régionaux[4],[5] et rappelée dans l’Annuaire de la noblesse de France (1903)[6]. La famille figure également dans le Ban de la noblesse du Périgord publié par l’Université Bordeaux Montaigne (2024), où sont recensées les familles reconnues comme nobles dans les registres d’Ancien Régime.[7]

La lignée des de Vandière de Vitrac d'Abzac se consolide au XIXe siècle à travers deux événements majeurs :

L’adoption, par arrêt de la Cour royale de Paris du 24 janvier 1828, de Raymond de Vandière de Vitrac (1800-1881) par son grand-oncle Jean d’Abzac (1747-1831), dernier héritier mâle de sa branche[8]. Cette adoption permit à Raymond d’adjoindre légalement le nom et les armes d’Abzac à son patronyme.

L’alliance de Raymond avec Éléonore-Nicette de Kalb, petite-fille du général Jean de Kalb (1721-1780), officier allemand engagé dans la guerre d’indépendance des États-Unis et mort à la bataille de Camden[9]. De cette union naît une descendance qui associe directement la famille de Vandière de Vitrac d’Abzac à l’héritage du général de Kalb.

La combinaison de ces deux lignées — d’Abzac et de Kalb — explique la continuité du nom actuel de Vandière de Vitrac d’Abzac, transmis aux générations ultérieures[10] Cette double origine est attestée par les recueils généalogiques du XIXe siècle, qui citent à la fois l’adoption de 1828 et l’alliance avec la famille de Kalb[11].

D’ancienne noblesse d'extraction chevaleresque, elle apparaît dans les nobiliaires et armoriaux classiques, notamment ceux de Henri Jougla de Morenas, Froidefond de Boulazac et Nadaud.

La famille des de Vandière de Vitrac d’Abzac figure dans des travaux plus récents sur la noblesse périgourdine[12], ainsi que dans l’État de la Noblesse Française Subsistante (2007)[13],[14],[15].

Plusieurs branches de cette famille subsistent encore au XXIe siècle.

La famille est mentionnée dans l’Annuaire de la noblesse de France (1903), dans l’Armorial du Périgord de l’abbé Audierne (1863) ainsi que dans des recherches plus récentes sur la noblesse provinciale publiées par des universitaires (Yves‑Marie Bercé, Centre de recherches sur la noblesse, etc.). Certains de ses membres ont été décorés de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis ou de l'ordre national de la Légion d'honneur.

Personnalités

Certains membres de cette famille sont relevés dans des fonctions militaires ou administratives :

  • Jean-François d’Abzac de Sarrazac (1747–1831), page en 1763, écuyer cavalcadour (1774), puis écuyer ordinaire (1781). Il dirige le manège royal de Versailles entre 1814 et 1819.[16],[17],[18][19]. Il est nommé en 1814 militaire de Saint-Louis et chevalier de l’ordre royal de la Légion d’honneur[20]. Il est fait chevalier de l’ordre de Saint-Louis en 1814[21], il est cité par une notice du Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord[22], il devient directeur du manège de Versailles (1814–1819)[23],[17]. Il y est mentionné avec éclat pour avoir, lors d’exercices équestres ayant lieu devant le roi, réussi à dompter un étalon que personne d’autre n’avait pu maîtriser — un exploit commenté ainsi dans le Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord (1996)[24].


  • Pierre-Marie d’Abzac (1739–1827), également écuyer au service royal, est cité dans les études sur l’histoire équestre[17],[18][19], figure associée à la cavalerie royale[17], il fut écuyer au manège royal de Versailles, institution prestigieuse de formation des cavaliers de l’Ancien Régime[25].

  • Raymond de Vandière de Vitrac, Comte d’Abzac (1800-1881), ancien écuyer de Louis XVIII et Charles X, chevalier de la Légion d’honneur, maire de Milon-la-Chapelle pendant quarante-trois ans. La notice patrimoniale locale rappelle également le passage du château de Milon entre le baron Johann de Kalb et son gendre[26].

Marié en 1828 à Mlle Nicette de Kalb, il contribua à la restauration de l’église paroissiale. Sa nécrologie, publiée dans Le Monde en 1881, le décrit comme « bon époux, bon père de famille autant que bon citoyen », rappelant son rôle lors du sacre de Charles X et ses quarante-trois années de mandat municipal.[27]

  • Léon de Vitrac, écuyer, seigneur de Saint-Michel (Tourtoirac). Son mariage avec Marguerite de Vandières est rapporté par les armoriaux[4],[5] et rappelé par l’Annuaire (1903)[6].
  • Élie-Bernard de Vitrac de Vandière (1715–1790), seigneur de Saint-Michel, ancien exempt des Gardes du corps du roi, chevalier de Saint-Louis. Marié à Claire d’Abzac en 1777, selon l’Annuaire (1903)[6]. Sa qualité d’« ancien exempt » et la résidence à Laudonie figurent dans un état imprimé de 1787[28]. Le rattachement du rameau est rappelé par l’ANF[29] et par l’armorial périgourdin[4].
  • Éléonore-Nicette de Kalb (1811–1899), petite-fille et seule descendance du baron de Kalb, épouse de Raymond.


  • Henri d’Abzac (de Vandière de Vitrac d'Abzac) (né le 15 juin 1958 à Strasbourg), descendant de Frédéric Ernest de Vandière de Vitrac d’Abzac, a été nommé préfet des Hautes-Pyrénées par décret du 1er août 2012[30]. Il a quitté ses fonctions en 2014[31]. Il est chevalier de l’Ordre national du Mérite et du Mérite agricole[32].

Alliances

La famille de Vandière de Vitrac d’Abzac a contracté au fil des siècles plusieurs alliances avec des familles du Périgord et d’autres provinces :

Abzac de La Douze et de Limeyrat — mariage d’Élie-Bernard de Vitrac de Vandière avec Claire d’Abzac; l’adoption de 1828 de leur petite-fils Raymond, consacre le relèvement du nom et des armes d’Abzac.[6],[33]

De Kalb — mariage de Raymond de Vandière de Vitrac d’Abzac (1800-1879) avec Éléonore-Nicette de Kalb, petite-fille du général Johann de Kalb[6]

Johann de Kalb (1721–1780), baron de Kalb, officier Allemand devenu major-général de l’armée continentale américaine, en Notices de référence : Encyclopædia Britannica[34], Maryland State Archives[35] et U.S. Army Europe & Africa[36].

De Meyvières d’Artois — alliance d’Antoine de Vandière de Vitrac (1772-1845) avec Anne de Meyvières d’Artois.[33]

De Lestrade de La Cousse — alliance au XVIIIᵉ siècle le 24 décembre 1738 entre Henri d’Abzac dit : Le Comte d'Abzac seigneur de Sarrazac et de lestang et Jeanne de Lestrade de La Cousse, dont sont issus Jean-François d’Abzac, Pierre-Marie d’Abzac et Claire d’Abzac[37]

Blasons

Blasonnement : de Vandière de Vitrac — D’azur à trois trèfles d’or[38].

Blasonnement : d'Abzac — D’argent à la bande d’azur chargée d’un besant d’or, à la bordure d’azur besantée d’or[4].

Descendance de Raymond et Éléonore-Nicette de Kalb

La descendance est rapportée à la fois par l’Annuaire de la noblesse de France (1903, p. 164–172)[6] et par le Dictionnaire de Broglie et du vaisseau "La Victoire 1777" (Bernard de Larquier Rochefort, 1984)[39] :

  • Edmond Antoine (1830–1897)[6][39]
  • Frédéric Ernest (1833–1911), d'où postérité : Albert Élie de Vandière de Vitrac d’Abzac (1868–1931)[6][39]
  • Raymond Joseph (1844–1923)[6][39]
  • Élisabeth Léonore Clotilde (1850–1922)[6][39]

Transmission et patrimoine

Le Château de Milon-la-Chapelle est acquis par le baron Johann de Kalb au XVIIIe siècle, puis transmis à son gendre Raymond de Vandière de Vitrac d’Abzac. Par son mariage avec Léonore-Nicette de Kalb, fille d’Élie de Kalb et de Marie-Elisabeth-Charlotte Signard, Raymond de Vandière de Vitrac d’Abzac devint propriétaire du domaine de Milon-la-Chapelle.[40] Cette succession est évoquée dans la notice patrimoniale communale[26],[41]. Le site patrimonial de la commune de Limeyrat souligne que la branche de Vandière de Vitrac d’Abzac continue de porter l’héritage des derniers seigneurs de la localité[42].

Mentions dans les listes et ouvrages

La famille figure dans la liste des familles subsistantes de la noblesse française selon Régis Valette[13]. Signalée dans des études contemporaines consacrées à la noblesse régionale, où elle apparaît comme « de Vandière de Vitrac d'Abzac et de Vandière de Vitrac de Bellussière » (p. 131)[43].

Notes et références

  1. « Château de Marzac », sur Base Mérimée, Ministère de la Culture (consulté le )
  2. Louis-Pierre d'Hozier, « Armorial général de France, registre du Périgord », sur Gallica, Bibliothèque nationale de France, Imprimerie royale, (consulté le )
  3. Régis Valette, Dictionnaire des familles subsistantes de la noblesse française au XXIe siècle, 2002, page 185.
  4. A. de Froidefond de Boulazac, Armorial de la noblesse du Périgord, vol. I, Périgueux, , 522 p.
  5. Abbé Joseph Nadaud, Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, vol. II, Limoges, Chapoulaud frères, 1863–1872 (lire en ligne)
  6. Albert Révérend ; dir=André Borel d’Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, vol. 59, Paris, Bureau de la publication, , 164–172 p. (lire en ligne)
  7. Université Bordeaux Montaigne, « Ban de la noblesse du Périgord », sur Observatoire de la Noblesse, Université Bordeaux Montaigne, (consulté le )
  8. [bpt6k5838573d lire en ligne] sur Gallica
  9. [bpt6k29050f lire en ligne] sur Gallica
  10. Arnaud d’Abzac, Le comte de Vandière de Vitrac d’Abzac, Paris (autoéd.), , 301 p.
  11. [bpt6k5778166d lire en ligne] sur Gallica
  12. Centre de recherches sur la noblesse, « La noblesse du Périgord », dans La noblesse française aux XIXe et XXe siècles, Paris, Fayard, 2016, p. 13-45, en ligne.
  13. Antoine-Marie d’Authier de Sisgau ; Jean-Charles de Galbrun, État de la Noblesse Française Subsistante, vol. 18, Paris, , 345 p.
  14. Abbé Audierne, Armorial du Périgord, Périgueux, 1863, p. 214.
  15. Yves-Marie Bercé, « Noblesse et notabilité en Périgord au XVIIe siècle », Annales du Midi, tome 76, n° 51, 1964, p. 321-340 (lire en ligne sur Persée).
  16. Guillaume Henry, « L’École équestre de Versailles, de l’Ancien Régime à la Troisième République », sur Ephaïstos (OpenEdition Journals),
  17. Guillaume Henry, « L’École équestre de Versailles, de l’Ancien Régime à la Troisième République », Ephaïstos,‎ (lire en ligne)
  18. Duplessis, « L’équitation en France (1815-1892) — nomination des frères d’Abzac écuyers en chef du manège de Versailles », sur Équitation française, (consulté le )
  19. « Budget de la Maison du Roi — Écuyers du manège de Versailles », Journal des Économistes, vol. 35,‎ (lire en ligne)
  20. « Base de données des membres de l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis (1814-1830) », sur saint-louis.info (consulté le )
  21. « Notice sur Jean d’Abzac, écuyer cavalcadour du roi », Notice biographique mentionnant Jean d’Abzac comme écuyer du roi et chevalier de l’ordre de Saint-Louis., sur Gallica (BnF), Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. X, , p. 145-162
  22. (collectif), « Notice sur Jean d’Abzac, écuyer cavalcadour du roi », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, vol. 10,‎ , p. 145–162 (lire en ligne)
  23. Guillaume Henry, « L’École équestre de Versailles, de l’Ancien Régime à la Troisième République », Ephaïstos,‎ (lire en ligne)
  24. Bulletin de la SHAP, « Tome CXXIII — Année 1996, mention du vicomte d’Abzac et de l’incident chevaleresque équestre », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord,‎ , … (lire en ligne)
  25. « École de Versailles – mention des frères d’Abzac », sur Wikipédia (consulté le )
  26. « Le patrimoine de Milon – Le château de Milon », sur Commune de Milon-la-Chapelle (consulté le )
  27. « Nécrologie – Raymond de Vandière de Vitrac, comte d’Abzac », Le Monde,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
  28. « État des élèves existants dans les écoles militaires (1787) », sur Gallica (BnF) (consulté le )
  29. « VANDIÈRE de VITRAC (de) — notice », sur Association d’entraide de la noblesse française (consulté le )
  30. « Décret du 1er août 2012 portant nomination du préfet des Hautes-Pyrénées (M. d'Abzac) », sur Legifrance, (consulté le )
  31. « Le préfet Henri d'Abzac s’en va », sur La Dépêche du Midi, (consulté le )
  32. « Henri d'Abzac, nouveau préfet des Hautes-Pyrénées », sur Lourdes-Infos (consulté le )
  33. Tablettes généalogiques et nobiliaires, Paris, , 152–153 p. (lire en ligne)
  34. « Johann de Kalb », sur Encyclopædia Britannica (consulté le )
  35. « Baron de Kalb », sur Maryland State Archives (consulté le )
  36. « Baron de Kalb (Army 250) », sur U.S. Army Europe & Africa (consulté le )
  37. Tablettes généalogiques et nobiliaires, Paris, , 167 p. (lire en ligne)
  38. Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, vol. VI, Paris, Armand Colin, 1934–1939, 490 p.
  39. Bernard de Larquier Rochefort, Dictionnaire de Broglie et du vaisseau « La Victoire » (1777), Saintes, Éditions de Larquier, 1984.
  40. Frédéric de Reiffenberg, Le presbytère de Milon-la-Chapelle, Paris, Imprimerie V. Goupy, , 4-5 p. (lire en ligne)
  41. ANF, Nobiliaire de France et d’Europe : Vandière de Vitrac (de), de Bellussière et d’Abzac, Paris, Association d’entraide de la noblesse française, éd. annuelle.
  42. « La famille Vandière de Vitrac d’Abzac, toujours bien vivante… derniers seigneurs de Limeyrac », Limeyrat.net.
  43. « Ils sont donc de Vandière de Vitrac d’Abzac et de Vandière de vitrac de Bellussière », (lire en ligne)

Bibliographie

  • Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, Paris, Armand Colin, t. VI, 1934-1939.
  • A. de Froidefond de Boulazac, Armorial de la noblesse du Périgord, Périgueux, t. I, 1960, p. 522.
  • Abbé Joseph Nadaud, Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Limoges, Chapoulaud frères, t. II, 1863-1872 en ligne.
  • Albert Révérend (dir. André Borel d’Hauterive), Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l’Europe, Paris, Bureau de la publication, 1903, p. 164-172 en ligne.
  • Bernard de Larquier Rochefort, Dictionnaire de Broglie et du vaisseau La Victoire (1777), Saintes, Éditions de Larquier, 1984.
  • Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. X, 1883, « Notice sur Jean d’Abzac, écuyer cavalcadour du roi », p. 145-162 en ligne.
  • Centre de recherches sur la noblesse, « La noblesse du Périgord », dans La noblesse française aux XIXe et XXe siècles, Paris, Fayard, 2016, en ligne.
  • Antoine-Marie d’Authier de Sisgau, Jean-Charles de Galbrun, État de la Noblesse Française Subsistante, Paris, t. XVIII, 2007, p. 345.
  • Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, t. VI, Armand Colin, Paris, 1934–1939, p. 490.
  • A. de Froidefond de Boulazac, Armorial de la noblesse du Périgord, t. I, Périgueux, 1960, p. 522.
  • Abbé Joseph Nadaud, Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, t. II, Chapoulaud frères, Limoges, 1863–1872 (texte intégral sur Wikisource).
  • Albert Révérend (dir. A. Borel d’Hauterive), Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, 59e vol., Paris, 1903, p. 155–156 (en ligne sur Gallica).
  • Bernard de Larquier Rochefort, Dictionnaire de Broglie et du vaisseau « La Victoire » (1777), Éd. de Larquier, Saintes, 1984, p. 271–274 (notice de la BM de Dijon consultable en ligne).
  • Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, vol. 10, 1883, p. 145–162 : « Notice sur Jean d’Abzac, écuyer cavalcadour du roi ».
  • Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. CXXIII, 1996 (mention du vicomte d’Abzac et de l’incident chevaleresque).
  • Guillaume Henry, « L’École équestre de Versailles, de l’Ancien Régime à la Troisième République », Ephaïstos, OpenEdition, 2025.
  • Julie Chaud, Les écuyers d’Abzac, de Sarrazac et la culture équestre française (XVIIIe–XIXe siècles), mémoire de master, ENS, 2023 (PDF en ligne).
  • Journal des Économistes, t. 35, 1877 (mentions des écuyers du manège royal).
  • La noblesse du Périgord, Paris, 2016 (extrait disponible sur Cairn.info).
  • Arnaud d’Abzac, Le comte de Vandière de Vitrac d’Abzac, Paris, 1988, XI-301-32 p. (monographie familiale, mentionnée dans le Catalogue avril 2025 -n°316, Librairie Le Trait d’Union).
  • (Tapuscrit) Chevalier de Courcelles & Comte de Vandière de Vitrac, Généalogie de la Maison d’Abzac, continuée jusqu’en 1916, Cannes, dactylographié par H. T. Crofton, 1916 (mentionné dans le Catalogue Royan, BiblioRare, 26 juillet 2017).
  • Patrice du Puy, Généalogies périgourdines, Paris, Maisonneuve et Larose, 1966, 421 p.
  • Association d’entraide de la noblesse française (ANF), Nobiliaire de France et d’Europe : Vandière de Vitrac (de), de Bellussière et d’Abzac, Paris, ANF, édition annuelle.
  • Edmond Lerville, « Un général français peu connu, le baron de Kalb, 1721-1780 », Revue historique des armées, no 162, 1986, p. 78-87 (lire en ligne sur Persée).

Articles connexes

Liens externes

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