Bourgogne coulanges-la-vineuse

Bourgogne coulanges-la-vineuse
Désignation(s) Bourgogne coulanges-la-vineuse
Appellation(s) principale(s) bourgogne
Type d'appellation(s) dénomination au sein d'une AOC / AOP
Reconnue depuis 1993[1]
Pays France
Région parente vignoble de Bourgogne
Sous-région(s) vignoble de la Basse-Bourgogne
Localisation Yonne
Climat tempéré océanique à tendance continentale
Sol argilo-calcaire
Superficie plantée 131 hectares (en 2023)[2]
Cépages dominants pinot noir (pour les rouges et rosés) et chardonnay (pour les blancs)
Vins produits 82 % rouges, 13 % blancs et 5 % rosés
Production 7 724 hectolitres (en 2023)[2]
Pieds à l'hectare minimum 7 000 pieds par hectare[3]
Rendement moyen à l'hectare 61 hl/ha en rouge, 60 en blanc et 52 en rosé (en 2023)[2]

Le bourgogne-coulanges-la-vineuse[4] est un vin rouge, blanc ou rosé de Bourgogne[5]. Il s'agit d'une dénomination géographique au sein de l'appellation d'origine contrôlée bourgogne, située dans le département de l'Yonne (appelé aussi la Basse-Bourgogne ou plus récemment le Grand Auxerrois[6]), près de la ville d'Auxerre.

Le vignoble est réparti sur les communes de Charentenay, Coulanges-la-Vineuse, Escolives-Sainte-Camille, Jussy, Migé, Mouffy et Val-de-Mercy[3].

Il représente une superficie approximative de 140 hectares ces dernières années[2].

Histoire

Antiquité

L’édit de l'empereur romain Domitien, en 92 interdisait la plantation de nouvelles vignes hors d’Italie ; il fit arracher partiellement les vignes en Bourgogne afin d’éviter la concurrence. Mais Probus annula cet édit en 280[7].

Moyen Âge

Dès le début du VIe siècle, l’implantation du christianisme avait favorisé l’extension de la vigne par la création d’importants domaines rattachés aux abbayes. En l'an 1395, Philippe le Hardi décida d’améliorer la qualité des vins et interdit la culture du gamay au profit du pinot noir dans ses terres[8]. Enfin en 1416, Charles VI fixa par un édit les limites de production du vin de Bourgogne[9]. En 1477, à la mort de Charles le Téméraire, le vignoble de Bourgogne fut rattaché à la France, sous le règne de Louis XI.

Période moderne

Période contemporaine

XIXe siècle

Dans les décennies 1830-1840, la pyrale survint et attaqua les feuilles de la vigne. Elle fut suivie d'une maladie cryptogamique, l'oïdium[10]. Arrivèrent deux nouveaux fléaux de la vigne. Le premier fut le mildiou, autre maladie cryptogamique, le second le phylloxéra. Cet insecte térébrant venu d'Amérique mit très fortement à mal le vignoble bourguignon[10]. Après de longues recherches, on finit par découvrir que seul le greffage permettrait à la vigne de pousser en présence du phylloxéra.

XXe siècle

Le mildiou provoqua un désastre considérable en 1910. Apparition de l'enjambeur dans les années 1960-1970, qui remplace le cheval. Les techniques en viticulture et œnologie ont bien évolué depuis 50 ans (vendange en vert, table de triage, cuve en inox, pressoir électrique puis pneumatique etc.). Par le décret du , la « sous-région » (on utilise ensuite la notion de dénomination géographique) « coulanges-la-vineuse » est reconnue au sein de l'appellation bourgogne (on peut la rajouter à la suite : « bourgogne-coulanges-la-vineuse »)[11].

XXIe siècle

Avec la canicule de 2003, les vendanges débutèrent pour certains domaines cette année-là à la mi-août, soit avec un mois d'avance, des vendanges très précoces qui ne s'étaient pas vues depuis 1422 et 1865 d'après les archives[12]. Le cahier des charges de la dénomination est celui de l'appellation bourgogne, modifié dernièrement en octobre 2009[13], puis en novembre 2011[14] et en décembre 2023[3].

Vignoble

Images externes
Carte de l'aire de production du bourgogne coulanges-la-vineuse, indiquant les différents climats
Aire parcellaire de la dénomination

La production de cette dénomination est autorisée sur le territoire de sept communes : Charentenay, Coulanges-la-Vineuse, Escolives-Sainte-Camille, Jussy, Migé, Mouffy et Val-de-Mercy[3].

Le vignoble est situé au nord de la Bourgogne, à quelques kilomètres au sud d'Auxerre, sur la rive gauche de l'Yonne. Le vignoble est installé entre 155 m et 310 m d’altitude, sur les coteaux d’un paysage de petites vallées dessinées par l’érosion, bénéficiant d’un microclimat favorable avec une exposition vers le sud et le sud-est[15].

La superficie du vignoble est approximativement de 140 hectares ces dernières années, dont 120 ha de rouge, 15 ha de blanc et 5 ha de rosé. Il est une des cinq appellations spécifiques du vignoble auxerrois, avec l'irancy, le saint-bris, le bourgogne-côtes-d'auxerre et le bourgogne-chitry.

Géologie et orographie

Ce sont des sols argilo-calcaires : le sous-sol est constitué de formations calcaires, argileuses et marneuses du Kimméridgien[15].

Climatologie

Encépagement

Le cahier des charges étant commun à l'AOC bourgogne[3], une large gamme de cépages est autorisée. Dans la pratique, le pinot noir N[16] (et le césar N, accessoirement) est utilisé pour les vins rouges et rosés (aussi appelé clairet), et le chardonnay B pour les vins blancs[15].

Le pinot noir compose presque exclusivement les vins rouges et rosés de l'AOC (avec un peu de césar N). Il est constitué de petites grappes denses, en forme de cône de pin[17] composées de grains ovoïdes, de couleur bleu sombre[17]. C'est un cépage délicat, qui est sensible aux principales maladies et en particulier au mildiou, au rougeot parasitaire, à la pourriture grise (sur grappes et sur feuilles), et au cicadelles[18]. Ce cépage, qui nécessite des ébourgeonnages soignés, a tendance à produire un nombre important de grapillons[18]. Il profite pleinement du cycle végétatif pour mûrir en première époque. Le potentiel d'accumulation des sucres est élevé pour une acidité juste moyenne et parfois insuffisante à maturité. Les vins sont assez puissant, riches, colorés, de garde[19]. Ils sont moyennement tanniques en général.

Le chardonnay compose les vins blancs de l'AOC. Ses grappes sont relativement petites, cylindriques, moins denses que celles du pinot noir[20], constituées de grains irréguliers, assez petits, de couleur jaune doré[20]. De maturation de première époque comme le pinot noir, il s'accommode mieux d'une humidité de fin de saison avec une meilleure résistance à la pourriture s'il n'est pas en situation de forte vigueur. Il est sensible à l'oïdium et à la flavescence dorée. Il débourre un peu avant le pinot noir, ce qui le rend également sensible aux gelées printanières. Les teneurs en sucre des baies peuvent atteindre des niveaux élevés tout en conservant une acidité importante, ce qui permet d'obtenir des vins particulièrement bien équilibrés, puissants et amples, avec beaucoup de gras et de volume[18].

Méthodes culturales

Travail manuel

Ce travail commence par la taille, en « guyot simple », avec une baguette de cinq à huit yeux et un courson de un à trois yeux[21]. Le tirage des sarments suit la taille. Les sarments sont enlevés et peuvent être brûlés ou mis au milieu du rang pour être broyés. On passe ensuite aux réparations. Puis vient le pliage des baguettes. Éventuellement, après le pliage des baguettes, une plantation de nouvelles greffes est réalisée. L'ébourgeonnage peut débuter dès que la vigne a commencé à pousser. Cette méthode permet, en partie, de réguler les rendements[21]. Le relevage est pratiqué lorsque la vigne commence à avoir bien poussé. En général, deux à trois relevages sont pratiqués. La vendange en vert est pratiquée de plus en plus dans cette appellation. Cette opération est faite dans le but de réguler les rendements et surtout d'augmenter la qualité des raisins restants[21]. Pour finir avec le travail manuel à la vigne, se réalise l'étape importante des vendanges.

Travail mécanique

L'enjambeur est d'une aide précieuse. Les différents travaux se composent du broyage des sarments, réalisé lorsque les sarments sont tirés et mis au milieu du rang. De trou fait à la tarière, là où les pieds de vignes sont manquants, en vue de planter des greffes au printemps. De labourage ou griffage, réalisé dans le but d'aérer les sols et de supprimer des mauvaises herbes. De désherbage fait chimiquement pour tuer les mauvaises herbes. De plusieurs traitements des vignes, réalisés dans le but de les protéger contre certaines maladies cryptogamiques (mildiou, oïdium, pourriture grise, etc.) et certains insectes (eudémis et cochylis)[21]. De plusieurs rognages consistant à reciper ou couper les branches de vignes (rameaux) qui dépassent du système de palissage. Des vendanges mécaniques se réalisant avec une machine à vendanger ou une tête de récolte montée sur un enjambeur.

Rendements

Selon le cahier des charges[3] de l'appellation, le rendement maximum doit être de 66 hectolitres par hectare pour le vin blanc et de 58 pour le rouge et le rosé, pouvant monter jusqu'au rendement butoir fixé à 77 hl/ha pour le blanc et 67 hl/ha pour le rouge et le rosé.

Les rendements déclarés récemment sont[2], pour le rouge :

Année Superficie (ha) Production (hl) Rendement (hl/ha)
2020 122 3 980 33
2021 125 3 021 24
2022 109 5 656 52
2023 106 6 487 61
2024 119 2 827 24

pour le blanc :

Année Superficie (ha) Production (hl) Rendement (hl/ha)
2020 20 739 37
2021 19 375 20
2022 21 892 43
2023 21 1 238 60
2024 25 685 27

et pour le rosé (aussi appelé clairet) :

Année Superficie (ha) Production (hl) Rendement (hl/ha)
2020 7 245 37
2021 6 99 16
2022 8 363 48
2023 5 263 52
2024 2 62 25

Vins

Ces dernières années, la production de rouge a représenté 82 % du volume total de l'appellation, pour 15 % pour le vin blanc et 3 % pour le rosé (clairet)[2].

Titres alcoométriques volumique minimal et maximal

AOC Rouge Rouge Blanc Blanc Rosé Rosé
Titre alcoométrique volumique minimal maximal minimal maximal minimal maximal
Régionale[22] 10 % 13 % 10,5 % 13,5 % 10 % 13 %

Vinification et élevage

Voici les méthodes générales de vinification de cette appellation. Il existe cependant des petites différences de méthode entre les différents viticulteurs et négociants.

Vinification en rouge

La récolte des raisins se fait à maturité et de façon manuelle ou mécanique. La vendange manuelle est le plus souvent triée, soit à la vigne soit à la cave avec une table de tri, ce qui permet d'enlever les grappes pourries ou insuffisamment mûres[21]. La vendange manuelle est généralement éraflée puis mise en cuve. Une macération pré-fermentaire à froid est quelquefois pratiquée. La fermentation alcoolique peut démarrer, le plus souvent après un levurage. Commence alors le travail d'extraction des polyphénols (tanins, anthocyanes) et autres éléments qualitatifs du raisin (polysaccharides etc.)[21]. L'extraction se faisait par pigeage, opération qui consiste à enfoncer le chapeau de marc dans le jus en fermentation à l'aide d'un outil en bois ou aujourd'hui d'un robot pigeur hydraulique. Plus couramment, l'extraction est conduite par des remontages, opération qui consiste à pomper le jus depuis le bas de la cuve pour arroser le chapeau de marc et ainsi lessiver les composants qualitatifs du raisin. Les températures de fermentation alcoolique peuvent être plus ou moins élevées suivant les pratiques de chaque vinificateur avec une moyenne générale de 28 à 35 degrés au maximum de la fermentation[21]. La chaptalisation est réalisée si le degré naturel est insuffisant : cette pratique est réglementée[21]. À l'issue de la fermentation alcoolique suit l'opération de décuvage qui donne le vin de goutte et le vin de presse. La fermentation malolactique se déroule après mais est dépendante de la température. Le vin est soutiré et mis en fût ou cuve pour son élevage. L'élevage se poursuit pendant plusieurs mois (12 à 24 mois)[21] puis le vin est collé, filtré et mis en bouteilles.

Vinification en blanc

Comme pour le rouge, la récolte est manuelle ou mécanique et peut être triée. Les raisins sont ensuite transférés dans un pressoir pour le pressurage. Une fois le moût en cuve, le débourbage est pratiqué généralement après un enzymage. À ce stade, une stabulation préfermentaire à froid (environ 10 à 12 degrés pendant plusieurs jours) peut être recherchée pour favoriser l'extraction des arômes[21]. Mais le plus souvent, après 12 à 48 heures, le jus clair est soutiré et mis à fermenter[21]. La fermentation alcoolique se déroule avec un suivi tout particulier pour les températures qui doivent rester à peu près stables (18 à 24 degrés)[21]. La chaptalisation est aussi pratiquée pour augmenter le titre alcoométrique volumique si nécessaire. La fermentation malolactique est réalisée en fûts ou en cuves. Les vins sont élevés « sur lies », en fûts, dans lesquels le vinificateur réalise régulièrement un « bâtonnage », c'est-à-dire une remise en suspension des lies[21]. Cette opération dure pendant plusieurs mois au cours de l'élevage des blancs. À la fin, la filtration du vin est pratiquée pour rendre les vins plus limpides[21]. La mise en bouteille clôture l'opération.

Vinification en rosé

Récolte manuelle ou mécanique avec du pinot noir. Le raisin est parfois trié. Deux méthodes sont utilisées avec soit le pressurage (rosé de pressurage) soit une mise en cuve de la vendange pour un début de macération : c'est la saignée (rosé de saignée), effectuée avec le tirage du jus de la cuve[23]. La fermentation alcoolique se passe en cuve comme pour le blanc avec suivi de température, chaptalisation, etc. La fermentation malolactique suit. L'élevage se passe en cuve, parfois en fût). Enfin, le vin est filtré et mis en bouteille.

Dégustation

Les vins rouges ont une robe rouge cerise à rouge violine, avec des reflets rouge rubis. Le nez a des notes de cerise, de cassis, de pain grillé, avec des parfums de violette et de rose. La bouche a des tanins croquants, une finale saline et persistante sur des arômes de cassis, de framboise, de fraise des bois, parfois accompagnés par la réglisse et le poivre[15].

Les vins blancs ont une couleur jaune pâle soutenue à or jaune pâle, avec des reflets jaune argenté. Le nez dévoile un parfum de chèvrefeuille avec des notes iodées, de poire, de coing, de pêche, de miel, de brioche. La bouche montre des arômes de fruits exotiques avec une finale fraîche[15].

Les vins rosés révèlent une palette de roses tendres allant de bois de rose à corail en passant par framboise. Les arômes de petits fruits rouges dominent le nez quand la fraîcheur minérale prend des atouts de friandise en bouche, avec de la puissance pour un rosé[15].

Accords vins-mets

La finesse tannique du rouge s'associe avec des tapas salés mixant charcuterie fine, légumes marinés et poissons grillés. Il peut aussi s'accorder avec des pizzas à la viande, des recettes variées de pâtes aux tomates, des légumes sautés, des viandes blanches grillées aux herbes, ou le filet de bœuf rôti aux légumes. Les meilleurs vins peuvent accompagner un magret de canard sauce cerises noires, une épaule d’agneau en croûte de parmesan, un bœuf bourguignon, ainsi que différents fromages (brie, chaource, reblochon, salers, le saint-nectaire). Température de service : 14 à 16 °C. Garde de deux à cinq ans[15].

Le blanc accompagne les tapas salés et variés, les gougères au fromage, l'émincé d’andouille grillée, les crustacés grillés, les poissons rôtis, l'escalope de dinde à la crème, la blanquette de veau, la dorade au four, ou le risotto aux champignons, et aussi des fromages de chèvre cendrés, du comté, du beaufort et des tommes de montagne. Température de service : 11 à 12 °C. Garde d'un à trois ans[15].

Le rosé s'associe aux tapas bourguignons : gougères, jambon persillé, feuilletés d’andouillette. Température de service : 8 à 10 °C. Garde d'une année[15].

Économie

Structure des exploitations

Il existe des domaines de tailles différentes. Ces domaines mettent tout ou une partie de leurs propres vins en bouteilles et s'occupent aussi de le vendre. Les autres, ainsi que ceux qui ne vendent pas tous leurs vins en bouteilles, les vendent aux maisons de négoce.

Les maisons de négoce achètent leurs vins, en général, en vin fait (vin fini) mais parfois en raisin ou en moût[24]. Elles achètent aux domaines et passent par un courtier en vin qui sert d'intermédiaire moyennant une commission de l'ordre de 2 % à la charge de l'acheteur.

Les caves coopératives et leurs apporteurs sont des vignerons. Ces derniers peuvent leur amener leurs récoltes, ou bien la cave coopérative vendange elle-même (machine à vendanger en général).

Production, commercialisation

Les volumes de production sont de 3 900 hectolitres de vins rouges, de 230 hectolitres de rosés et de 600 hectolitres de vins blancs[1]. La commercialisation de cette appellation se fait par divers canaux de vente : dans les caveaux du viticulteur, dans les salons des vins (vignerons indépendants, etc.), dans les foires gastronomiques, par exportation, dans les Cafés-Hôtels-Restaurants (C.H.R), dans les grandes et moyennes surfaces (G.M.S).

Producteurs de l'appellation

Liste des producteurs de l'appellation[25] :

  • Domaine Christophe Auguste, 26 ha (Coulanges-la-Vineuse) ;
  • Caves Bailly-Lapierre (Saint-Bris-le-Vineux) ;
  • Domaine Jean-Marc Bon, 14 ha (Migé) ;
  • Domaine Borgnat, 17 ha (Escolives-Sainte-Camille) ;
  • Domaine Château du Val de Mercy (Chitry) ;
  • Domaine Clément (Jussy) ;
  • Domaine du Clos du Roi, 13,5 ha (Coulanges-la-Vineuse) ;
  • Domaine Herouart (Coulanges-La-Vineuse) ;
  • Domaine Houblin-Vernin, 9 ha (Mige) ;
  • Domaine Lemoule, 17 ha (Coulanges-la-Vineuse) ;
  • Domaine Martin, 15 ha (Coulanges-la-Vineuse) ;
  • Domaine Maltoff, 14 ha (Coulanges-la-Vineuse) ;
  • Domaine Jean-René Nudant (Ladoix-Serrigny) ;
  • Domaine Alain Rigoutat, 12 ha (Jussy).

Notes et références

  1. Site du BIVB : Page sur Bourgogne coulanges-la-vineuse
  2. « Portail de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects : superficies et volumes en production par produit », sur douane.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « Bourgogne » », homologué par l'arrêté du publié au JORF du et au BO Agri du .
  4. Le nom d'un vin est un nom commun, donc ne prend pas une majuscule, cf. les références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine.
  5. « Bourgogne Coulanges-la-Vineuse », sur vins-bourgogne.fr.
  6. « Chablis et Grand Auxerrois, une grande variété de vins blancs et rouges - Vins de Bourgogne », sur www.vins-bourgogne.fr (consulté le ).
  7. Henri Cannard : AOC Mercurey, Le vignoble d'hier, p. 27.
  8. Le Figaro et La Revue du vin de France (2008) : Vins de France et du monde (Bourgogne : Chablis), L'histoire, p. 26.
  9. Site du BIVB : Historique, consulté le 24 novembre 2008.
  10. Le Figaro et La Revue du vin de France (2008) : Vins de France et du monde (Bourgogne : Côte de Beaune), L'histoire, p. 26.
  11. « Décret n° 93-499 du 26 mars 1993 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Bourgogne » », publié au JORF no 73 du .
  12. La Revue du vin de France no 482S : Le Millésime 2003 en Bourgogne, p. 109
  13. « Décret n° 2009-1252 du 16 octobre 2009 » relatif aux appellations d'origine contrôlées « Bourgogne », « Bourgogne grand ordinaire », « Bourgogne ordinaire », « Bourgogne Passe-tout-grains » et « Bourgogne aligoté », publié au JORF no 0242 du .
  14. « Décret no 2011-1615 du  », publié au JORF no 0272 du .
  15. « Bourgogne Coulanges-la-Vineuse - Vins de Bourgogne », sur www.vins-bourgogne.fr (consulté le )
  16. Le code international d'écriture des cépages mentionne de signaler la couleur du raisin : B = blanc, N = noir, Rs = rose, G = gris.
  17. Christian Pessey, Vins de Bourgogne, La vigne et le vin « Pinot noir », p. 12
  18. Catalogue des variétés et clones de vigne cultivés en France ENTAV, Éditeur
  19. Christian Pessey, Vins de Bourgogne, La vigne et le vin « Pinot noir », p. 13
  20. Christian Pessey, Vins de Bourgogne, La vigne et le vin « Chardonnay », p. 13
  21. Conduite et gestion de l'exploitation agricole, cours de viticulture du lycée viticole de Beaune (1999-2001). Baccalauréat professionnel option viticulture-œnologie.
  22. Site de l'INAO (page : Produits : Liste des AOC), consulté le 29 août 2008.
  23. Conduite et gestion de l'exploitation agricole, cours d'œnologie du lycée viticole de Beaune (1999-2001). Baccalauréat professionnel option viticulture-œnologie.
  24. Le Figaro et La Revue du Vin de France (2008) : Vins de France et du monde, Bourgogne : Côte de Beaune, (Le négoce), p. 24.
  25. « Liste des vignerons produisant l'appellation Bourgogne Coulanges-la-Vineuse - Vins de Bourgogne », sur www.vins-bourgogne.fr (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

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