Oreina pulchra

Chrysochloa pulchra

Oreina pulchra
Oreina pulchra.
33.9–28.4 Ma
2 collections
Classification Paleobiology Database
Règne Animalia
Embranchement Arthropoda
Sous-embr. Hexapoda
Classe Insecta
Sous-classe Pterygota
Infra-classe Neoptera
Ordre Coleoptera
Sous-ordre Polyphaga
Infra-ordre Cucujiformia
Super-famille Chrysomeloidea
Famille Chrysomelidae
Sous-famille Chrysomelinae
Tribu Chrysomelini
Genre Oreina

Espèce

 Oreina pulchra
(Förster, 1891)

Synonymes

  • Chrysochloa pulchra Förster, 1891

Oreina pulchra est une espèce fossile d'insectes coléoptères de la famille des Chrysomelidae.

Classification

L'espèce Oreina pulchra est décrite en 1891 par le paléontologue allemand Bruno Förster (1852-1924) sous le protonyme Chrysochloa pulchra[1],[2].

Ajout en 1937

En 1937 le paléontologue français Nicolas Théobald (1903-1981) ajoute un échantillon fossile de Kleinkembs et redécrit l'espèce[3],[2].

Fossiles

Selon Paleobiology Database en 2023, deux collections du Rupélien de l'Oligocène, d'il y a 33,9 à 28,4 Ma, sont référencées, une en France et l'autre en Allemagne[2] :

Description

Caractères

Diagnose de Nicolas Théobald en 1937[3],[note 1] :

« Un élytre droit vu par la face dorsale. L'échantillon en présente le moule interne.

Élytre large, légèrement bombé. Bord sutural droit ; bord marginal presque droit jusqu'au quart externe au delà duquel il s'arrondit vers le sommet ; scutellum petit, plus large que long ; bord antérieur à peine concave ; épaule arrondie ; épipleure très étroit ; surface marquée de quelques bosses faibles à l'avant ; ornementation en points creux irrégulièrement répartis. »[3].

Dimensions

La longueur de l'élytre est de 11,5 mm et la largeur de 6 mm[3].

Affinités

« Probablement identique à Chrysochloa pulchra Förster de Brunnstatt. mais ce dernier est de taille légèrement inférieure. Par ailleurs les caractères concordent. »[3].

Biologie

« Le g. Chrysochloa se rencontre en Europe. On les trouve dans les régions montagneuses le long des cours d'eau où ils vivent sur des plantes (Doronicum, Hieracium). »[3].

Galerie

Bibliographie

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • [1937] Nicolas Théobald, « Les insectes fossiles des terrains oligocènes de France 473 p., 17 fig., 7 cartes,13 tables, 29 planches hors texte », Bulletin Mensuel de la Société des Sciences de Nancy et Mémoires de la Société des sciences de Nancy, Imprimerie G. Thomas,‎ , p. 1-473 (ISSN 1155-1119 et 2263-6439, OCLC 786027547). .

Publication originale

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. La diagnose est faite en français. En botanique, la diagnose devait être en latin jusqu'en 2011 ; elle est depuis aussi autorisée en anglais.

Références

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