Cimetière juif de Gundershoffen
| Pays | |
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| Commune |
Gundershoffen rue de la Forêt |
| Coordonnées |
48° 54′ 10″ N, 7° 39′ 14″ E |
| Sauvons nos tombes |
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Le cimetière juif avec des tombes datées dès 1815[1], est situé rue de la forêt à Gundershoffen. C’est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Gundershoffen se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Situation et évolution de la propriété du site
Le site est propriété du Consistoire Israélite du Bas-Rhin[2].
La parcelle est couverte par le plan local d’urbanisme intercommunal de la Communauté de communes du Pays de Niederbronn-les-Bains. Elle porte le no 90 de la rue de la forêt, section 9, Feuille 0009 01[3],[4]
Le cimetière est fermé par un mur d’enceinte en moellons de grès des Vosges ouvert par deux portails avec un accès piéton et un autre de service.
Outre les photos prises par Jean-Pierre Kleitz[5] et Raymond Lévy[6] pour l'association des "Amis des Sites Hébraïques des Environs de Reichshoffen et Niederbronn-les-Bains" (ASHERN)[7], des prises de vues par drone ont été réalisées par Rêve d'Altitude[8],[9] selon la technique du LIDAR, en utilisant des rayons laser pour produire de l'imagerie. Un plan précis de ces espaces couvrant (près de deux hectares)[10] a été établi.
Histoire
Une première synagogue avait été construite en 1780. Selon l'inventaire de 1843, celle-ci étant en mauvais état et trop petite, une nouvelle synagogue a été érigée, de style oriental, en 1865.
La restitution de la propriété de la synagogue, qui avait été saisie sous l’occupation allemande, a été demandée par le consistoire israélite. Après désaffectation, celle-ci a été utilisée en dispensaire. Désacralisée[11] en 1969 elle a été réutilisée en logement[12].
Le cimetière juif aurait, lui, déjà été engagé à partir de 1815, si l’on prend en compte la datation des tombes les plus anciennes .
Si l’on prend en compte la datation des tombes les plus anciennes, le cimetière juif aurait déjà été engagé à partir de 1815. De style gothique, roman ou encore en forme de temple à colonnes brisées (morts tragiques), elles sont toutes dirigées vers l’est.
Dans le cimetière juif, la Hitler Jugend locale a incendié la maisonnette en bois de l’époque contenant les archives du cimetière. Le local de Tara a été reconstruit après guerre et sert aujourd’hui de débarras.
Environ 350 emplacements vides laissent supposer autant de tombes disparues ou profanées à l’époque nazie, dans la partie ancienne y compris le carré des enfants.
La communauté juive de Gundershoffen
En 1681, Louis XIV crée un rabbinat d’Alsace, calquant les institutions du judaïsme alsacien sur celles de la communauté de Metz[13]. Les lettres patentes du 25 septembre 1657 accordèrent aux juifs d'Alsace la protection royale, qui semblait se substituer à la précédente tutelle impériale[14].
Une communauté juive a existé à Gundershoffen dès le XVIIIe siècle[15].
En 1784, le pouvoir royal ordonne un dénombrement général des Juifs en Alsace[16] qui atteste en effet la présence de Juifs à Gundershoffen.
122 communes du Bas-Rhin comptaient des habitants juifs en août 1806 et au printemps 1808. 114 communes disposaient d’un registre de prise de nom des juifs en 1808 dont Gundershoffen[17]. On a recensé 29 individus dans la commune.
Après l’émancipation des Juifs par le vote de l'Assemblée constituante en 1791 au début de la Révolution française, de nouveaux cimetières israélites ont été créés, dont celui de Gundershoffen. L’intégration républicaine s'est traduite dans les années 1850, notamment en Alsace-Moselle, par l'ajout sur les stèles, généralement au verso, de la mention en langue française du nom et de la date de décès.
En 1922 : Charles Reibel, ministre des Régions libérées, entreprend les démarches nécessaires pour restaurer certains édifices[18],[19],[20],[21].
La nécropole juive de Gundershoffen compte 966 tombes datées de 1815 à nos jours. Elle comprend deux parties :
- dans l'ancien cimetière, il a été dénombré 783 tombes[22],
- et 183 tombes, à fin 2021, dans l'espace du nouveau cimetière en contrebas, à partir de 1924.
Il s'agit d'un cimetière centralisateur pour une zone allant de Bitche (Moselle) à Gundershoffen (Bas-Rhin). On y relève une dizaine de communes d'où les défunts sont originaires.
Les présidents de la commission de gestion du cimetière israélite :
- Robert Lévy jusqu’en 1985,
- Georges Madenberg jusqu’en 1999,
- Claude Kahn jusqu’en 2015,
- Michel Cahen et Raymond Lévy.
Avec le soutien des conseils départementaux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, les Consistoires israélites du Haut-Rhin et du Bas-Rhin ont mis en place un réseau de "veilleurs de mémoire" avec le concours des habitants proches des cimetières[23]. Depuis 2020, Valérie et Andres Lopez ont été nommés Veilleurs de Mémoire pour la nécropole par la Collectivité européenne d'Alsace[15].
La cérémonie commémorative du 16 mars 2025 au cimetière israélite de Gundershoffen, qui a réuni plus d'une centaine de personnes et de personnalités, a été dédiée à la mémoire des morts pour la France et des Déportés[24],[25], mais aussi en mémoire des « Justes alsaciens qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs »[26],[27] :
- Raymonde Weiss (1923-1997), épouse Lévy, née le 9 avril 1923 à Gundershoffen. Réfugiée en Dordogne[29]
- Elle a été admise parmi les 4281 Justes parmi les nations de France[30] pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy[31].
- Cette distinction a été offerte par la famille Lévy à la ville de Gundershoffen et le diplôme se trouve à la mairie au pied de l’escalier d’honneur (Source : Victor Vogt, maire de Gundershoffen).
- Urbain Haag, (1893-1962), de Strasbourg, policier, entré dans la police d’État de Strasbourg en 1919 en tant que gardien de la paix.
- Nommé brigadier-chef en mai 1940. Il quitte l’Alsace pour combattre dans les rangs de l’armée française (Article DNA .de Denis Tricard Strasbourg / hommage de l’État d’Israël « Juste une médaille pour un Juste »). Année de nomination : 2005. Dossier n° 10240[32],
- Son nom est cité à l'occasion de la commémoration du 80e anniversaire de la libération, le 16-03-2025, pour souligner la présence de son petit-fils Patrick Scheibel, de Reichshoffen, membre actif de la SHARE (Société d’Histoire et d’Archéologie de Reichshoffen et Environs),
- * Robert Bengel, né à Seltz le 17-09-1905, vicaire à la paroisse de Niederbronn-les-Bains,
- Ordonné prêtre à Strasbourg le 16-07-1930. Vicaire à Niederbronn le 10-10-1930, où il fonde la JOC Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC]. (Sources : archives diocésaines de Strasbourg-Remerciements à Jean Louis archiviste).
- En 1936, Il devient aumônier à l’École Normale Catholique Publique d’Instituteurs du Bas-Rhin à Obernai[33]. Reconnu comme Juste parmi les Nations par Yad Vashem, à titre posthume, le . Médaille de la Résistance (Source : Vagues d’Espérance – Croyanrts en Alsace, décembre 2004),
- * Une nounou d'enfants juifs à Paris.
- Elle était originaire de Gundershoffen[34],
- * La congrégation des Sœurs du Très Saint-Sauveur de Niederbronn-les-Bains[35],[36].
- Fondée en 1849 sous l’impulsion d’Élisabeth Eppinger en religion Mère Alphonse-Marie et du curé de Niederbronn-les-Bains, la Congrégation des Sœurs du Très Saint Sauveur, dont est issue la Fondation Saint Sauveur, se donne comme mission de répondre aux besoins des pauvres, des malades, des enfants abandonnés et des nécessiteux de toutes sortes[37],[38],[39],[40],[41]:
- * Sœur Marie-Rosa. Avec deux autres sœurs de la congrégation, un dispensaire à Saales.
- Devenue passeur, elle assiste de nombreux réfractaires, notamment des jeunes alsaciens qui fuient l’incorporation de force, allant même jusqu’à leur infliger de fausses maladies pour échapper à la Milice Française (source: Bertrand Merle in Almanach Ste Odile 2021 et 2025)
- Pendant la période d'annexion allemande de 1940 à 1944, la communauté des Sœurs de Niederbronn a fait preuve du plus pur patriotisme en sauvant des mains de l'ennemi de nombreux jeunes gens. Par l'action de Sœur Marie-Rosa, elle a réussi à mettre en place une véritable entreprise de passages clandestins, hébergeant les prisonniers évadés et les conduisant jusqu'à la frontière[42].
- * Sœur Marie Gilberte, née Anne Klein, est une sœur de la congrégation du Très Saint-Sauveur, née à Strasbourg le 22 janvier 1902.
- La jeune femme entre au couvent le 31 août 1921 à 19 ans puis est nommée infirmière à la clinique du Très Saint-Sauveur de Mulhouse en 1926, établissement dans lequel elle officie pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Dès octobre 1940, elle rejoint le Réseau Martial avec pour mission de cacher les opposants au nazisme et personnes recherchées, ce qu’elle fera avec brio en utilisant les possibilités de la clinique.
- Elle décède à Oberbronn le 21 octobre 1975. Médaille militaire à l’ordre de la congrégation[43].
- * Sœur Marie-Grégoire[44], née Marie-Thérèse Herr.
- Elle commence très jeune sa carrière d’infirmière à la clinique St Odile de Neudorf (aujourd’hui fondue dans la clinique Rhéna. Après divers postes en France, elle devient Supérieure de l’hôpital de Thaon-les-Vosges où elle se trouve lorsque la guerre éclate. Elle rentre en Résistance dès le début de l’occupation en fabriquant des faux papiers pour les évadés qu’elle hébergeait. Arrêtée par la Gestapo en 1942, elle est internée dans 8 prisons successives puis envoyée à Ravensbrück, dans le camp de femmes. Son courage et son abnégation au service des autres dans le camp lui valurent après la guerre la Croix de Guerre, puis la Légion d’Honneur. Parmi les personnes soignées dans le camp figurait Geneviève De Gaulle et un bébé né au camp qu’elle a sauvé d’une mort certaine. Elle décède en 1985 au couvent de Niederbronn à l’âge de 87 ans. (source : DNA du 29 oct. 1985). Arrêtée par la Gestapo en 1942, elle est internée dans 8 prisons successives puis envoyée à Ravensbrück, dans le camp de femmes. Son courage et son abnégation au service des autres dans le camp lui valurent la Croix de Guerre, puis la Légion d’Honneur. Parmi les personnes soignées dans le camp figurait Geneviève De Gaulle, nièce du Général[45] et un bébé né au camp qu’elle a sauvé d’une mort certaine. Elle décède en 1985 au couvent de Niederbronn à l’âge de 87 ans. Aujourd’hui le couvent de Niederbronn-les-Bains sert de maison de retraite aux personnes âgées.
- * Sœur Felixina, de nationalité allemande et native de Kaltbrunn.
- Elle est encore novice dans la congrégation des Sœurs du Très Saint Sauveur quand elle devient infirmière à l’hôpital de Karlsruhe. Elle est arrêtée le 10 août 1943 pour « propos défaitistes » et envoyée au camp de femmes de Ravensbrück[46] (n° matricule 25150) où elle soigne, avec Sœur Marie-Grégoire, de nombreuses déportées allemandes, juives, roms et de toutes nationalités, toutes opposantes au régime nazi. Sœur Félixina parviendra à survivre au camp (Source : article des Dernières Nouvelles d'Alsace (vers 1985).
- * La Révérende Mère Catherine et Sœur Paulaine.
- Elles ont activement participé à la Résistance dans le Gers. Elles ont évité à nombre de jeunes réfugiés alsaciens-lorrains l’incorporation de force dans l’armée allemande, et les ont encouragés à rejoindre la Résistance française locale. Elles ont caché des canons dans leur maison de Montferrand et abrité de nombreux évadés, opposants et républicains espagnols. Après la guerre, les deux sœurs poursuivent leur sacerdoce dans le Nord et la Lorraine. Elles ont toutes deux reçu la Croix de Guerre avec Palmes ainsi que la Légion d’honneur[47].
- Sœur Marie-Aurélie est la Supérieure de la maison d’Anderlecht, en Belgique[48].
- Après avoir recueilli 14 fillettes juives orphelines, elle les sauve de la Gestapo venue les arrêter, avec ses consœurs, le 20 mai 1943. Elle a reçu pour cela le titre de « Juste parmi les Nations », la plus haute récompense israélienne décernée à des non-Juifs qui ont risqué leur vie pour sauver des Juifs. Décédée en 1948, elle recevra sa nomination à titre posthume et pour toute la congrégation (source : archives du couvent d’Oberbronn – merci à l’archiviste sœur Christiane). Le couvent d’Oberbronn, Maison-Mère de la congrégation a servi d’hôpital pour diverses armées, françaises et allemandes, pendant toute la guerre. Les Sœurs y ont discrètement, mais activement, porté assistance à de nombreux Malgré-Nous, parmi lesquels plusieurs déserteurs de l’armée allemande[49].
Étude du site et maintenance
À partir de 2016, à l'initiative du Comité du cimetière, composé du Dr Michel Cahen et de Raymond Lévy[50], Jean-Pierre Kleitz de Cosswiller, spécialiste des cimetières et de la généalogie juifs a été appelé à dresser, après un nettoyage manuel, un inventaire détaillé comme il l’avait fait pour de nombreux autres cimetières juifs alsaciens. La traduction des stèles de l'hébreu et de l'allemand au français a, elle, été réalisée entre 2016 et 2019 par M. Yochoua Lilti, traducteur interprète de Strasbourg[51].
Les Amis des Sites Hébraïques des Environs de Reichshoffen et Niederbronn-les-Bains (ASHERN)
L'association ASHERN (Asher Levy de Reichshoffen a prêté son nom à l’association ASHERN) - les Amis des Sites Hébraïques des Environs de Reichshoffen et Niederbronn-les-Bains[52] a vu le jour en décembre 2017. Elle s'est alors engagée dans la poursuite du projet de conservation du cimetière israélite de Gundershoffen et d'Oberbronn[53].
Elle a mené à bien ces interventions en partenariat avec l'association ICE-RF - Institut Chrétien pour l'Europe - Réseau Français de Niederbronn-les-Bains[54], dès 2018, en faisant appel à des jeunes volontaires de différents pays d'Europe (Allemagne, Espagne, Lettonie, Italie, France,…) pour procéder à une nettoyage d’un grand nombre d’épitaphes.
- Cimetière israélite de Gundershoffen.
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Voir aussi
Bibliographie
- Cérémonie au cimetière juif, le 16 mars 2025, dans le cadre des festivités du 80e anniversaire de la libération.
- Juin 2019-Consistoire israélite du Bas-Rhin et communauté israélite de Strasbourg Entrée des archives du consistoire israélite du Bas-Rhin et de la communauté israélite de Strasbourg (1804-2018)
- Cimetières israélites d'Alsace et de Lorraine
- Le cimetière de Gundershoffen
- Sources documentaires et bibliographiques
- de Gundershoffen, sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux
- Cimetière de Gundershoffen
- La saison 2021 des Journées Européennes de la Culture Juive s’est déroulée le dimanche 5 septembre 2021 dans plus de 30 pays d’Europe
- Listes des Juifs nés ou ayant habité à Gundershoffen qui ont péri en déportation[55].
- La synagogue et le cimetière juif de Gundershoffen
- Revue de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Reichshoffen et Environs, n°42 Regards sur l’histoire, Société d’Histoire et d’Archéologie de Reichshoffen et Environs (SHARE), , 100 p.Le cimetière juif de Gundershoffen, par Raymond Lévy, pp. 87 à 95
- Le Guide culturel des Juifs d'Europe
- Itinéraire européen « Hébraïca : Vignes et patrimoine[56],[57].
- Journée portes ouvertes du patrimoine[58],[59].
- Les Justes parmi les nations de notre territoire, Sources documentaires fournies par Raymond Lévy.
- Enterrement juif (israélite)
- L’équipe de rédaction : René Bandol, Marie-louise Bastian, Charles Bauer, Maud Faucheux, Dany Hamman, Valérie Lopez, Claude Muckensturm, Jean-Paul Noé, Véronique Stepp, Claude Urban, et Théo Beck, Gundershoffen, Eberbach, Griesbach et ses hameaux. Le temps passe... les souvenirs restent, Strasbourg, Éditions Carré Blanc. Collection Mémoires de vie, 4e trimestre 2005, 224 p. (ISBN 2-84488-078-9)lire en ligne=Gundershoffen, Eberbach, Griesbach et ses hameaux. Le temps passe... les souvenirs restent : Chapitre VI-L'activité religieuse : La synagogue, pp.100-101
Articles connexes
- Histoire des Juifs en Alsace
- Site du judaïsme d’Alsace et de Lorraine
- Ancienne synagogue de Gundershoffen transformée en dispensaire, puis en logements[60],[61].
- Patrimoine juif d'Alsace
- Histoire des Juifs en Alsace
- Cimetière juif
- Concordat en Alsace-Moselle
Liens externes
- Culture et Patrimoine Juifs du 25/10/2021 : Gundershoffen – Consistoire Israélite du Bas-Rhin, Une émission proposée le 7 décembre 2021 par le Consistoire Israélite du Bas-Rhin En partenariat avec le Site internet du Judaïsme d’Alsace et de Lorraine.
- Le cimetière israélite.
- Organisation du cimetière juif de Gundershoffen
Notes et références
- ↑ Notice no IA67005083, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Gundershoffen Cimetière de juifs
- ↑ Consistoire israélite du Bas-Rhin
- ↑ Plan cadastral de Gundershoffen
- ↑ Le cadastre Cadastre napoléonien de Gundershoffen
- ↑ Le cimetière de Gundershoffen
- ↑ 80 ans après, Gundershoffen honore ses Justes et ses disparus
- ↑ ASHERN. Les Amis des Sites Hébraïques des Environs de Reichshoffen et Niederbronn-les-Bains
- ↑ Le cimetière israélite de Gundershoffen : Texte et photos : Raymond Lévy pour ASHERN]
- ↑ Le drone au service de la photographie
- ↑ Plan du cimetière juif
- ↑ Dépouillée de son caractère sacré
- ↑ Histoire des 16 synagogues dans le canton de Reichshoffen
- ↑ Principes et applications de la politique de Louis XIV à l'égard des Juifs d'Alsace
- ↑ La situation des juifs d'Alsace après la paix de Westphalie
- Le cimetière israélite de Gundershoffen
- ↑ Le dénombrement des Israélites d'Alsace (1784), par Gabriel Hemerdinger. Revue des études juives. Année 1901 42-84, pp. 253-264]
- ↑ Autour des registres de prise de nom des juifs : Dénombrement et recensements nominatifs des juifs dans les communes du Bas-Rhin au début du XIXe siècle
- ↑ Organiser la reconstruction et considérer les problématiques propres à ces régions libérées
- ↑ Dommages de guerre et reconstruction
- ↑ Guide des sources sur les dommages de guerre : destructions, réparations, indemnisations (XIXe-XXe siècles)
- ↑ Bulletin fédéral. Patrimoine juif : la synagogue de Thann, 18 septembre 2020 : Journée européenne du patrimoine juif
- ↑ Géographie : la "maison des mondes"
- ↑ « Des «veilleurs de mémoire» pour protéger les cimetières juifs d’Alsace », sur Le parisien,
- ↑ Déportés et internés politiques ou résistants
- ↑ Morts en Déportation
- ↑ Cérémonie à la mémoire des déportés de Gundershoffen, 16 mars 2025. Vidéo F Kahn
- ↑ Cérémonie commémorative, organisée au cimetière israélite par l'ASHERN et la mairie de Gendershoffen
- ↑ Sources et informations rassemblées par Raymond Lévy, détaillées lors de la cérémonie de commémoration du 16 mars 2025
- ↑ Raymonde Weiss
- ↑ Gundershoffen en 1939-1945
- ↑ Exposition : des Justes parmi les nations
- ↑ Urbain Haag
- ↑ Abbé Bengel
- ↑ Paris en 1939-1945
- ↑ Sources documentaires Sœur Christiane archiviste de la congrégation au couvent d’Oberbronn
- ↑ Oberbronn, un château, un livre d’histoire, un livre de vie…. En 1857, les descendants du Comte de Stralenheim vendront la propriété aux Sœurs du Très Saint Sauveur
- ↑ Congrégation fondée en 1849 sous l’impulsion d’Élisabeth Eppinger en religion Mère Alphonse-Marie, et du curé de Niederbronn-les-Bains
- ↑ Niederbronn-les-Bains en 1939-1945
- ↑ Sœurs de Niederbronn durant la Seconde Guerre mondiale
- ↑ Bertrand Merle in Almanach Sainte-Odile 2021-2025
- ↑ Almanach Sainte-Odile 2025
- ↑ Religieuses de l’Ordre du Très-Saint Sauveur dites Sœurs de Niederbron
- ↑ Remise du diplôme de la médaille de la Résistance française de sœur Marie-Gilberte à la congrégation des sœurs du Très Saint-Sauveur, communauté elle-même médaillée de la Résistance avec rosette en tant que collectivité civile
- ↑ La résistance au féminin
- ↑ Extraits du dossier d’homologation individuel de résistant conservé au Service historique de la Défense / CHA, Vincennes sous la cote GR 16 P 165201 et lettre à son oncle
- ↑ Ravensbrück, le principal camp de concentration pour femmes
- ↑ Sources : articles de la Croix du Nord et de la Croix de Lorraine
- ↑ « Action sauvetage d’enfants juifs. Le témoignage de Mère Marie-Aurélie. Le récit de Paul Halter », in Bulletin trimestriel de la Fondation Auschwitz, n°30, 1991, p. 57-69
- ↑ La résistance au couvent d’Oberbronn
- ↑ Culture et Patrimoine Juifs du 25/10/2021 : Gundershoffen – Consistoire Israélite du Bas-Rhin : le cimetière israélite de Gundershoffen
- ↑ l'établissement Yochoua Lilti
- ↑ Amis des Sites Hébraïques des environs de Reichshoffen et Niederbronn
- ↑ initiave chrétienne pour l’Europe ICE RF, 9 place du Bureau central, 67110, Niederbronne-les-Bains
- ↑ Initiative Chrétienne pour l'Europe. Réseau Francophone
- ↑ Personnes mortes en déportation. (1746 personnes relevées le 6/11/2021 dans le Bas-Rhin)
- ↑ Journées Européennes de la Culture et du Patrimoine Juifs en France. Portes ouvertes – circuits – expositions – conférences – concerts
- ↑ Itinéraire européen du patrimoine juif
- ↑ Journées Européennes de la Culture Juive 2021. Alsace et Territoire de Belfort. Revue de Presse : Gundershoffen, p.26
- ↑ En 2018, le Conseil de l’Europe compte 33 itinéraires culturels, avec des thèmes très variés illustrant la mémoire, l’histoire et le patrimoine européen, et qui contribuent à l’interprétation de la diversité de l’Europe d’aujourd’hui
- ↑ Ancienne synagogue
- ↑ Notice no IA67005086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue
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