Agbotchébou
Le Agbotchébou autre fois exécuté dans le couvents de la divinité Sakpata est à la fois un rythme et une danse traditionnelle festive du plateau d'Abomey au fil des années du sud Bénin est devenu populaire.
Origine
L’Agbotchébou est un rythme rituel étroitement lié à la divinité Sakpata, considérée dans le panthéon vodoun comme le maître de la terre et le gardien des maladies éruptives telles que la variole et le rouget[1]. Agbotchébou est un mot d’origine fongbé, la langue la plus parlée dans le sud du Bénin. Littéralement, Agbotchébou signifie en français : « Mon bélier est perdu ». Ce mot est composé de trois éléments dont Agbo : signifie « bélier », Tché : signifie « mon » Bou : signifie « perdu ». Ainsi, Agbotchébou peut être traduit mot à mot par « Agbo-tché-bou », soit « Mon bélier est perdu»[2].
Description
Note et références
- ↑ « Vodoun Sakpata: Le dieu de la terre et de la bienfaisance au Bénin », sur La Nouvelle Tribune, (consulté le )
- ↑ La Rédaction, « Zoom sur l’artiste « Gbèdossou » de Tindji : Une étoile montante du rythme « Agbotchébou » », sur LE MATINAL, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Portail du Bénin
- Portail de la danse