Ernest Rongvaux
| Ernest Rongvaux | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Ministre des Communications | |
| – (2 ans, 5 mois et 22 jours) |
|
| Monarque | Léopold III (Régence du Prince Charles) |
| Premier ministre | Hubert Pierlot Achille van Acker Paul-Henri Spaak Camille Huysmans |
| Gouvernement | Pierlot V et VI van Acker I et II Spaak II van Acker III Huysmans |
| Prédécesseur | Aucun (gouvernement en exil) |
| Successeur | Achille van Acker |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Châtillon |
| Date de décès | (à 83 ans) |
| Lieu de décès | Uccle |
| Nationalité | Belge |
| Parti politique | Parti ouvrier belge (POB) Parti socialiste belge (PSB) |
Ernest Rongvaux, né le à Châtillon et mort le à Uccle, est un homme politique belge du Parti socialiste belge.
Cycle de vie
Il naît dans une famille d'agriculteurs et devient employé aux PTT. De 1935 à 1938, il travaille également comme chef de cabinet des ministres des Transports et des PTT Paul-Henri Spaak (1935-1936) et Désiré Bouchery (1936-1938). Il était également franc-maçon.
Ernest Rongvaux est également actif politiquement au sein du Parti ouvrier belge (POB) puis du Parti socialiste belge (PSB), et est élu pour ce parti comme conseiller communal à Arlon, où il est échevin de 1935 à 1958.
Le 27 septembre 1944, il devient lui-même ministre des Communications dans les gouvernements Pierlot V et VI, van Acker I et II, Spaak II, van Acker III et enfin Huysmans. En 1947, son mandat de ministre prend fin.
Il poursuit également une carrière parlementaire : de 1945 à 1946 il succéda à François André comme sénateur coopté au Sénat, de 1946 à 1949 il siège à la Chambre des représentants pour l'arrondissement d'Arlon-Bastogne, de 1949 à 1950 il siège à nouveau comme sénateur coopté au Sénat et de 1950 à 1961 il est enfin de nouveau député. En 1961, il se retire de la politique[1].
La place Ernest Rongvaux lui rend hommage à Waremme.
Source
- Paul Van Molle. Het Belgisch Parlement, 1894-1972. Anvers, 1972.
Références
- (nl) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en néerlandais intitulé « Ernest Rongvaux » (voir la liste des auteurs).
- ↑ Ernest Rongvaux; Saint-Léger
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