Châteauneuf-d'Entraunes
| Châteauneuf-d'Entraunes | |||||
| Vue du village depuis la route | |||||
Blason |
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| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | France | ||||
| Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
| Département | Alpes-Maritimes | ||||
| Arrondissement | Nice | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes Alpes d'Azur | ||||
| Maire Mandat |
Jocelyne Baruffa 2020-2026 |
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| Code postal | 06470 | ||||
| Code commune | 06040 | ||||
| Démographie | |||||
| Population municipale |
63 hab. (2022 ) | ||||
| Densité | 2,1 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 44° 07′ 45″ nord, 6° 49′ 58″ est | ||||
| Altitude | Min. 880 m Max. 2 813 m |
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| Superficie | 29,91 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Vence | ||||
| Législatives | Deuxième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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| Liens | |||||
| Site web | chateauneufdemain.fr | ||||
Châteauneuf-d’Entraunes est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
Village perché, installé sur un alpage de la rive gauche de la Haute vallée du Var.
La commune est comprise dans les limites du parc national du Mercantour. La limite du parc suit le Vallon de la Barlatte qui passe par les Gorges de Saucha Négra.
Le point culminant de la commune est la Cime de Pal qui culmine à 2 818 m. Le Mont Rougnous a une altitude de 2 673 m, la Cime de l'Aspre à 2 471 m. Le niveau minimum se trouve au pont de Panier sur le Var à 872 m.
Géologie et relief
La commune se compose de 2 949,04 hectares de forêts et milieux semi-naturels (100 %)[1].
Espaces naturels[2] :
- Trois espaces protégés hors Natura 2000 :
- Trois espaces protégés Natura 2000 :
Communes limitrophes
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 139 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Péone », sur la commune de Péone à 6 km à vol d'oiseau[16], est de 7,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 013,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 31 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,5 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Urbanisme
Typologie
Au , Châteauneuf-d'Entraunes est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[22] et hors attraction des villes[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (41,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,4 %), forêts (21,9 %)[25].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
Voies routières
- Routes départementales N 202 puis départementale 2202.
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Le réseau Lignes d'Azur[26].
- Train des Pignes : Gare du Sud – Nice / Digne, arrêt Entrevaux à (35 km)[27].
Toponymie
Peuplement et toponymie en Provence orientale et dans le pays niçois, par Marie-Louise Gourdon. Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie. Année 1997 25-2-4 pp. 151-163.
Histoire
Après la conquête romaine (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Châteauneuf-d’Entraunes dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[28].
Au XIIIe siècle est mentionné le castrum de Castro Novo. Le village est géré alors par des consuls. Avant 1388, le Val d'Entraunes dépendait de la viguerie de Barcelonnette. Pendant six mois de l'année les routes étaient impraticables entre le Val d'Entraunes et Barcelonnette. Quand les comtes de Savoie acquirent Barcelonnette, Châteauneuf-d'Entraunes fut rattaché à la viguerie de Puget-Théniers.
La seigneurie appartient d'abord aux Glandèves puis aux Grimaldi de Beuil à la fin du XIVe siècle.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Mais ce dernier, entre les mauvais souvenirs qu'il a laissé lors de sa tentative de conquête en 1368[29] et la confusion des premières années sur la réalité de la mort de Jeanne Ire[30], ne se rallie que peu de communautés. La communauté de Roure est conquise par le parti angevin au début de la guerre (avant 1385)[31].
Annibal Grimaldi (1557-1621), comte de Beuil, a une forte volonté d'indépendance par rapport aux ducs de Savoie. Il va jouer un jeu dangereux de bascule d'alliances avec le roi de France et le roi d'Espagne. Convaincu de trahison, il est condamné à mort par le Sénat de Nice le 2 janvier 1621. Encerclé dans son château de Tourrette par une armée de 9 000 hommes, celui-ci est livré sans combat par les défenseurs. Le comte meurt étranglé par deux esclaves turcs « après avoir ouï une messe » le 9 janvier 1621.
Le village rachète alors sa liberté et le privilège sous la suzeraineté de la Couronne.
Les comtes de Beuil ne payant pas d'impôts, le duc de Savoie demanda en 1645 au village de les payer depuis 1388. Le village n'étant pas assez riche pour payer, il est alors vendu à l'abbé Collet-Papachno. Le village fit alors une transaction avec le vendeur.
Le village fut éprouvé pendant les guerres de la Ligue en 1597.
À la fin de 1792, ce sont près de 1 200 barbets qui occupent le Val d'Entraunes. Ils y font du brigandage.
Politique et administration
Depuis le 1er janvier 2014, Châteauneuf-d'Entraunes fait partie de la communauté de communes des Alpes d'Azur. Elle était auparavant membre de la communauté de communes de Cians Var, jusqu'à la disparition de celle-ci lors de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale.
Budget et fiscalité 2023
En 2023, le budget de la commune était constitué ainsi[35] :
- total des produits de fonctionnement : 168 000 €, soit 2 681 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 104 000 €, soit 1 657 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 120 000 €, soit 1 898 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 183 000 €, soit 2 905 € par habitant ;
- endettement : 188 000 €, soit 2 989 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 19,71 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 23,19 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,07 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation[36].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2022, la commune comptait 63 habitants[Note 2], en évolution de +18,87 % par rapport à 2016 (Alpes-Maritimes : +2,85 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[41] :
- Écoles maternelles et primaires à Entraunes, Guillaumes, Saint-Étienne-de-Tinée, Entrevaux.
- Collèges à Saint-Étienne-de-Tinée.
- Lycées à Valdeblore.
Santé
Professionnels et établissements de santé[42] :
- médecin ;
- pharmacie ;
- hôpitaux à Puget-Théniers, Saint-Étienne-de-Tinée, Villars-sur-Var.
Cultes
- Culte catholique, paroisse Saint-Jean-Baptiste[43], Diocèse de Nice.
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
- Élevage d'ovins et de caprins.
- Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.
Tourisme
- Hébergements et restauration à Guillaumes, Valberg, Beuil, Auron.
Commerces
- Commerces et services de proximité[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
-
Place du village avec la fontaine et le four à pain.
-
L'église Saint-Nicolas.
-
Retable du Christ aux cinq plaies.
-
La chapelle Saint-Joseph.
-
Cime de Pal à partir du chemin menant à la cime de l'Aspre.
-
Le massif du Mercantour vu depuis le village, en premier plan les barres du Cougnet et de l'Aigle.
- L'église Saint-Nicolas avec un intérieur baroque du XVIIe siècle est située sur la motte de l'ancien château détruit après 1597. Le clocher carré a été ajouté en 1934.
- Patrimoine mobilier[45].
- * Elle possède le polyptyque des Cinq Plaies du Christ qu'on peut attribuer à François Bréa[46]. Une inscription rappelle que l'œuvre a été commandée par le notaire Ginesy dans les années 1550.
- * Elle possède aussi un tableau de la Vierge au Rosaire peint par Jean Maria d'Avignon en 1622[47].
- * autel, retable, 7 tableaux : le Christ aux cinq plaies, saint Martin, saint Nicolas de Bari, Christ de Pitié, saint Laurent, saint Etienne, le père éternel (maître-autel)[48].
- * autel retable du Rosaire, tableau : la Vierge du rosaire entouré de saint Michel et saint Blaise[49]
- * Tableau : Adoration du Sacré-Coeur, vue générale[50].
- * Tableau : Voeu de Louis XIII[51]
- * Ciboire[52].
- * livre de prières pour la bénédiction du saint sacrement[53]
- * croix de procession[54].
- * autel et retable des Ames du Purgatoire et son tableau : Saint Geniès, Saint François de Sales, Sainte Marguerite-Marie Alacocque intercédant pour les âmes du Purgatoire[55].
- * statue : Christ en croix[56].
- * statue : Vierge à l'Enfant[57].
- * tableau : Le Voeu de Louis XIII[58].
- * tableau et son cadre : Ecce Homo, tableau et son cadre : Mater Dolorosa[59].
- * chemin de croix de 14 stations en 14 tableaux[60].
- * ange porte-flambeau ou cérophéraire[61].
- * dôme processionnel[62].
- * statue : saint Nicolas[63].
- * statue : Vierge à l'Enfant[64].
- * canons d'autel (jeu complet)[65].
- * armoires de sacristie[66].
- * clôture de choeur : appui de communion[67]
- * 15 bancs de fidèles et 4 pupitres[68].
- * deux crécelles[69].
- * calice et patène[70],[71].
- * ostensoir[72].
- * encensoir[73].
- * navette à encens[74].
- La chapelle Saint-Joseph possède des peintures naïves[75].
- Chapelle Saint-Antoine de Châteauneuf-d'Entraunes.
- Chapelle Notre-Dame des Grâces de las Palus.
- Chapelle Saint-Jean-Baptiste des Tourrès.
- Chapelle Sainte-Anne des Tourrès.
- Chapelle Saint-Bernard de la Gardivole.
- Le hameau des Tourrès, médiéval, abandonné, garde les vestiges d'un château-donjon restauré.
- Les gorges et le moulin de la Barlatte[76] : les gorges ont été une frontière avec les états de Piémont-Savoie jusqu'en 1760. Les plus anciens écrits sur le moulin datent de 1672. Il a été en activité jusqu'en 1942.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
| Blason | D'argent au château d'azur posé sur un tertre de sinople mouvant de la pointe, sommé de deux écureuils affrontés de gueules tenant une ancre de marine du même[77]. |
|
|---|---|---|
| Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- André Payan-Passeron, La population du Haut-Var - étude démographique de 1896 à 1962, Diplôme d'études supérieures de géographie (octobre 1967) sous la direction du Professeur Jean Miège directeur du Laboratoire Raoul Blanchard de la Faculté des lettres et sciences humaines de Nice, 230 pages grand format dactylographiées et divisées en cinq chapitres : (1) Les communes agricoles (Entraunes, St Martin, Villeneuve, Châteauneuf, Sauze et Péone), (2) La population totale des six communes agricoles, (3) Guillaumes, (4) La station de Valberg en 1962-1967 et (5) La population totale du Haut-Var.
- Les objets classés des Alpes-Maritimes Châteauneuf-d'Entraunes.
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. I : Cantons de Menton à Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 1080 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Guillaumes : pp. 409 à 414 : Châteauneuf-d'Entraunes
- Châteauneuf-d'Entraunes en 1939-1945
- Châteauneuf-d'Entraunes, sur www.provence7.com/
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
- Entraunes - Partie « 4.Histoire » pour l'histoire du Val d'Entraunes et donc de Châteauneuf d'Entraunes.
- Val d'Entraunes
- Haut-Var
- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Liste des anciennes communes des Alpes-Maritimes
- Parc national du Mercantour
- Var (fleuve)
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Châteauneuf-d'Entraunes sur le site de l'Institut géographique national
- Parc du Mercantour : Châteauneuf-d'Entraunes
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
Notes et références
Notes
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ Localisation de la commune, géographie et occupation des sols
- ↑ Biodiversité
- ↑ Parc national, zone cœur
- ↑ Parc national, aire d'adhésion
- ↑ Collet De Sen
- ↑ Entraunes
- ↑ Le Mercantour SIC
- ↑ Le Mercantour ZPS
- ↑ Forêt de la Fracha - Montagne de l'Estrop
- ↑ Bassin de la Haute Tinée
- ↑ Massif de Chamoussillon - Bois de la Moulière - Devens d'Estenc
- ↑ allon de Jalorgues - Crête du Content
- ↑ Le Var et ses principaux affluents
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Châteauneuf-d'Entraunes et Péone », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Péone », sur la commune de Péone - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Péone », sur la commune de Péone - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- ↑ Insee, « Métadonnées de la commune ».
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ La Ligne Azur 790 Guillaumes-Nice
- ↑ Ligne du train des Pignes
- ↑ Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22.
- ↑ Geneviève Xhayet, Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix, in Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 405.
- ↑ Alain Venturini, Vérité refusée, vérité cachée : du sort de quelques nouvelles avant et pendant la Guerre d'Union d'Aix (1382- 1388), Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public. 24e congrès, Avignon, 1993. p. 183-185.
- ↑ G. Xhayet, op. cit., p. 416.
- ↑ Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
- ↑ [1], consulté le 20 juin 2014
- ↑ Mairie
- ↑ Les comptes de la commune
- ↑ Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Établissements d'enseignements
- ↑ Professionnels et établissements de santé
- ↑ Paroisse Paroisse Saint-Jean-Baptiste
- ↑ Toutes les entreprises de la commune et celles proches
- ↑ Église Saint-Nicolas
- ↑ Luc Thévenon, L'art du Moyen Âge dans les Alpes méridionales, p. 64, Éditions Serre, Nice, 1983 (ISBN 2-86410-047-9).
- ↑ Luc Thévenon, L'église paroissiale Saint-Nicolas à Châteauneuf-d'Entraunes, Archéam, no 9, 2002 Lire en ligne.
- ↑ « autel, retable, 7 tableaux : le Christ aux cinq plaies, saint Martin, saint Nicolas de Bari, Christ de Pitié, saint Laurent, saint Etienne, le père éternel (maître-autel) », notice no PM06001436, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « autel retable du Rosaire, tableau : la Vierge du rosaire entouré de saint Michel et saint Blaise », notice no PM06001437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Tableau : Adoration du Sacré-Coeur, vue générale », notice no OA006_20240600119, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- ↑ « Tableau : Vœu de Louis XIII », notice no OA006_20240600120, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- ↑ « Ciboire », notice no OA006_20240600121, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- ↑ « livre de prières pour la bénédiction du saint sacrement », notice no PM06000164, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « croix de procession », notice no PM06000165, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « autel et retable des Ames du Purgatoire et son tableau : Saint Geniès, Saint François de Sales, Sainte Marguerite-Marie Alacocque intercédant pour les âmes du Purgatoire », notice no PM06003369, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « statue : Christ en croix », notice no PM06003370, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM06003371, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « tableau : Le Voeu de Louis XIII », notice no PM06003329, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « tableau et son cadre : Ecce Homo, tableau et son cadre : Mater Dolorosa », notice no PM06003693, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « chemin de croix de 14 stations en 14 tableaux », notice no PM06003694, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « ange porte-flambeau ou cérophéraire », notice no PM06003695, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « dôme processionnel », notice no PM06003696, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « statue : saint Nicolas », notice no PM06003697, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM06003698, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « canons d'autel (jeu complet) », notice no PM06003699, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « armoires de sacristie », notice no PM06003700, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « clôture de choeur : appui de communion », notice no PM06003701, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « 15 bancs de fidèles et 4 pupitres », notice no PM06003702, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « deux crécelles », notice no PM06003703, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « calice et patène », notice no PM06003704, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « calice et patène », notice no PM06003705, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « ostensoir », notice no PM06003706, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « encensoir », notice no PM06003707, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « navette à encens », notice no PM06003708, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ 1-La Paroissiale d'Entraunes. 2-Les paroissiales secondaires. 3. Les chapelles , sur www.alpesazurpatrimoine.fr/
- ↑ Le Moulin de la Barlatte
- ↑ L'Armorial des Villes et des Villages de France
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