ASTREDHOR

ASTREDHOR-Institut des professionnels du végétal

Logo depuis 2024

Création 1995
Forme juridique Association loi 1901
Siège social 44 rue d'Alésia 75682 Paris
 France
Président Francis Coudene
Activité Recherche appliquée en horticulture et paysage
Effectif 100
Site web https://www.astredhor.fr/ https://institut-du-vegetal.fr/

ASTREDHOR – Institut des professionnels du végétal, est une association créée en 1995. Elle accompagne les acteurs du secteur pour relever les défis techniques, économiques et environnementaux des filières de l'horticulture, de la production, de l'agro-fourniture, de la distribution, de la fleuristerie et du paysage. Elle est membre de l'Association de coordination technique agricole (ACTA), tête de réseau des instituts techniques agricoles, et centre partenaire de l'Association de Coordination Technique pour les Industries Agroalimentaires (ACTIA).

Missions

ASTREDHOR évolue vers le statut d'institut technique agricole[1]. Le réseau des quatorze stations d'expérimentations qu'elle coordonne en 2006[2] ont pour missions :

La recherche appliquée

ASTREDHOR conduit chaque année près d’une centaine de projets de recherche et d’innovation publics et privés. Elles permettent de développer des technologies et des innovations de pointe. L'institut œuvre ainsi, par la recherche appliquée, pour favoriser la durabilité, la qualité et la rentabilité de la filière du végétal.

L'accompagnement des professionnels

L’institut propose une gamme de services visant à aider les professionnels de la filière à répondre rapidement aux défis en matière de formation professionnelle, de conseil technique en entreprise, d'expertise et de veille documentaire.

Thématiques de recherche

Les travaux de recherche et d’innovation réalisés par ASTREDHOR répondent à des besoins de productivité, de compétitivité et de développement durable de la part des professionnels et des politiques publiques.

Les principaux domaines de recherches sont les suivants :

  • Systèmes alternatifs, accompagnement des transitions (méthodes alternatives aux produits phytosanitaires, efficience des intrants, adaptation au changement climatique...)
  • Ingénierie verte et services écosystémiques (agricultures urbaines, végétaux fonctionnels et végétal en ville)
  • Valorisation industrielle pour la bioéconomie (fleurs comestibles, chimie du végétal...)
  • Économie et marchés (étude des marchés et des attentes des consommateurs dans le domaine de l'horticulture et de la fleuristerie[3])
  • Horticulture connectée (outils d'aide à la décision, robotisation...)

Notes et références

  1. « Astredhor : Une ouverture sur toute la filière », sur Le Lien horticole (version du sur Internet Archive).
  2. Alain Cadic et Caroline Widehem, L'horticulture ornementale française: Structures, acteurs et marchés, Quae, , 116 p. (ISBN 978-2-7592-1310-8, lire en ligne), p. 14.
  3. Laurent Miguet, Les horticulteurs en quête de compétitivité, LeMoniteur.fr, 1er juillet 2016.

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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