Architecture Art déco à Tunis

Cet article recense les édifices rattachées à l'architecture Art déco à Tunis, en Tunisie.

Réalisations

Immeuble De Carlo (16, avenue de Paris)

Immeuble ENICAR (2, avenue de la Liberté)

L'immeuble est construit entre 1931 et 1933 par l'architecte René Audineau[1]. Sa tour-horloge est inspirée de la tour du pavillon des renseignements et du tourisme de l'Exposition internationale de la houille blanche de 1925, construite par Robert Mallet-Stevens[1].

Maison (place du Tribunal)

Immeuble Tabone (22, rue d'Algérie)

Immeuble (12, rue d'Égypte)

Immeuble Notarbartolo (96, rue Radhia-Haddad)

Poste du Belvédère (place Pasteur)

Maison Resplandy (3, rue de la Banque)

Immeuble Ritz (angle avenue de Paris et avenue Habib-Thameur)

Le bâtiment abritait jadis l'hôtel Ritz, devenu ensuite hôtel Ritza. Il date des années 1929-1930. Comme son voisin, l'immeuble ENICAR, il est l'œuvre de l'architecte René Audineau. L'édifice est un bel exemple du style paquebot, branche tardive de l'Art déco, qui emprunte à l'univers nautique ses attributs — cheminée, vigie, balustrade — et privilégie l'usage des lignes horizontales. La position de l'immeuble Ritz, à l'angle d'une parcelle triangulaire, évoque de fait la proue d'un navire[2].

Immeuble La Nationale (2, avenue de France)

Immeuble Le Colisée (avenue Habib-Bourguiba)

Immeubles de recasement (rue du Docteur Cassar)

Immeuble du petit Colisée (31, avenue de la Liberté)

Notes et références

Bibliographie

  • Charles Bilas (photogr. Thomas Bilanges), Tunis : l'orient de la modernité, Paris, Éditions de l'Éclat, coll. « Librairie de l'architecture et de la ville », , 319 p. (ISBN 978-2-84162-206-1, BNF 42163429).
  • Juliette Hueber (dir.) et Claudine Piaton (dir.), Tunis : architectures 1860-1960, Tunis, Éditions Elyzad, , 256 p. (ISBN 978-2-918371-08-3, BNF 42429486).
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