D'Estienne d'Orves
Nom de famille
D'Estienne d'Orves est un nom de famille notamment porté par :
- Thomas d'Estienne d'Orves (1727-1782), amiral français ;
 - Honoré d'Estienne d'Orves (1901-1941), officier de marine et résistant français, considéré comme le premier martyr de la Résistance ;
 - Nicolas d'Estienne d'Orves (né en 1974), journaliste français, petit-neveu d'Honoré d'Estienne d'Orves ;
 - Félicie d’Estienne d’Orves (née en 1979), artiste plasticienne
 - Philippe Honoré d'Estienne d'Orves (1941, 2000), écrivain français, fils d'Honoré d'Estienne d'Orves;
 - Pierre d’Estienne d’Orves, plus connu sous son pseudonyme Tour-Maubourg, musicien et DJ belge de musique électronique.
 
Voir aussi : Famille d'Estienne.
Noms dérivés
Le nom D'Estienne d'Orves, a été donné en l'honneur d'Honoré d'Estienne d'Orves notamment :
- Odonymes
 
- le square d'Estienne-d'Orves, parc parisien situé devant l'église de la Trinité à Paris ;
 - la place d'Estienne-d'Orves, également à Paris ;
 - le cours Honoré-d'Estienne-d'Orves, à Marseille ;
 - l'avenue Honoré-d'Estienne-d'Orves, à La Seyne-sur-Mer, où la famille d'Estienne d'Orves était propriétaire du domaine de Lagoubran ;
 - la station Trinité - d'Estienne d'Orves, station de métro parisienne ;
 - le lycée Honoré-d'Estienne-d'Orves à Nice ;
 - le parc d'Estienne-d'Orves, parc départemental situé à Nice ;
 - d'autres voies et lieux portent ce nom sur l'île de Sein, à Verrières-le-Buisson, à Suresnes (siège français de Tropicana ou d'Unilever...), au Mans…
 - L'hôtel d'Estienne d'Orves, hôtel particulier d'Aix-en-Provence.
 - La rue d'Estienne-d-Orves à Clamart.
 
- Navires de la marine nationale française
 
- la classe d'Estienne d'Orves, type d'avisos, bâtiments navals militaires légers, tirant son nom du premier de ses navires, le D'Estienne d'Orves (en service entre 1973 et 1999).
 - Un des futurs patrouilleurs hauturiers de la Marine nationale, mise en service prévue en 2027, portera son nom[1].
 
Notes et références
- ↑ Jean-Marc Tanguy, « Des noms de héros et héroïnes de la Seconde Guerre mondiale pour les futurs patrouilleurs hauturiers », Le Marin, (lire en ligne, consulté le )