Caffiers

Caffiers

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité CC Pays d'Opale
Maire
Mandat
Pascal Gavois
2020-2026
Code postal 62132
Code commune 62191
Démographie
Gentilé Caffiérois
Population
municipale
726 hab. (2022 )
Densité 152 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 50′ 26″ nord, 1° 48′ 45″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 138 m
Superficie 4,77 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calais-2
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Caffiers
Géolocalisation sur la carte : France
Caffiers
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Caffiers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Caffiers
Liens
Site web communedecaffiers.fr

Caffiers est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Caffiérois. Sa population est de 726 habitants au recensement de 2022. La commune est membre de la communauté de communes Pays d'Opale. Le territoire de la commune se trouve en partie dans le bassin carrier de Marquise qui a la particularité de se situer au sein du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie

Localisation

Localisée dans le nord-ouest du département du Pas-de-Calais, Caffiers est une commune située, à vol d'oiseau, à 13 km au sud-ouest de la commune de Calais et à 25 km au nord-ouest de la commune d’Arras (chef-lieu d'arrondissement) et limitrophe à l'est de la commune de Guînes[1].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes. Les communes limitrophes sont Pihen-lès-Guînes, Fiennes, Landrethun-le-Nord, Ferques, Guînes et Hames-Boucres.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 4,77 km2 ; son altitude varie de 59 à 138 m[2].

Hydrographie

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie[3]. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[4],[Carte 1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licques à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 138,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Paysages

La commune s'inscrit à la jonction de deux paysages régionaux tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[11] :

  • les « paysages boulonnais » qui concernent 66 communes, se délimitent : au nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’est, par le paysage du Haut pays d'Artois, et au sud, par les paysages Montreuillois[12].
Ces paysages, constitués d'une boutonnière bordée d'une cuesta définissant un pays d'enclosure, sont essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l'est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d'Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle[12].
La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d'Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d'escarpements calcaires[12].
Dans ces paysages, on distingue trois entités :
    • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
    • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
    • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[12] ;
  • les « paysages des coteaux calaisiens et du pays de Licques » concernent 56 communes du Pas-de-Calais. Ces paysages s'étendent sur environ 30 km de long (est-ouest) et 15 km de large (nord-sud) et présentent deux sous-ensembles : les coteaux calaisiens au nord et le pays de Licques au sud. Les altitudes de ces paysages varient de 206 m dans le Pays de Licques, à 120 m dans l’ouest des coteaux Calaisiens, près de Guînes, et à 10 m dans l'est, près d'Audruicq[13].
Ces paysages recouvrent trois entités écopaysagères : les collines guînoises qui constituent le rebord septentrional de l'Artois, l'entité de Bredenarde qui appartient à la plaine maritime flamande, et la cuvette de Licques. Ils sont constitués de 59,70 % de cultures, de 17,30 % de forêts, de 15,11 % de prairies naturelles, permanentes, de 7,45 % d'espaces artificialisés, avec les quatre principales communes que sont Audruicq, Ardres, Guînes et Licques, de 0,27 % d'industries, et de 0,18 % de cours d'eau et plan d'eau[13].
Les éléments structurants de ces paysages sont la LGV Nord et l'A26, la rivière la Hem qui coule du sud vers le nord-est, les escarpements sur les coteaux du Calaisis et autour du pays de Licques et, d'ouest en est, les différents boisements comme la forêt de Guînes, le bois de l'Abbaye, la forêt de Tournehem et une partie de la forêt d'Éperlecques[13].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d'une superficie de 132 499 ha réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 4] :

et une ZNIEFF de type 2[Note 5] : la boutonnière de pays de Licques. Cette ZNIEFF, de 17 830 ha, s'étend sur 43 communes[18].

Inventaire national du patrimoine géologique

Sur le territoire communal se trouve le site des faunes givétiennes des carrières du Banc Noir et du Griset. Il est inscrit à l'inventaire national du patrimoine géologique. Ces carrières sont exploitées pour la fabrication de granulats et d'enrochements, la carrière du Griset est encore en exploitation[19].

Urbanisme

Typologie

Au , Caffiers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[21]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), prairies (21,1 %), zones urbanisées (5,4 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %)[24]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Voies de communication et transports

Voies de communication

La commune est desservie par les routes départementales D 231 et D 250 et se trouve à proximité (9 km) de la sortie no 37 de l'autoroute A16 reliant L'Isle-Adam à la frontière belge[25].

Transport ferroviaire

Sur la commune se trouve la gare de Caffiers, située sur la ligne de Boulogne-Ville à Calais-Maritime, desservie par des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France.

Toponymie

Histoire

Formes successives du nom attestées pour la localité[26],[2]


  • Catfers, 1107 (chronic. Andr., p. 383)
  • Katfers, 1119 (mém. Soc. acad. de Boul., t. XII, p. 55)
  • Cadfeix, 1137 (ch. de Beaulieu, p. 383)
  • Catefiers, 1157 (mém. Soc. acad. de Boul., t. XII, p. 60)
  • Catphis (De, 1164 (ch. de Licques, p. 42)
  • Catfiers, 1179 (cart. de Thér., p. 50)
  • Cafier, 1213 (ch. de Licques, p. 69)
  • Caffiés, 1286 (terr. de Beaulieu)
  • Caffers, Caffyers, 1556 (terr. angl. du Calaisis, fos 46 et 94)
  • Caphyers, 1556 (plan angl.)
  • Caffiers, depuis 1801

Étymologie

Du picard *cat fier « chat sauvage »[27].

Histoire

Bassin minier du Boulonnais

La commune se situe dans l'ancien bassin minier du Boulonnais où la houille est exploitée entre 1692 et 1950, soit durant plus de deux siècles.

Première Guerre mondiale

Pendant la Première Guerre mondiale, Guînes est le siège en 1917-1918 d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Caffiers en dépend et a à ce titre accueilli des troupes sur la commune[28].

Politique et administration

Découpage territorial

La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer, du département du Pas-de-Calais, de 1801 à 1961, puis, depuis 1962, à l'arrondissement de Calais[2].

Commune et intercommunalités

La commune est membre de la communauté de communes Pays d'Opale qui regroupe 23 communes et compte 25 186 habitants en 2021.

Circonscriptions administratives

La commune est rattachée au canton de Guînes, de 1801[2] à 2014, puis, depuis 2015, au canton de Calais-2.

Circonscriptions électorales

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Raymonde Langelin   Artisan
mars 2008 En cours
(au 3 février 2022)
Pascal Gavois   Artisan
Réélu pour le mandat 2014-2020[29],[30]
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32],[33]

Équipements et services publics

Enseignement

En 2009, l'école le Pré-Vert a été réalisée en démarche HQE (2 classes)[34].

Justice, sécurité, secours et défense

La commune dépend du tribunal de proximité de Calais, du conseil de prud'hommes de Calais, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[35].

Population et société

Démographie

Les habitants de la commune sont appelés les Caffiérois[36].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

En 2022, la commune comptait 726 habitants[Note 7], en évolution de −4,22 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
278276279291334363387395417
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
403430455452449466403368349
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
344359377459454439492459491
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
541524557562586623623630708
2014 2019 2022 - - - - - -
749732726------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 353 hommes pour 388 femmes, soit un taux de 52,36 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
8,6 
7,7 
75-89 ans
14,8 
15,7 
60-74 ans
13,8 
16,6 
45-59 ans
13,6 
17,8 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
9,1 
21,8 
0-14 ans
20,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

Bassin carrier de Marquise

La commune est située dans le bassin carrier de Marquise. Ce bassin carrier est exploité, en 2025, par quatre entreprises : la société des carrières du Boulonnais créée en 1896 (granulats), la société des carrières de la Vallée Heureuse, créée en 1842 (granulats calcaire et pierre et marbre de marquise), la société des carrières de Stinkal (sables et de granulats) et la société magnésie et dolomie de France (pierres ornementales et de construction, de calcaire industriel, de gypse, de craie et d'ardoise). La société des carrières Randon (calcaire industriel, de gypse et de craie) a cessé d'exister en 1996. La production annuelle du site est de dix millions de tonnes de granulats et de 57 millions de m3 de materiaux stériles[42].

Ce site qui s'étend sur 2 500 hectares, concerne neuf communes : Caffiers, Ferques, Fiennes, Landrethun-le-Nord, Leubringhen, Leulinghen-Bernes, Marquise, Rety, et Rinxent. Il a la particularité de se trouver au sein du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[42].

En 1994, pour une durée de vingt ans, un « plan de paysage de bassin carrier de Marquise » est signé entre les sociétés exploitant les carrières, les neuf communes concernées, le parc naturel régional et les pouvoirs publics. L'objectif de ce plan est que le bassin carrier ait « les mêmes allures et pentes que les collines naturelles du Boulonnais et une base boisée avec des essences locales. Leur sommet restant en landes, milieu à la biodiversité exceptionnelle ». En 2014, un plan réactualisé est de nouveau signé par les différents acteurs pour une durée de 30 ans[43],[44].

C'est dans ce bassin carrier qu'est extrait le « marbre Lunel » pour la restauration du sol de la cathédrale Notre-Dame de Paris à la suite de l'incendie[45].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason
D'or au lion contourné de sable sur une terrasse du même[48].
Détails
Ces armes auraient figuré sur l'ancienne cloche de l'église, fondue en 1619 (puis refondue en 1849), dont Bernard de Costé, fondateur de l'église et lieu, était le parrain.

Adopté par la municipalité le 13 février 1990.

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  8. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Caffiers » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, sur le site Géoportail (consulté le ).
  2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Caffiers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Caffiers et Licques », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des coteaux calaisiens et du pays de Licques », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013720 - La forêt domaniale de Guînes et ses lisières », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310013293 - Bois de Fiennes, bois de Beaulieu et carrière de la Parisienne », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF 310013274 - La Boutonnière de Pays de Licques », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  30. Dominique Salomez, « Rythmes scolaires : la maire de Fiennes dit stop, le maire de Caffiers y réfléchit : La commune de Fiennes avait été parmi les précurseurs en mettant en application les rythmes scolaires dès la rentrée de 2013. Neuf mois plus tard, la municipalité raccroche. La maire Clotilde Roberval a décidé de mettre à l'ordre du jour du conseil municipal une délibération contre le renouvellement des rythmes scolaires. La maire de Caffiers y songe. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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