Erick Saint-Laurent

Erick Saint-Laurent
Surnom Erick Saint-Laurent
Nom de naissance Claude Patrice Raison
Naissance
13e arrondissement de Paris
Décès (à 73 ans)
Le Kremlin-Bicêtre
Genre musical Pop, rock psychédélique, Yé-Yé
Années actives 1961 - 1975
Labels Barclay

Erick Saint-Laurent, de son vrai nom Patrice Raison, né le à Paris et mort le au Kremlin-Bicêtre[1], est un chanteur, compositeur, musicien, et parolier français ayant connu un bref succès à la fin des années 1960, notamment en adaptant en français des chansons anglophones[2].

Durant sa carrière musicale, il a été membre de divers groupes tels que les Hornets ou encore l'ensemble de rock progressif Présence, dans lequel lui succède en 1971 le chanteur Daniel Balavoine. Il s'inscrit dans la vague pop française de la fin des années 1960 au même titre que Jacques Dutronc, Nino Ferrer, ou encore Antoine[3].

Biographie

Jeunesse et débuts

Patrice Raison nait le 16 janvier 1946[2] à Paris dans le 13e arrondissement. Il passe sa jeunesse dans la commune de Choisy-le-Roi. Il est fils d'un fonctionnaire de police[4],[5].

Les Little Boys d'Orly (1962-1964)

Très tôt, il se passionne pour la vague rock et twist, qui secoue la France au début des années 1960. Il voit se produire sur scène des groupes comme les Surfs, ainsi qu'Eddy Mitchell et les Chaussettes noires. Encore lycéen, Patrice fait la rencontre des Little Boys, une formation de quatre adolescents qui fréquentent le lycée d'Orly, et qui ont déjà former un groupe nommé "Les Crackers". La bande de lycéens évolue dans un style instrumental, directement inspiré des Shadows et Ventures. En cette année 1963, le groupe cherche à se doter d'un chanteur, afin d'explorer de nouvelles sonorités[6]. Dans une interview accordée au magazine Rock & Folk en 1966[5], il explique qu'il s'est rendu à une des répétitions du groupe et s'est mis à chanter avec eux.

Patrice rejoint ainsi Les Little Boys d'Orly, complétant la formation finale du groupe, composé jusqu'alors de Jean-Louis Desumeur (guitare solo), Christian Vena (guitare rythmique), Michel Dadi (basse) et Benaziza Labri (batterie). Quelques jours après, le groupe se produit dans une petite boite de nuit de Choisy[5]. Nous sommes alors en 1963[6]. Le monde de la musique sera ébranlé quelques mois plus tard par la Beatlemania : les Beatles se produisent partout et passent à Paris, au mois de janvier et février 1964. Admirateur du groupe anglais, Patrice renomme les Little Boys en "Hornets" (« les frelons ») en hommage aux Beatles (dont le nom est lui-même dérivé du mot scarabée)[4].

Les Hornets (1964-1966)

La bande des Hornets se produit au concours Twistorama, à Orly. Ils finissent en deuxième position en 1963 et remportent l'édition de 1964. Cette victoire permet au groupe d'acquérir une certaine visibilité sur la scène locale parisienne. Le groupe tente l'épopée parisienne à la fin de l'année 1964. Ils se produisent sur la scène du Week-End Club, dans le quartier Montparnasse. Les Hornets y reprennent les succès des Beatles, et ne passent pas inaperçus. Jacques dit "Kiki" Chauvière, invite le groupe à jouer sur la scène de La Locomotive, une salle de concert fondée quelques années plus tôt dans les sous-sols du Moulin Rouge. Le groupe passe alors ses week-ends sur scène[5]. Ils deviennent très rapidement les chouchous de la boite, et jouent très souvent les premières parties des artistes s'y produisant. À « La Loco », les Hornets partagent parfois la scène avec des noms importants de la scène yé-yé, tels que Noël Deschamps, Ronnie Bird, ou encore Michel Berger[4]. Aussi font-ils la rencontre d'autres groupes, comme les Problèmes, les Downbeats ou encore les Peetles[6], une formation amenée à évoluer et devenir, dans les années 1970, Il était une fois.

Toujours en 1965, les Hornets font la connaissance de Mike Pasternack, avec qui ils signent un contrat[5]. Pasternack leur fait assurer les premières du Musicorama des Kinks, lorsque ces derniers se produisent à l'Olympia le 23 février 1965[4]. S'y produiront notamment Michel Berger, Johnny Winters, Vic Laurens, et en tête d'affiche, les Kinks, qui arrivèrent ivres sur scène[6].

De plus en plus l'influence des Beatles se fait sentir chez les Hornets, qui reprennent sur scène les classiques des Fab-Four, ainsi que d'autres succès de la scène anglophone[4]. Parmi les reprises à succès, "Eight Days a Week", "Rock' N' Roll Music", ou encore "Can't Buy Me Love"[6]. Le groupe veut voir plus grand, et cherchent à signer dans une maison de disque. Ils essaient une première fois chez Barclay en 1965, mais la maison de disque refuse. Le groupe passe le reste de l'année 1965 à jouer sur la scène de La Locomotive.

Débuts en solo (1966-1967)

Au début de l'été 1966, sous l'impulsion de Mike Pasternack le groupe passe une nouvelle audition chez Barclay. Le label signe Patrice, qui sera rebaptisé sous le nom "Erick Saint-Laurent". Le couturier Yves Saint-Laurent connaissait un franc succès à l'époque, et Jean-Pierre Bourtayre proposa de prendre le nom Saint-Laurent. Cependant, Barclay ne veut pas produire les Hornets. Après plusieurs négociations, il est décidé qu'ils accompagneront le chanteur lors des représentations publiques.[5],[7]

Chez Barclay, il est produit par Jean-Pierre Bourtayre. Il collabore avec le parolier Pierre Saka dès 1966. Dans son livre "Tout finit par des chansons" Saka décrit Erick comme "un jeune chanteur ne ressemblant pas aux autres (...) Il se démarque des rockeurs, dont le blouson de cuir noir constitue l'uniforme. Lui, joue la carte de l'élégance, un peu Dutronc avant l'heure"[7]. C'est sous l'impulsion de Pierre Saka qu'Erick Saint-Laurent chantera des chansons en français, lui qui reprenait à l'époque essentiellement des chansons anglo-saxonnes[5].

Carrière artistique et succès (1966-1969)

Le Temps D'y Penser (juin 1966)

Un premier disque sort en juin 1966. Enregistré aux studios Hoche dans le 8e arrondissement de Paris, l'EP va connaitre un petit succès à l'été 1966. Accompagné par Jean-Claude Petit à l'orchestration et du guitariste écossais Dean Noton[8], ce premier disque est riche en sonorités puisées chez les Beatles. Le Temps d'y penser, chanson éponyme de l'EP, s'inscrit dans une sphère contestataire, typique de celles que l'on retrouve au même moment chez Antoine et les Problèmes.

La composition, signée Saka et Monty, est accompagnée de V.I.P. en face A. Sur la face B se trouve une reprise des Feuilles Mortes de Jacques Prévert, ainsi qu'une seconde chanson originale, La Route. Saint-Laurent confie que ce disque lui a valu un certain succès, notamment grâce à Monty et Pasternack, qui faisaient souvent tourner la chanson à la radio, sur Radio Luxembourg, et sur Europe 1, durant l'émission "Salut les Copains"[6] [5]. À l'époque, le disque est surtout disponible dans la capitale et à Choisy, confie Erick au journaliste Philippe Adler lors d'une interview réalisée en 1966[5].

Les Enfants Qui Jouent (Octobre 1966)

En septembre 1966, Erick Saint-Laurent traverse la Manche pour se rendre dans un studio londonien. Accompagné des musiciens d'Eddy Mitchell, il enregistre alors quelques chansons, dont une adaptation en français de Eleanor Rigby des Beatles[9]. Il raconte dans une interview que la première version de la chanson est enregistrée en anglais à Londres, avant qu'elle ne soit réenregistrée en Français, dans les locaux de Barclay. L'adaptation, est signée Erick Saint-Laurent et plait au label. Aussi note-on la contribution de Pierre Saka et Jacques Monty. Eleanor Rigby vaut au chanteur son premier vrai succès. L'adaptation parait sur la face B du 45 tours Les enfants qui jouent. Cette chanson est adaptée de Little Man de Sonny et Cher. Une adaptation sera également faite par Dalida, sous le nom de Petit Homme.

Les autres titres de cet EP sont Les Portes claquent et Je préfère chanter[10]. Ce premier disque marque le début du succès pour le chanteur. Il est régulièrement programmé sur Salut les copains et passe sur diverses autres stations de radio[4]. Si bien qu'au mois de novembre 1966, Eleanor Rigby se classe en 20e position du top hebdomadaire des ventes de 45t, on compte environ 50 000 ventes du super 45t[11]. Cette vente s'accompagne aussi d'un classement dans le top 40. Eleanor Rigby se classe en 36e. Position des tops entre le 23 octobre et le 6 novembre 1966[12]. Elle se classera également en 17e place du top de Salut Les Copains, sur Europe 1[6]. La même année, le nom d'Erick Saint-Laurent figure à la Une du magazine Rock & Folk[13],[5]

Au début de l'année 1967, le succès de son EP lui vaut de participer à plusieurs émissions télévisées, dont "Tous en scène" avec Michèle Arnaud. Il y partage la scène avec Sylvie Vartan et Hervé Villard. Aussi le voit-on dans les émissions présentées par Jean-Christophe Averty.

Vendredi M'obsède (avril 1967)

Erick Saint-Laurent retourne à Londres pour enregistrer un EP, nommé Vendredi M'Obsède. Le titre est une adaptation française de Friday on My Mind du groupe australien The Easybeats. Saint-Laurent adapte également la chanson I'm a Believer écrite par Neil Diamond pour le groupe américain des Monkees, alors en vogue grâce à ce single. Pourtant, Vendredi m’obsède et J'ai cru à mon rêve, sont deux chansons signées Georges Aber, parolier prolifique au milieu des années 1960. Son adaptation est préférée à celle d'Erick, et lui-même confiera que la version d'Aber était meilleure[6]. La face B du disque est composée des chansons Il a suffi d'un jour et Je devine la vérité[14]. Sur ce dernier morceaux, on notera la participation de Jean-Louis Désumeur à l'écriture.

Vendredi M'Obsède va connaitre le même succès que son prédécesseur. Un EP où l'on retrouve des sonorités plus psychédéliques, qui font écho au prochain disque à paraître.

C'est Devenu Un Homme (août 1967)

Plus tard dans l'année 1967 parait un second 45t, intitulé C'est devenu un homme, adaptation de She's Leaving Home du duo Lennon-McCartney. Enregistrée à Paris sous la direction de l'orchestre de Jean-Claude Petit, la chanson est adaptée d'un titre sur l'album no 1 des ventes au Royaume Uni, Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band. A l'inverse de la version de Lennon et McCartney, le titre raconte l'histoire d'un jeune garçon rêvant d'émancipation. À nouveau, un thème très Mai 68 et dans l'air du temps[15]. À fleur d'amour est la seconde chanson présente sur la face A du single.

Sur la face B se trouve une adaptation de Sweet Pea de Tommy Roe, intitulée Le Canard. Cette adaptation, qu'Erick Saint-Laurent confiera détester, connait elle-aussi un succès à l'été 1967[4]. Mais cette chanson déçoit car elle sort du registre Mod et Pop du chanteur et touche un public bien plus jeune. Le single se clôt sur une composition originale, Le Nuage qui passe[16].

Après La Bataille (Décembre 1967)

Le dernier single de l'année 1967 est Après la bataille. Le disque est enregistré à Londres, avec Jean Bouchety, le directeur artistique d'Eddy Mitchell. Le disque sort en fin d'année. Il s'accompagne de la chanson Lilli Mary en face A ; la face B se compose de Central Park et L'Amour est mort[17]. Composée par Erick Saint-Laurent et Jean-Louis Désumeur, le chanteur confie que la chanson s'inspire de l'ambiance psychédélique de Lucy In The Sky with Diamonds.[18] La chanson Central Park valu au chanteur une 40e position dans les charts en France pour la semaine du 28 janvier 1968[19]. Ce retour à un succès plus grand peremt notamment de redorer l'image du chanteur après Le Canard.

En 1968, Erick Saint-Laurent doit mettre sa carrière en pause, le chanteur étant appelé pour le service militaire. Il effectue son service à la caserne de Versailles, puis à Pontoise[18]. Il obtient une permission de la part de l'armée sur la demande de Barclay, afin de rejoindre Eddy Mitchell à Londres. Le temps d'un Week-End, il officie en tant que choriste. On l'entend notamment sur Je n'aime que toi. A l'armée il fait la connaissance d'un guitariste et d'un batteur, avec qui il joue des morceaux durant les temps libres.

A son retour à la vie civile, en juin 1969, Erick travaille avec son ami des Hornets, Jean-Louis Désumeur, sur l'album d'Eddy Mitchell, Mitchellville[6]. À la fin de l'année 1969, Erick Saint-Laurent est en tournée avec Eddy et se produit à nouveau à l'Olympia entre le 10 et le 16 décembre 1969[4] [6]. En tournée avec Eddy, Erick rencontre Pierre Groscolas, également choriste et chanteur pour un groupe nommé Coeur, qui avait été repérer quelques mois avant par Eddie Barclay. Ne cherchant plus à redevenir chanteur au retour du service, Erick devient le directeur artistique du groupe et produit deux 45t. Aussi chez Barclay, travaille t-il avec Catherine et Maxime le Forestier.

Présence (1969-1971)

À la fin de son service militaire, en 1969, Erick Saint-Laurent est sollicité par Jean-Louis Désumeur, pour rejoindre son groupe de rock progressif. Eric Bamy quitte le groupe formé quelques mois plus tôt sous le nom de Frogeaters. Erick remplace Bamy dans la formation qui choisit le nom de Présence[4] et signe chez Vogue en 1969. Le groupe est alors composé de Jean-Louis Désumeur à la basse, la guitare et le chant ; Pierre Gaillot, lui-aussi à la guitare ; Erick Saint-Laurent au chant ; Daniel Darras aux claviers ; et Daniel Baudon à la batterie. d'autres musiciens s'ajoutent à la formation : Jacky Léger, Guy Legouty, Joss Mahaut et Jean-Louis Dagot, aux cuivres[4]. Il s'agit alors en 1969, d'un ensemble musical composé de 9 personnes. Présence est un des nombreux groupes s'inscrivant dans l'héritage des Beatles. On y retrouve en effet certains codes du groupe anglophone, notamment au niveau des mélodies simples et des harmonies efficaces[20].

Leur premier single nommé Filles du nord / Quand j'en ai envie , parait en juin 1970 dans la série Vogue "Pop Music"[20]. Sur ce disque, Erick Saint-Laurent est crédité sous son vrai prénom, Patrice Raison. Le groupe se produit souvent en concert, notamment sur la scène rock du Golf-Drouot où les performances live du groupe seront majoritairement des reprises d'Abbey Road des Beatles[4]. Le groupe part également pour quelques tournées en Espagne à l'automne 1970[6]. Dans l'ouvrage Génération Balavoine, Erick Saint-Laurent, alors leader du groupe Présence, est vu à l'époque comme « le prince de la pop music » car Présence est un groupe assez sérieux de la scène parisienne, et Saint-Laurent, connu du milieu, contribue à sa visibilité[21].

Erick Saint-Laurent quitte le groupe en automne 1970, pour rejoindre Richard Anthony et enregistrer Good Bye Espoir. La formation connaitra en effet plusieurs crises durant leur tournée en Espagne, notamment au sujet des répétitions. Ces crises voient ainsi le départ d'Erick et plus tard, la dissolution du groupe[6]. Il faut attendre 1971 pour que Présence se reforme autour du duo Darras et Baudon, Erick n'est plus là, il sera remplacé au chant par Daniel Balavoine[22].

Un amour en papier (1972)

Lorsque Daniel Balavoine quitte Présence II, en 1972, Erick retrouve ses compères du début, comme Jean Louis Désumeur. Avec le groupe, il enregistre ce qui sera son dernier single. Ce 45 tours, nommé Un amour en papier, parait sur le label indépendant MW (Mike Wallis Production). Les deux chansons sont des compositions originales, Un amour en papier sur la face A et Si loin de toi en face B[23]. Il travaille aussi au cours de l'année avec Hugues Aufray et Claude François[4].

Patrice Raison (1975 - 2021)

En 1975, Erick publie un dernier 45 tours, cette fois sous son vrai nom, Patrice Raison. Ce disque intitulé Le Hasard a si bien fait les choses, parait chez Barclay. On retrouve à l'écriture Alain Bashung et Michel Bernard, artiste et parolier ayant déjà collaboré avec Johnny Hallyday à ses débuts. La face B Fais-toi présente est une adaptation.

Outre ce disque, Patrice Raison collabore toujours dans le monde de la musique, notamment en enregistrant des morceaux avec le chef d'orchestre Mario Cavallero, et ce jusqu'au début des années 1980[6]. Après sa carrière de chanteur, il officie comme Disc-Jockey dans les clubs à Paris et en périphérie[18].

Décès

Patrice Raison décède le 29 mars 2021, à l'âge de 73 ans. Il est inhumé au cimetière de Choisy-le-Roi au début du mois d'avril 2021.

Bibliographie

  • Janeault Didier, Camion Blanc: Dicorock Reprises, cover versions et plagiats, Paris, Camion Blanc, 2017.
  • Jelot-Blanc Jean Jacques, Si le yé-yé m'était conté... l'histoire vraie des idoles des années 1960, Paris, Camion Blanc, 2020.
  • Sabatier Benoit, Nous sommes jeunes, nous sommes fiers, Paris, Fayard, 2013.
  • Saka Pierre, Tout finit par des chansons, Paris, L'Archipel, 2014.
  • Thomazeau François, Mods, la révolte par l'élégance, Paris, Le castor astral, 2017.
  • Varrod David, Génération Balavoine, Paris Fayard, 2016.

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. « Erick Saint Laurent », sur france.retrojeunesse60.com (consulté le )
  3. Sabatier Benoit, Nous sommes jeunes, nous sommes fiers, Paris, Fayard, , 680 p. (ISBN 9782213682808, lire en ligne)
  4. « 45vinylvidivici.net > - CAMELEON - ERICK SAINT-LAURENT - CAME 96 - MOD GARAGE FRANCE - », sur 45vinylvidivici.net (consulté le )
  5. Adler Philippe, « Paisible Saint Laurent », Rock & Folk,‎ , p. 66 (lire en ligne)
  6. Jacques Leblanc, « Erick Saint Laurent », Jukebox Magazine, Paris, no n°129,‎ , p. 65 - 68
  7. Saka Pierre, Tout finit par des chansons, Paris, L'Archipel, , 186 p. (ISBN 9782809811155, lire en ligne)
  8. « Encyclopédisque - Disque : Le temps d'y penser », sur www.encyclopedisque.fr (consulté le )
  9. Jelot-Blanc Jean Jacques, Camion Blanc: Si le yé-yé m’était conté... L’histoire vraie des idoles des années 1960, Paris, Camion Blanc, , 560 p. (ISBN 9782378482367, lire en ligne), p. 15
  10. Erick Saint Laurent - Les Enfants Qui Jouent, (lire en ligne)
  11. « TOP Hebdo », sur www.top-france.fr (consulté le )
  12. « Classement du 30 octobre 1966 », sur Tubes en France, les hits parades musicaux hebdomadaires entre 1961 et aujourd'hui (consulté le )
  13. « Toutes les couvertures », sur Rock&folk (consulté le )
  14. Erick Saint Laurent - Vendredi M'obsède, (lire en ligne)
  15. Janeault Didier, Camion Blanc: Dicorock Reprises, cover versions et plagiats, Paris, Camion Blanc, , 406 p. (ISBN 9782357799295, lire en ligne)
  16. Erick Saint Laurent - C'est Devenu Un Homme, (lire en ligne)
  17. Erick Saint Laurent - Après La Bataille, (lire en ligne)
  18. [vidéo] « On parle vinyle sur Canal 29 #5 », Canal 29 Avanchet Vernier, , 102:32 min (consulté le )
  19. « Classement du 28 janvier 1968 », sur Tubes en France, les hits parades musicaux hebdomadaires entre 1961 et aujourd'hui (consulté le )
  20. Hervé, « Présence, groupe progressif de 1969 à 1973 - Encyclopédie du Rock », sur Rock Made in France, (consulté le )
  21. Lecoeuvre Fabien, Balavoine parmi nous, Paris, Les éditions du Rocher, , 208 p. (ISBN 9782268004167, lire en ligne)
  22. Varrod David, Génération Balavoine, Paris, Fayard, , 252 p. (ISBN 9782213702476, lire en ligne)
  23. Eric Saint-Laurent - Un Amour En Papier, (lire en ligne)

Liens externes

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