6e groupe d'autos-mitrailleuses et autos-canons
| 6e groupe d'autos-mitrailleuses et autos-canons | |
| Le 6e GAMAC et un bataillon anglais Caestre | |
| Création | comme Gr. A/C Marine, dissous début , reconstitué en GAMAC fin |
|---|---|
| Dissolution | Le devient 6e escadron d'automitrailleuses de cavalerie (EAMC), puis 8e EAMC le |
| Pays | France |
| Branche | Marine nationale, puis Armée de Terre |
| Type | Groupe d'autos-mitrailleuses et autos-canons |
| Rôle | Reconnaissance blindée, liaison, appui feu de l'infanterie et de la cavalerie |
| Effectif | En : (théorique) 50 - (réel) 49. En : (théorique) officiers 4, sous-officiers 8, troupe 52. |
| Garnison | Versailles, Melun |
| Équipement | Autos-canons Peugeot, autos-mitrailleuses Renault, Automitrailleuse White TBC |
| Guerres | Campagne contre l'Allemagne (1914-1918) Campagne de Cilicie (1920-1921) Guerre franco-syrienne (mars 1920- juillet 1920) |
| Fourragères | Aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 |
| Décorations | Croix de guerre 1914-1918 deux palmes |
Le 6e groupe d'autos-mitrailleuses et autos-canons (ou 6e GAMAC), constitué début , est l'un des 17 groupes d'autos-mitrailleuses et autos-canons, petites unités d'artillerie légère mobile mises à disposition de l'armée française pendant la campagne contre l'Allemagne.
Création, dénominations et affectations
Créé début par le général Gallieni, gouverneur militaire de Paris, le 6e groupe d'autos-canons de la Marine est initialement affecté à l'état-major du 2e corps de cavalerie, ou corps de Mitry qui le transfère rapidement à la 7e division de cavalerie (DC). La 12e section est détachée fin octobre à la 5e division de cavalerie aux ordres de laquelle elle reste jusqu'en . Le 6e groupe d'autos-canons est dissous à Boulogne-sur-Seine début en tant qu'unité de Marine et reconstitué comme unité de cavalerie à la fin de ce mois. Le , le 6e GAMAC retrouve la 7e DC à laquelle il reste rattaché organiquement jusqu'à son transfert le à la 6e division de cavalerie, où il remplace le 5e GAMAC, dissous. En , le 6e GAMAC, désormais en garnison à Versailles, est rattaché organiquement au 27e régiment de dragons, son unité de rattachement administratif depuis le . Puis, il passe au 13e régiment de dragons à Melun en avant de rejoindre l'armée du Levant fin . Il conserve cette affectation jusqu'à sa transformation en 8e escadron d'autos-mitrailleuses de cavalerie en .
Historique des campagnes et batailles
Campagne contre l'Allemagne
- 1914
Tandis que la 11e section prend un service de tranchées dans la région d'Ypres avec la 7e division de cavalerie, on ignore l'emploi des trois autos-canons de la 12e section, affectée à la 5e division de cavalerie, amputée depuis le de ses deux autos-mitrailleuses détachées au QG du GAN (Groupement des Armées du Nord) pour assurer la protection anti-aérienne du général Foch, avec leur personnel sous le commandement de l’enseigne de vaisseau Gouault, chef de section.
- 1915
- Des tranchées d'Ypres, la 11e section passe, via Beaumetz-les-Loges (Voir la photo ci-contre), à celles de Bailleulval, au sud-ouest d'Arras à la mi-février. Ce service se prolonge jusqu'à fin août lorsque la division est appelée dans la Marne où elle stationne en arrière du front dans plusieurs cantonnements à Vatry, Sommesous, Mailly[1].
- Le 6e groupe reconstitué dans son entier prend le un service de tranchées dans le secteur de la ferme des Marquises, à proximité de Reims.
- 1916
- Ce service aux tranchées se poursuit de janvier à avril 1916 avant le retour à Boulogne-sur-Seine pour la dissolution du groupe Marine.
- Après la reconstitution du groupe sous forme de GAMAC fin mai, reprise des services aux tranchées dans l'est de Reims à Prunay jusqu'au . Le groupe est alors envoyé au repos dans l'Oise près de Beauvais. Une des sections prend un service tranchées vers Le Quesnel (Somme) durant la deuxième quinzaine d'octobre. Un mouvement du groupe vers l'Aisne en plusieurs étapes amène l'une des sections aux tranchées de Soissons pour relever le 16e groupe durant la deuxième quinzaine de décembre.
- 1917
- Le service de tranchées à Prunay se termine fin janvier. De janvier à mai le 6e groupe procède à plusieurs mouvements dans l'Est de la Marne sans être engagé.
- De juin à août il est employé dans les tranchées dans divers secteurs à proximité de Reims (Berméricourt et fort de la Pompelle), avant d'assurer une mission de DCA à partir de début septembre à Jonchery-sur-Vesle, QG de la 5e armée.
- Réaffecté à la 6e division de cavalerie, le groupe, par alternance de ses deux sections assure un petit service de tranchées dans un secteur de l'est de Reims jusqu'à la fin de l'année 1917.
- 1918
- Le service de tranchées se terminant le , le 6e groupe se replie sur Sézanne jusqu'à fin février. Puis il passe les trois premières semaines de mars au château de Saran à Chouilly près d’Épernay avec les 3e, 4e, 8e, et 15e groupes.
- De là les cinq GAMAC se dirigent à l'est de Roye (Somme) pour y être engagés du 25 au , puis à Orvillers (Oise) les 30 et .
- Le 6e groupe participe à la 3e Bataille des Flandres durant la deuxième quinzaine d'avril[2], Bataille de l'Ourcq en juin[3], Bataille de Montdidier en août.
- À partir du , le 2e corps de cavalerie et tous ses GAMAC (3e, 4e, 6e, 8e, 9e, 10e, 15e et 17e GAMAC) gagnent Roeselare (Roulers) pour être engagés dans la Bataille de la Lys et de l'Escaut jusqu'à l'armistice.
Après l'armistice en France
- 1918-1919
- Cinq jours après l'armistice, le 6e groupe fait mouvement par étapes en Belgique pendant une semaine, passe à Bruxelles et arrive à Versailles, garnison du 27e régiment de dragons, le . Il y reste jusqu'à la mi- pour être affecté au 13e régiment de dragons en garnison à Melun. Il suit alors une longue période d'instruction jusqu'à la fin de l'année afin d'être prêt à opérer au Liban.
Au Levant
Le 6e groupe d'autos-mitrailleuses de cavalerie (AMC) est l'une des trois unités de ce type présentes dans cette région du Moyen-Orient dans l'après-guerre avec les 17e et 19e groupe d'autos-mitrailleuses de cavalerie.
Affecté à l'armée du Levant début , le 6e groupe AMC débarque à Beyrouth à la fin du mois, à la disposition du 1er régiment mixte de marche et de cavalerie du Levant. Mais ses trois sections vont opérer séparément au gré des missions des divisions au Liban et en Syrie. Ainsi, la 1re section du 6e groupe est mise à la disposition de la 3e division d'infanterie du Levant et contribue à la prise de Damas, où elle entre le après avoir forcé le passage bloqué par les troupes chérifiennes. Le détail des mouvements et des opérations des sections du 6e groupe n'ayant pu être que partiellement reconstitué, il n'est pas possible d'en livrer une synthèse autre que celle qui positionne ces petites unités en Syrie et au sud-Liban[4]. Un des officiers du 6e groupe, le lieutenant de Foucaucourt, souligne combien la poussière et le sable nuisent aussi bien à la santé des soldats qu'à la disponibilité des blindés. Les pannes des véhicules sont fréquentes. Les pièces détachées manquent, rendant les véhicules inutilisables pendant plusieurs semaines consécutives[5].
En , le 6e, le 17e et le 19e groupes d'AMC présents au Levant constituent le « groupement des unités d’AMC du Levant ». Lorsque les groupes d'AMC deviennent des escadrons d'autos-mitrailleuses, le , cette unité supérieure devient le 7e groupe d'escadrons d'autos-mitrailleuses de cavalerie (EAMC).
Commandants du 6e groupe
- Période Marine[6].
- Lieutenant de vaisseau Barthélemy Guiran ( - ().
- Lieutenant de vaisseau Joseph Guyot de au .
- Période Cavalerie[7]
- Capitaine Alexandre Mougel ( - ).
- Capitaine René Farcis ( - ).
- Capitaine Elie de Galard-Terraube ( - ).
- À l'Armée du Levant[7]
Les sections du 6e groupe opèrent séparément sous le commandement de leurs chefs respectifs
- Lieutenant Jacques Lemaigre-Dubreuil ( - ).
- Lieutenant Guy Alphonse Morel de Foucaucourt ( - après 1922).
- Lieutenant Guillaume Weiser ( - ).
Pertes du groupe en opérations
Les lacunes dans les sources ne permettent pas de dresser un état précis des pertes, blessés, morts après blessures ou maladies, tués, du 6e groupe, d' au . Les différentes sources citées en bibliographie ne permettent de dresser que la liste ci-dessous[8]. Ces hommes ne sont certainement pas les seules victimes de la campagne contre l’Allemagne. En effet les « engagements AMAC » toujours violents se multiplient en 1918, surtout en octobre-novembre en Belgique et l’on ne peut pas penser que le 6e groupe n’ait perdu aucun combattant dans ces engagements. De même, aucune perte n'a été relevée au Liban et en Syrie.
| Grade | Nom | Date de blessure/décès/disparition | Circonstance |
|---|---|---|---|
| Maréchal-des-logis | Pierre Giraud | Blessé le | Tranchées |
| Soldat | Charles Delavigne | Blessé le | Engagement AMAC |
| Adjudant | Arthur Lucien Dimey | Blessé le | Engagement AMAC |
| Soldat | Veillot | Blessé le | Engagement AMAC |
On qualifie d'« engagements AMAC » des actions brèves (de quelques heures à 3 jours) et violentes qui exploitent toutes les qualités de ce type d'unité : mobilité, puissance de feu, audace et compétence des hommes.
Distinctions et décorations
Le 6e Groupe mixte d’autos-mitrailleuses et d’autos-canons reçoit deux citations à l’ordre de l’armée :
- Citation à l'ordre de la 3e armée du :
« A, sous les ordres du capitaine de Galard, combattu pendant cinq jours sans répit avec une opiniâtreté et un mordant admirables, luttant contre un ennemi très supérieur en nombre et permettant aux unités voisines d'accomplir leurs missions. A accompagné la contre-attaque d'un bataillon de zouaves permettant de ramener deux mitrailleuses allemandes[9]. »
- Décision du maréchal de France, commandant en chef les armées de l'Est, du :
« Vrai type de groupe d'avant-garde : sous les ordres de son énergique chef, le capitaine de Galard, pendant la poursuite du 14 au , en Belgique, a harcelé sans répit, des arrière-gardes ennemies. Précédant les avant-gardes de cavalerie avec une audace extrême, a rapporté des renseignements très utiles sur les positions allemandes, détruit par son action soudaine et rapide des nids de mitrailleuses. Le , s'est avancé jusqu'aux abords immédiats de Vinkt, a détruit ou mis en fuite les mitrailleuses ennemies et a ouvert le passage aux escadrons d'avant-garde[9]. »
Ces deux citations lui valent de recevoir le , en même temps que le 8e GAMAC, la fourragère aux couleurs de la Croix de guerre, épinglée sur le fanion de chacun des groupes par le général Maistre lors d’une prise d'armes au camp de Satory près de Versailles[10].
Personnalités ayant servi au sein du groupe
- Jean Charles Gobert de Briey de Landres (1875-1963), lieutenant de réserve, membre d'une famille aristocratique.
- Marie Joseph Victor Élie de Galard-Terraube (1875-1956), saint-cyrien, capitaine, porte le titre de comte, membre d'une lignée aristocratique, nombreuses citations, oncle de Geneviève de Galard, infirmière militaire, devenue célèbre par son courage lors de sa mission à Dien-Bien-Phu (Indochine) en 1954.
- Jacques Lemaigre Dubreuil (1894-1955), lieutenant, précédemment au 10e GAMAC dans le cadre de la mission en Roumanie, puis au 15e GAMAC de fin 1917 à , cinq citations, industriel (Huileries Lesieur), résistant, assassiné en 1955.
- Paul Morel-Fatio (1875-après 1922), lieutenant de réserve, chef du secrétariat de la maison Panhard et Levassor en 1904, neveu de Léon Morel-Fatio, peintre de marine français.
- Guy Alphonse Morel de Foucaucourt (1897-après 1958), lieutenant, issu d'une famille de la noblesse française comptant nombre d'officiers dont son frère cadet Henri de Foucaucourt.
Matériels
- Lors de sa constitution
En tant que groupe d'autos-canons de la Marine, le 6e groupe est équipé de six autos-canons sommairement blindés, construits sur un châssis Peugeot torpédo type 146, de 1913, muni de son moteur 18 HP et d'autos-mitrailleuses de fortune, une sur châssis Panhard et trois sur châssis Peugeot[11] rapidement renvoyées à Vincennes pour être remplacées par des voitures Renault ED, type 1914, dotées d'une faible protection blindée, munies du même moteur.
- Dotation en blindés modèles 1915
Le 6e groupe reçoit les nouvelles modèles d'autos-canons à l'épreuve de la balle perforante allemande (dite balle S) le . Les autos-mitrailleuses blindées modèle 1915 sont livrées en . Ce n'est qu'en qu'il peut échanger ses voitures non munies du système d'inversion de marche arrière Raulet-Dombret contre celles du 5e GAMAC récemment dissous et qui, elles, en sont toutes pourvues[12].
- Dotation en autos-mitrailleuse-canon White TBC
Appelé sur les théâtres d'opérations extérieurs, le 6e groupe a été doté d'autos-mitrailleuse-canon construits selon les dessins et brevets de MM de Ségur et Lorfeuvre sur des châssis américains White TBC à la fin à Versailles.
- Autres véhicules
Initialement doté de deux camions de ravitaillement Peugeot, le groupe reçoit deux camions supplémentaires Mors en . Une deuxième voiture de liaison reçue en rejoint la première fournie en .
Bibliographie
- François René Boullaire, Historique du 2e corps de cavalerie du 4 octobre 1914 au , d'après les archives historiques du ministère de la guerre, Nancy, Charles-Lavauzelle et Cie, , 503 p.
- François René Boullaire et Cdt Brun, « Le 2ème corps de cavalerie dans les Flandres du 9 avril au 3 mai 1918, Le Kemmel », Revue militaire générale, t. 18, , p. 425-475 (lire en ligne).
- Gustave Gautherot, La France en Syrie et en Cilicie, Courbevoie, Librairie indépendante, , 212 p. (lire en ligne), p. 167-210.
- Humbert du Hays, Les armées françaises au Levant, 1919-1939, t. 2, Vincennes, Service historique de l'Armée de terre, , 336 p. (ISBN 2-86323-004-2).
- Paul Pollacchi, Atlas colonial français. Colonies, Protectorats et pays sous-mandat, Paris, L'Illustration, , 319 p., 56 cartes (lire en ligne), voir planche 34, p. 241.
- Jacques Sicard, « Les automitrailleuses au Levant : 1920-1946 », Armes Militaria Magazine, no 61, , p. 46-51.
- François Vauvillier, Le grand album des automitrailleuses de la victoire, Paris, Histoire & Collections, , 168 p. (ISBN 979-10-380-1314-8).
- Jean Vicaire (préf. Dominique Waquet), Les automitrailleuses de cavalerie (1916-1918), Suresnes, Causseul & Rougeret éditions, , 24 p. (lire en ligne).
- Dominique Waquet, Le 6e Groupe mixte d'Autos-mitrailleuses et autos-canons : Opérations et personnel (1er octobre 1914 - 31 octobre 1922), Suresnes, Causseul & Rougeret, , 72 p. (ISBN 978-2-9585590-5-2).
- Dominique Waquet, Les officiers de Marine des groupes d’autos-canons de 37 m/m de la Marine (septembre 1914 – juin 1916) : Analyses et Portraits, Suresnes, Causseul & Rougeret, , 20 p. (ISBN 978-2-494553-08-8).
- Dominique Waquet, Les officiers de l’Armée de Terre dans les groupes d’autos-mitrailleuses et d’autos-canons de la Grande Guerre (septembre 1914 – décembre 1922) : Analyses et Répertoire, Suresnes, Causseul & Rougeret, , 82 p. (ISBN 978-2-494553-07-1).
Voir aussi
Articles connexes
- Automitrailleuse Renault
- Campagne de Cilicie, franco-turque (1918-1921)
- Groupe d'autos-mitrailleuses et autos-canons (1914-1922)
- Guerre franco-syrienne
- Mandat français en Syrie et au Liban
- Taca Tac Teuf Teuf, Journal des groupes d'autos-mitrailleuses
- White TBC
Liens externes
- Blog Clausuchronia, « Automitrailleuses et véhicules de combat à roues », (consulté le ).
- José Luis Castillo, « Armored fighting vehicles in the Great War », (consulté le ).
- Chtimiste, « L'organisation des unités de cavalerie », (consulté le ).
- Chars français, « Un siècle d'histoire des engins-blindés français, Autos-mitrailleuses et autos-canons 1902-1928 », (consulté le ).
Notes et références
- ↑ Au cours d'un de ses déplacements le 6e groupe est, involontairement, filmé à Suippes le par les opérateurs de la Section cinématographique et photographique de l'armée (SCPA). Ce même jour le 13e groupe passe au même endroit à quelques minutes d'intervalle, non loin des voitures du 16e groupe stationnées en arrière-plan sous les arbres (ECPAD © SPA/SCPA 14.18 B 399, « La bataille de Champagne, fin septembre 1915 (28 septembre 1915, Suippes (Marne) », (consulté le ).
- ↑ Capitaine Oudin, « 2ème division de cavalerie sur les Monts des Flandres (14 avril – 1er mai 1918) - 1ère partie », Revue de cavalerie, Paris, Berger-Levrault, , p. 161-179 (lire en ligne) et « 2ème partie », Revue de cavalerie, , p. 292-312 (lire en ligne).
- ↑ Capitaine Oudin, « Opérations de la 2e division de cavalerie sur l'Ourcq (30 mai - 7 juin 1918) - 1ère partie », Revue de cavalerie, , p. 601-622 (lire en ligne) et « 2e partie », Revue de cavalerie, , p. 742-767 (lire en ligne).
- ↑ D. Waquet 6e groupe, p. 29-38.
- ↑ Lieutenant de Foucaucourt, « Les autos-mitrailleuses en Syrie », Revue de cavalerie « 34e année », , p. 35-56 (lire en ligne).
- ↑ D. Waquet, Officiers Marine.
- D. Waquet, Officiers Terre.
- ↑ D. Waquet 6e groupe, p. 42 et annexe I.
- « Les citations collectives à l’ordre de l’Armée de la cavalerie pendant la grande Guerre Fourragères aux couleurs de la croix de Guerre - Groupes d’auto-canons-mitrailleuses », Revue de la cavalerie, vol. 35e année, no 5, , p. 204-211 (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Journal officiel, , p. 853 ; Le Temps, , p. 2.
- ↑ F. Vauvillier, p. 79.
- ↑ Les ingénieurs Raulet et Dombret déposent leur brevet le (Voir le texte).
- Portail de l’Armée française
- Portail de la Première Guerre mondiale
- Portail de l’histoire militaire
- Portail de la Syrie
- Portail du Liban