Blanche Odin

Blanche Odin
Blanche Odin à l'occasion de son 1er prix à l'UFPS, La Vie Heureuse, 1907. Fonds René Laruelle, Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France.
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Blanche Augustine Odin
Nationalité
Activités
Période d'activité
1888-1946
Mère
Anne Louise Odin
Autres informations
Maîtres
Genres artistiques
Peinture de fleurs (d), paysage
Distinction

Blanche Odin, née le à Troyes (Aube) et morte le à Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), est une aquarelliste française.

Biographie

Enfance et jeunesse

Blanche Augustine Odin est née le à Troyes de Louise Anne Odin, corsetière, et de père officiellement inconnu[1]. Elle signera cependant ses premières œuvres, jusqu'en 1900, du nom de Prot ou Prot-Odin, en référence à son père putatif[2]. En 1876, elle s’installe à Maubourguet avec sa mère qui va régulièrement en cure à Bagnères-de-Bigorre[3]. Dans les années 1870, elle habite Paris, y est pensionnaire au couvent des Ursulines, où elle prend goût au dessin et à l'aquarelle[4]. Elle se rend pour les vacances dans les Hautes-Pyrénées[5].

Formation et influences

Elle décide vers l'âge de vingt ans de se consacrer à la peinture et devient élève avant 1888[2] de la peintre sur émail et porcelaine et aquarelliste Delphine de Cool, à une époque où l'école des beaux-arts reste encore fermée aux femmes. Elle habite alors 11 rue Férou à Paris (6e). Elle suit ensuite vers 1895[6] l'enseignement de l'aquarelliste Madeleine Lemaire, et également celui d'Ulpiano Checa, qu'elle rencontre à Bagnères-de-Bigorre à l'occasion des cures de sa mère[7]. Elle est influencée par la technique de Paul Sandby, John Robert Cozens, Giritin, Turner, John Constable. L'école anglaise a une influence sur sa pratique de l'aquarelle[8].

Carrière

Elle expose ses œuvres dans de nombreux salons : expositions de la Société des amis des arts à Versailles, Salon des artistes français[9] de 1888 à 1946[10] (elle est sociétaire en 1901[9]), salon de l'Union des femmes peintres et sculpteurs, expositions de la Société Nationale d'Horticulture[11], etc. ainsi qu'en province.

Elle réalise le portrait de sa mère en juillet 1895[8].

En 1900, ses œuvres sont acceptées à l'Exposition universelle. Elle est récompensée du 2e prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs en 1904 et du 1er prix en 1907[12], et obtient au Salon une mention honorable en 1907 puis une médaille de troisième classe en 1908[9]. En 1909, elle est nommée officier de l'Instruction Publique.

Elle réalise de nombreuses œuvres de commande[réf. nécessaire], en particulier des représentations de bouquets de roses. À partir de 1902, elle ouvre à Paris un atelier d'aquarelle, au 21, rue du Vieux-Colombier, qui connaît un grand succès[13]. Elle écrit dans une lettre, le  : « Moi, je vais très bien et j’ai tout le travail que je désire. Mes élèves, nombreuses, sont très gentilles et me le montrent de toute façon ; je les aime donc bien et, malgré le peu de temps qu’elles me laissent, je serais privée si je ne les avais plus »[3].

Elle est reconnue avec ses aquarelles vives comme une virtuose du détail et de la couleur par la critique de l'époque : « Sous son pinceau, qui a à la fois de la grâce et de la virilité, les fleurs, dans leur infinie variété s'épanouissent avec autant de généreux éclats que de saveur. Elles sont, telles qu'elles sont présentées, un enchantement pour le regard, qui va des unes aux autres, sans arriver à se fixer ici ou là »[14]. Elle peint, dit encore la critique, « avec une sorte de religiosité »[6].

En 1900, elle illustre de 69 aquarelles une édition de luxe des Contes blancs de Jules Lemaître[15],[16] ; en 1911, des reproductions de ses œuvres figurent dans Sur la pente sauvage de l'Arez (Nouvelles bretonnes) d'Yves Le Febvre[17].

Dès les années 1910[6], elle expose dans les galeries vers qui le marché de l'art se déplace, en particulier chez Georges Petit à l'occasion de plusieurs expositions particulières. La Première Guerre mondiale, qui entraine une forte réduction de l'activité des salons (à l'exception de celui de l'Union), ne freine ainsi pas sa production[18]. La presse relaie ses nombreuses expositions et de nombreux particuliers acquièrent ses œuvres[19].

En 1912, elle est présidente de section à l'Exposition des Arts de la Femme à Paris[20]; elle est élue la même année membre du Comité de l'Union des femmes peintres et sculpteurs[21].

Elle achète une maison en 1921 à Bagnères-de-Bigorre, où elle s'installe définitivement en 1934 avec sa mère[22], qui décédera en 1939. Son atelier se situe au 6, rue Gambetta.

En 1938, elle fait don de quarante-huit aquarelles à la ville de Bagnères, et la ville inaugure une salle "Blanche Odin" au musée Salies[23].

En 1941, une variété de roses reçoit son nom, en hommage à ses représentations multiples de cette fleur[24].

En 1949, elle est nommée chevalier de la Légion d'honneur au titre du ministère de l'Éducation nationale[25].

Elle meurt à Bagnères-de-Bigorre à l'âge de 92 ans[1].

Œuvre

Technique

La grande précision de son geste dans la reproduction des fleurs, mais aussi la maîtrise du « fondu » ou de la « buée » dans ses natures mortes sont précocement reconnues. Ainsi à la Société d'Horticulture en 1905 : « Mme Blanche Odin mérite une place à part par sa science merveilleuse du fondu et des reflets. Ses oranges et son carafon de cristal sur plateau de verre sont peut-être l'aquarelle la plus étourdissante de l'exposition »[26].

Elle développe une technique particulière pour ses aquarelles : elle place une feuille de papier Arches 640 grammes sur une peau de chamois. Ce procédé lui permet de maintenir l'humidité par l'arrière de la feuille, et ainsi de maintenir le cycle de l'eau pendant plusieurs jours[8]. Cette technique lui permet de lever des blancs plus longtemps en retardant le séchage du papier. C'est une des premières à utiliser la technique du cycle de l'eau, un siècle avant que cette technique ne soit théorisée par Jean Louis Morelle et Ewa Karpinska, au début du XXIe siècle[réf. souhaitée].

La flamboyance de ses couleurs, transmise par son maître Delphine de Cool, est remarquée précocement par la critique[27] ; mais selon Monique Pujo Monfran, c'est dans les années 1925 que se déploierait sa « palette vive » caractéristique de ses aquarelles les plus connues[8]. L'aquarelliste a souvent recours aux couleurs complémentaires afin de construire son œuvre, comme dans Bouquets de violettes et mimosas[28] ou encore dans Citrons et fleurs bleues.

Les fleurs, source d'inspiration

Sa première aquarelle est une peinture d'un bouton de rose rouge fermé[8] et elle se prend de passion pour la peinture de fleurs, roses, pivoines, marguerites, pensées, lys, etc. qu'elle représente le plus souvent en intérieur, sous forme de bouquet, dans des vases. Son œuvre révèle cependant d'autres sujets, naturalistes (dont des représentations d'animaux) et des portraits sur ivoire[8]. Une aquarelle représente l'appartement du vieux Colombier à Paris, là où elle résida jusqu'à la mort de son père.

Blanche Odin aime travailler d'après nature. En 1895, elle demande des roses à une amie : « Dans les boutons de roses que vous avez eu la bonté de m’envoyer, 2 ou 3 ont fleuri ; je les ai peints, mais j’en aurais bien voulu un peu plus. Si par extraordinaire, il y en avait encore, ayez l’amabilité de m’en envoyer mais seulement quelques-uns de « Marie Van Houtte », du « Rêve d’or » et de « Thé Safran » avec beaucoup de feuillage »[3].

Blanche Odin est une personne réservée mais dotée d'une riche vie intérieure[23]. Le cycle de vie et de mort et le souvenir exhalé par les fleurs la fascinent, elle écrit par exemple ces phrases qui rentrent en résonance avec son œuvre : « À cette exquise "chose", tout me ramène. Cet œillet rose de dimanche est devenu pâle comme la plus pâle rose et son parfum n'est plus qu'une réminiscence (...) L'œillet entre deux feuillets, le parfum et la nuance où iront-ils ? Ces autres fleurs, arrivées comme un frais sourire, je ne les jetterai pas non plus : elles iront dans la terre du jardin rejoindre d'autres pareils souvenirs qui furent de chères "pensées" et que j'ai aimées au-delà de leur fin (...) Elles ont, chacune, une chère histoire, un peu toujours la même, mais parce que, justement la même, le souvenir en sera gardé »[5].

Quelques œuvres

Dans les collections privées

  • Dahlias jaunes, aquarelle sur papier, Sbd, 55 × 75 cm (vente publique).
  • Roses blanches et myosotis, collection particulière.
  • Bouquet de roses, aquarelle, Sbd, 27 × 38 cm (vente publique).
  • Bouquet de dahlias, aquarelle, Sbd, 55 × 75 cm (vente publique).

Dans les collections publiques

  • Œillets rouges, vase Moustiers, musée Salies de Bagnères-de-Bigorre.
  • Capucines, musée Salies.
  • Vase de fleurs.
  • Roses rouges sur une tablette de marbre.
  • Jetée de roses sur l'eau.
  • Le Vieux Banc, musée Salies.
  • Vase et œillets, musée Salies.
  • Pepita, musée Salies.
  • L'Endimanchée de Campan, musée Salies.
  • Roses variées, musée Salies (dernière aquarelle achetée par l’État en 1928).

Expositions

  • 1888[10],[2] : deux miniatures (signées Blanche Prot-Odin)[1].
  • ...
  • 1908
  • 1910 : Le rouet et Nénuphars, aquarelles[29].
  • ...
  • 1946[10]
  • 1900
  • 1904 (2e prix de l'Union)
  • 1907 (1er prix de l'Union)
  • ...
  • 1916 : Roses rouges[30].
  • 1918[31]
  • ...

Expositions de la Société des amis des arts de Seine et Oise à Versailles

  • 1901 : Raisins, Capucines et faux ébéniers, Iris (aquarelles)[32].
  • 1903

Galeries parisiennes

  • 1910 à la Galerie Georges Petit[6],[35] : expositions particulières conjointes de Blanche Odin, de Louise Abbéma et de Pierre Waidmann.
  • 1918 à la Galerie Pont des Arts (60 aquarelles de fleurs, fruits et légumes)[18].
  • 1918 à la Galerie Brunner à l'exposition d'Art précieux[36].
  • 1919 à la Galerie Gautier : exposition Carl Oscar Borg, Marcel Feguide, Blanche Odin, Pierre Lacoste, Émile Appay[37].
  • 1920 à la Galerie Saint Honoré[38], avec plusieurs peintres spécialistes de la fleur réunis par Émile Chaperon.
  • 1922 à la Galerie Georges Petit, exposition Chabanian et Blanche Odin[39].
  • 1925 à la Galerie Georges Petit[40].
  • 1926 à la Galerie Georges Petit, les « Tout Petits » : Arsène Chabanian, Blanche Odin, Ludovic Janssen, Pietro de Francisco[41].
  • 1928 à la Galerie Georges Petit : exposition Lair, Blanche Odin, Marthe Moisset, Alfred Bergier[42].
  • 1930 à la Galerie Georges Petit : exposition Blanche Odin et Jeanne Thoinot[43].
  • 1931 à la Galerie Graat[44].

Expositions de la Société des aquarellistes

  • 1911 à la Galerie Georges Petit[45].
  • 1918[46]
  • 1919 à la Galerie Georges Petit.
  • 1923 à la Galerie Georges Petit[47].
  • 1926 à la Galerie Georges Petit[48].

Expositions en province et à l'étranger

Prix et distinctions

Prix et récompenses

  • 1894 : médaille de vermeil à l’exposition internationale du livre et des industries du papier[réf. souhaitée].
  • 1901 : mention honorable à l'exposition de la Société des Beaux-Arts de la Haute-Marne[50].
  • 1903 : première médaille (aquarelle) au salon de Toulon pour Dahlias et Cactus[54].
  • 1904 : mention honorable au Salon des artistes français[9].
  • 1904 : médaille d'argent à Nantes[52].
  • 1904 : médaille d’or à Argenteuil[3].
  • 1904 : 2e prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs.
  • 1907 : 1er prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs[55].
  • 1908 : médaille de troisième classe au Salon des artistes français[9].

Distinctions

Postérité

Elle fait partie de ces nombreuses femmes artistes qui ont mené une carrière professionnelle honorable - quoique à l'écart des courants artistiques modernes - à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, et en particulier les « fleuristes » Lucienne Bisson, Antoinette Chavagnat, Mathilde Delattre, Marie-Thérèse Dethan-Roullet, Eugénie Faux-Froidure, Jeanne Lauvernay-Petitjean, etc. qui se côtoyaient de salon en salon et qui étaient remarquées par la critique, bien que considérées comme développant un art féminin et donc « secondaire »[57]. En 1946, une de ses aquarelles se vend cependant 6 500 francs aux enchères[58]. Elle connaît une certaine notoriété dans les Hautes-Pyrénées. En 1952, Robert Mesuret ne la considère qu'en « imitatrice de Madeleine Lemaire »[59]. Dans les années 1990, une autre aquarelliste, Monique Pujo Monfran[5], passionnée par son œuvre, consacre plusieurs ouvrages à Blanche Odin, contribuant à sa redécouverte progressive.

Lieux baptisés en son hommage

Expositions rétrospectives

  • 2009 : Blanche Odin, la grande Dame de l’Aquarelle, Musée des Beaux-arts Salies, Bagnères-de-Bigorre.
  • 2011 : La Rencontre, Blanche Odin et Ulpiano Checa, Musée des Beaux-arts Salies, Bagnères-de-Bigorre.
  • 2015 : Blanche Odin - Claudia Toutain Dorbec, Fleurs recomposées, fleurs décomposées, Musée Massey, Tarbes.
  • 2017 : Hommage aux 60 ans de la mort de Blanche Odin, Musée des Beaux-Arts Salies, Bagnères-de-Bigorre.

Les aquarelles et dessins de Blanche Odin sont également exposées tous les deux ans (année paire) par le Musée des Beaux-Arts Salies de Bagnères-de-Bigorre.

Contrefaçons

À la suite de sa redécouverte et de l'augmentation de sa côte sur le marché de l'art, de nombreux faux circuleraient[60].

Notes et références

  1. Acte de naissance daté du 1er mars 1865 aux Archives départementales de l'Aube (actes de naissance 1865, vue 35). L'un des témoins sur l'acte de naissance, Jean Pascal Hippolyte Prot, greffier du tribunal de simple police de Troyes, père putatif, serait décédé en 1895. En août 1882, la mère de Blanche reconnait cette dernière comme sa fille naturelle, par acte dressé à Paris (4e).
  2. Catalogue du salon des artistes français 1888 sur Gallica.
  3. « Blanche Odin », sur Musées Occitanie (consulté le ).
  4. « Atelier aquarelle "Blanche Odin" », sur atelier-arts-pluned.wifeo.com (consulté le ).
  5. Monique Pujo-Monfran, Blanche Odin. Lumière d'aquarelle. Éditions du Plateau - Jean-Pierre Bru, Lannemezan, 1996.
  6. Gondy de Seinprez, Blanche Odin aquarelliste, La revue illustrée du 25 janvier 1910 sur Gallica.
  7. En 1910 au Salon, elle est dite uniquement élève de Mme de Cool.
  8. « Blanche Odin : Sa technique - Monique Pujo Monfran », sur Babelio (consulté le ).
  9. Dictionnaire Benezit sur OxfordArt Online.
  10. « Blanche Odin (19187) », sur musee-orsay.fr (consulté le ).
  11. Le Petit Parisien du 6 novembre 1909 sur Gallica.
  12. Catalogue du salon de l'Union des femmes peintres et sculpteurs, 1926.
  13. On compte parmi ses élèves exposant aux salons : Alice Louise Pauline Aubert, Mme Jean de Bermond d'Auriac, Mlle J. Boudier, Marie Jeanne Brenot, Zel Camps, Geneviève Marie Edmée Chochon, Simone Chollet, Mme Daval-Cariage, Geneviève Cornille, Berthe Duminy, Marie Lucienne Epron, Lily Arthur-Giry, Louise de Lagrandval, Marie Thérèse Lebègue, Marie L. M., Lydie Lombart, Yvonne Michelaud, Ysabel Minoggio-Roussel, Juliette Colombe Mireaux, Marguerite Isabelle Monod, Adrienne Montfort, Madeleine Pinat, Élisabeth Rasteraeff-Baptendier, Yvonne Solle, Louise Jeanne Stella-Samson, Germaine Mélanie Marie Tailleur, Renée Tailleur, Marie Taranne, Yrhen (Mlle Henry), Mlle Villevieille, Irène Vogtenberger, etc.
  14. Citation reproduite dans L'Avenir des Hautes-Pyrénées du 1er février 1925.
  15. Jules Lemaître et Blanche Odin (illustratrice), Les contes blancs, Durel, Paris, 1900.
  16. L'intermédiaire des bibliophiles, libraires, amateurs du 1er janvier 1901 sur Gallica.
  17. La Bretagne nouvelle, mars 1911.
  18. Excelsior du 11 février 1918 sur Gallica.
  19. Le Soleil du 18 février 1910 sur Retronews.
  20. Paris-Midi du 26 octobre 1912 sur Gallica.
  21. Bulletin officiel de l'Union des femmes peintres et sculpteurs, 1912, n° 6.
  22. Archives départementales des Hautes-Pyrénées, recensement de Bagnères-de-Bigorre, 1936.
  23. La Petite gazette du 1er janvier 1939 sur Gallica.
  24. L'Avenir des Hautes-Pyrénées du 30 novembre 1941 sur Retronews.
  25. Décret du 30 août 1949. Parrain : Gaston Manent, sénateur des Hautes-Pyrénées.
  26. Félix d'Anner dans L'Intransigeant du 21 mai 1905 sur Retronews.
  27. Le Journal des arts du 16 décembre 1911 sur Retronews.
  28. « Blanche Odin : "Bouquets de violettes et mimosas" », sur proantic.com (consulté le ).
  29. Catalogue du salon des artistes français 1910 sur Gallica.
  30. Paris : ancienne Gazette des étrangers du 16 avril 1916 sur Gallica.
  31. The New York Herald Paris du 20 mars 1918 sur Gallica.
  32. Catalogue de l'exposition des Amis des Arts de Seine et Oise 1901 sur Gallica.
  33. Le Petit Parisien du 21 mai 1921 sur Gallica.
  34. L'Action française du 29 octobre 1934 sur Gallica.
  35. La Chronique des arts et de la curiosité du 22 janvier 1910 sur Galica.
  36. L'action française du 19 novembre 1918 sur Gallica.
  37. Le Gaulois du 10 mai 1919 sur Gallica.
  38. La Liberté du 21 janvier 1920 sur Gallica.
  39. Le républicain des Hautes Pyrénées du 15 décembre 1922 sur Gallica.
  40. L'Avenir des Hautes-Pyrénées du 1er février 1825 sur Gallica.
  41. Le Bulletin de la vie artistique du 1er décembre 1926 sur Gallica.
  42. Le Figaro illustré du 20 décembre 1928 sur Gallica.
  43. Arts et Industrie du 1er janvier 1930 sur Gallica.
  44. L'Art vivant du 1er février 1931 sur Gallica.
  45. Le Mémorial des Vosges du 2 décembre 1901 sur Gallica.
  46. La Vérité du 17 février 1918 sur Retronews.
  47. La Française du 13 octobre 2023 sur Gallica.
  48. L'Action française du 6 octobre 1926 sur Gallica.
  49. Le Courrier républicain de l'arrondissement de Bagnières de Bigorre du 18 septembre 1827 sur Gallica.
  50. Le Petit Troyen du 9 septembre 1901 sur Gallica.
  51. Le Grand Echo du Nord de la France du 2 mai 1930 sur Gallica.
  52. Journal des artistes du 30 octobre 1904 sur Gallica.
  53. Oran spectacles du 7 juin 1930 sur Gallica.
  54. Journal des artistes du 13 décembre 1903 sur Gallica.
  55. L'Univers du 23 février 1907 sur Gallica.
  56. La République française du 6 février 1909 sur Retronews.
  57. Éric Ledru, « Une constellation de femmes artistes oubliées de la fin du 19è et de la première moitié du 20è siècle », .
  58. Arts du 18 octobre 1946 sur Gallica.
  59. Pyrénées du 1er octobre 1952 sur Gallica.
  60. « Une aquarelle et une ribambelle de faux », sur SudOuest.fr, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Gondy de Seinprez, Blanche Odin aquarelliste, Revue illustrée du 25 janvier 1910, p. 47-52.
  • Monique Pujo Monfran, Blanche Odin, Édition du Plateau, 1996.
  • Monique Pujo Monfran, Blanche Odin, Passion aquarelles, Éditions Equinoxe, 2001.
  • Monique Pujo Monfran, Blanche Odin, Lumière d'aquarelle, Éditions Equinoxe, 2005.
  • Bénédicte Magnin-Roggero, Blanche Odin, La collection du Musée Salies à Bagnères-de-Bigorre, 2006.
  • Blaisine Queruel et Bénédicte Magnin, Blanche Odin 1865-1957, lettres à un ami de 1888 à 1904, [DVD], Bagnères-de-Bigorre, Association Traverse, 2009.
  • Monique Pujo Monfran, Blanche Odin, Sa technique, Éditions Equinoxe, 2010.
  • Xavier Etcheandia et Bénédicte Magnin, Blanche Odin, Ulpiano Checa, la Rencontre, Ville de Bagnères-de-Bigorre, 2012, collection Musée des Beaux-arts Salies.
  • Blanche Odin (ouvrage réalisé à l'occasion des 60 ans de la mort de Blanche Odin), Ville de Bagnères-de-Bigorre, Édition des Contes Blancs, presses de l'imprimerie Escourbiac, 2017, collection Musée des Beaux-arts Salies.

Liens externes

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